Les Bras en croix

En bras de chemise, elle incarne le travail domestique, la confection d'un plat à base de lait, dans lequel elle s'absorbe. Elle porte une coiffe blanche rejetée en arrière, qui lui couvre les cheveux. Son buste est enserré dans un corsage jaune chamois fermement attaché au milieu de sa poitrine, ce qui souligne la robustesse de sa corpulence. Les coutures de ce corsage, rouges, restent assez grossières. Elle a enfilé des morsmouwen, pièces de cuir amovibles destinées à protéger l'avant-bras des

que cet homme n'a plus de bras et tint ses cartes avec le pied qui lui reste, on peut en déduire qu'il n'y a plus de dignité. Le joueur de droite tient ses cartes d'une main rouge, sans peau et d'une autre main en bois articulée avec un bras en mouvement inhabituelle. Au dessus de son col, on remarque une prothèse de métal qui remplace sa mâchoire. L’extrémité de son nez est couverte par un bandeau noir sans doute en cuir attaché derrière la tête il porte en outre la croix de fer , une décoration

aperçoit même un rouage dans le coude). Il a perdu le bas de sa mâchoire, qui a été remplacé par une prothèse en fer. On suppose que le bas de son nez est abimé car il est couvert pas une sorte de petit cache-nez. Enfin, sur son veston, il porte la croix de fer allemande : une décoration qui honore tous ceux qui ont fait preuve d’héroïsme au combat. Homme du milieu Cette homme n’a, comme le premier plus de jambes, mais contrairement à ce dernier les siennes ont été remplacé par des jambes de bois

plusieurs heures que j'avais quitté ma montagne. J'abandonnais les terres du centre et l'air frais qui, un instant plus tôt pénétrait mes poumons laissant place à un gaz infect.  Plus j'avançais et plus l'odeur se faisait répugnante, des bout de bras par ci, des cervelles décomposées par là..  Il ne faisait nul doute que j'étais sur la bonne voie, les souvenirs étaient toujours frais dans ma mémoire.  En effet je connaissais le chemin par cœur, tant de fois par le passé j'avais emprunté cette

Allemagne | Tomainie | DICTATEUR | Adolf Hitler au pouvoir depuis 1933 | Adenoid Hynkel | PAYS ALLIE | Italie | Bacterie | ALLIE | Benito Mussolini | Benzino Napaloni | SYMBOLE | Croix Gammée | Double Croix (en anglais « double cross=to double cross=trahir) | TERRITOIRE ENVAHI | Australie annexée par l'Allemagne en mars 1938 | Osterlich | MINISTRE DE LA PROPAGANDE | Joseph Goebbels | Garbitsch (qui ressemble

Nature du document : reproduction de l’oeuvre de Pablo Picasso (1881-1973), intitulée « Guernica » datant de 1939, huile sur toile, 3,51/7,52m Description (Dénotation ) : Au premier plan : De gauche à droite : une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. Les

de douleur. Derrière elle, se dresse un taureau. À droite du tableau, trois femmes désarticulées pleurent ou hurlent. En arrière-plan, des formes géométriques sombres évoquent des immeubles incendiés. En bas, à gauche, un homme allongé avec les bras en croix tient une épée brisée. Seule minuscule trace d'espoir, on distingue une petite fleur presque effacée entre les pattes de la jument et l'épée cassée. IV) Interprétation de l’œuvre : Le choix du noir et du blanc reflète le désastre de ce

Représente les nationalistes. Une mère qui hurle avec son enfant dans les bras : Ses yeux sont en forme de larmes. Langue en forme de couteau : violence. Elle montre toute l’horreur du bombardement qui touche des civils innocents. C’est aussi une référence à une figure récurrente de l’art : la Piéta Michel Ange, « La pieta » représente le thème biblique de la Vierge Marie tenant sur ses genoux le corps du Christ descendu de la croix avant sa mise au tombeau. 1498-1499, marbre, 174 cm × 69 cm, Basilique

musclé, avec une couronne de lauriers sur la tête, un peu comme une statue datant de l’Antiquité. Il est probablement torse nu et a le bras droit levé. En dessous, il y a deux chars, tirés par deux chevaux. Sur l'un des chars on aperçoit un homme debout, avec un étendard à la main sur lequel on reconnaît la forme d'un aigle, symbole de l’Empire Allemand (avec la croix gammée). L'affiche montre clairement la suprématie de la Race Aryenne et de l’Allemagne sur le reste du monde. La couronne de lauriers

refroidissant, la lame de l'épée a ensuite été découpée dans la barre d'acier, et affûtée. Enfin, on a assemblé la poignée à la lame. Ces 2 éléments étant séparés par la garde, perpendiculaire qui protège la main agissante en donnant une forme de croix à l'épée. C'est une arme sacrée dont le G(E( ne se sépare que rarement dans le temple. C'est avant tout une arme crée pour le combat, un glaive qui tranche, attribut universel de la justice. "le glaive de la justice n'a point de fourreau, toujours