Les Bras en croix

Les Croix de bois de Roland Dorgelès Chapitre 1 : Frères d’armes Des wagons entiers de renforts partent de Paris la fleur au fusil vers les lignes de guerre où ils découvrent leurs nouvelles escouades, leurs compagnons d’armes. Gilbert Demachy un coquet petit parisien, timide et imberbe, fait la rencontre de Bréval le caporal, de Sulphart le roquet rouquin, de Broucke le ch’timi, de Bouffioux le gros simplet, de Fouillard le maigre crasseux, sans oublier Jacques Larcher (pseudonyme du narrateur)

orale du baccalauréat de français. Plus précisément le passage étudié s’étend de la ligne : « Dans l’abbaye il y avait alors un moine cloîtré, nommé Frère Jean des Entommeures, jeune, vigoureux… » à « que le moine face aux ennemis avec le bâton de la croix.» Introduction : Ce passage se situe pendant les guerres Picrocholines. Le roi Picrochole a déclenché la guerre face à son rival Grandgousier. Ces deux rois sont totalement opposés et leur façon de gouverner diffère totalement : d’un coté, on

révolutionne la construction par l’apport des techniques qui seront classées à la renaissance dans le « style Gothique ». Le nouveau maitre d’œuvre bouleverse le programme original : il voute le bras du transept, fait supporter les ogives par un pilier (Pilier des Anges), édifie le double portail du bras sud. La nef est entamée en 1240 et s’achève trente années plus tard. En 1277, on posait enfin la première pierre de la façade occidentale, la plus richement ornée, qui ne fut achevée qu’au milieu

plus que Boule de suif. Elle parut. Elle semblait un peu troublée, honteuse ; et elle s’avança timidement vers ses compagnons, qui, tous, d’un même mouvement, se détournèrent d’elle comme s’ils ne l’avaient pas aperçue. Le comte pris avec dignité le bras de sa femme et l’éloigna de ce contact impur. La grosse fille s’arrêta stupéfaite ; alors, ramassant1 tout son courage, elle aborda2 la femme du manufacturier d’un « bonjour, madame » humblement murmuré. L’autre fit de la tête un petit salut impertinent

vie : « Et quand il croit ouvrir ses bras son ombre est celle d’une croix/Et quand il croit serrer son bonheur il le broie/Sa vie est un étrange et douloureux divorce.» Le choix du mot « divorce » est très important : ca fait référence à une autre fois à l’idée d’amour perdu et implique que la vie du soldat est cassée complètement après la guerre. Le mot « croix » pourrait faire référence à Jésus Christ et pourrait évoquer l’idée du « martyre » des soldats. «Croix » et « croit » sont des homophones

l'estrade, son attitude rappelle celle d'un danseur. Ce portrait fige le roi pour l'éternité, et ne cherche pas à dépeindre un homme déjà âgé. C'est la gloire du roi sacré Louis XIV qui est mise içi scène. Les symboles : - L'épée : Elle fait du roi le bras armé de l'Eglise. Elle doit protéger les fidèles en garantissant la justice. Elle porte le même nom que l'épée de Charlemagnee: " joyeuses " - La main de la justice : Elle se compose d'un bâton en or, avec au sommet une main d'ivoire. Cette main

qui a perdu ses deux jambes, monté sur une planche à roulette et qui s’aide de deux bâtons pour avancer. Il porte une croix de fer à sa veste. Il roule sur un journal antisémite où est écrit « Juden raus ! » (Dehors les juifs !). Au deuxième plan, un invalide mendie. Le pauvre homme a été mutilé par la guerre. Il est comme « désarticulé », et a perdu ses deux jambes et son bras gauche qui ont été vulgairement remplacés pas du bois. Il reçoit un timbre dans sa main artificielle par un passant dont

1er : Ange portant la croix a gauche ou un homme vue de dos se trouve a la place du Christ et a droite d’autre ange tiennent facilement la colonne ou le christ fut battu. La colonne penche vers la gauche pour répondre a la croix qui elle penche vers la droite 2ème : Au centre Jésus avec une carrure athlétique qui jugent les chrétiens et la vierge Marie, tout deux entouré d’un cercle de couleur clair les faisant ressortir et leur donne de l’importance. Le Christ, le bras droite élevé, avec la

construites sur un plan central, elliptique ou de croix latine, avec des chapelles, et une croisée couverte d'une coupole, ainsi que des tours de niveaux divers. |[pic] |[pic] |[pic] | |Plan central : en forme de croix grecque (une |Plan elliptique : correspond à un plan de forme|Plan en croix latine : en forme de croix dont | |croix dont les branches sont de même longueur

contraire on passe de la vie à la mort. On retrouve donc une sorte de croyance contraire. B- Imagerie catholique Langlois nous renvoie l’image du Christ lorsqu’il a « ses bras étendus en croix » car le Christ lui-même avait les bras dans cette position là lorsqu’il s’est sacrifié pour sauver le peuple. De plus, la position de ses bras est directement suivie par une comparaison : « comme des ailes » qui fait aussi référence au Christ. Aussi, on remarque qu’il y a une répétition du mot « paix » qui nous