Les Caprices De Mariane Coelio Octave

théâtre « Les caprices de Marianne » du XIXème siècle représente deux personnages qui ont une conception de la vie très différente. D'une part nous avons Octave qui profite d'une vie légère et très élégante et d'autre part la vie de Cœlio qui quant à lui a une vie mélancolique et rude. Celui-ci emploie plusieurs mots tels que « remords » ou encore « l'amour trouble ma vie entière » ce qui nous montre une souffrance, un amour vécu comme une désolation chez ce personnage romantique. Pour Cœlio l'amour semble

| |SEQUENCE n° 3. | |LES CAPRICES DE MARIANNE (1833/1851) de MUSSET | |(Œuvre Complète)

sont joués. Après, le comédien par son jeu et le ton adapté fait mieux comprendre le sens de la pièce. Par exemple dans l'Acte 1 scène 1 des Caprices de Marianne, la représentation nous permet de voir que Octave utilise un ton ironique et humoristique : « Plus que jamais du vin de Chypre ». Pour répondre à Coelio qui lui annonce qu'il est amoureux de Marianne, il dit qu'il est amoureux du vin. Dans la représentation de cette pièce, le ton ironique d'Octave apparaît directement. Durant la lecture,

troisième texte est un extrait de l’acte II de la première scène des Caprices de Marianne, d’Alfred de Musset. Dans cet extrait, on peut voir que Marianne utilise l’ironie afin de marquer son opposition avec Octave. Elle dit a Octave qu’elle était tombée sous le charme de Coelio et qu’elle allai lui appartenir, alors que ce dernier sait très bien que ce n’est pas le cas. Octave lui reproche donc son indifférence à l’amour de son ami Coelio dont il est le porte parole « Vous ne pouvez ni aimer ni haïr

d’une coquette. De plus, nous découvrons l’univers personnel d’un auteur, dans une pièce ou dans l’ensemble de son œuvre : nous remarquons que le conflit entre pureté et débauche qui partage Lorenzaccio s’exprime dans Les caprices de Marianne par la dualité des cousins : Octave et Coelio. Ensuite nous sommes sensibles au style : aux maximes cornéliennes, a la mélodie de l’alexandrin racinien, aux métaphores filles de Musset, aux jeux verbaux d’Ionesco comme par exemple dans Rhinocéros Jean l’ami de Bérenger

jeunes n’est pas possible à cause de leurs familles. Le fait qu’ils faillent se voir en secret créé un amour inséparable. Les Caprices de Marianne, Musset Ce texte est un extrait de Les Caprices de Marianne écrit par Musset en 1833. Dans cette histoire, on rencontre un jeune homme, Coelio, qui est tombé amoureux d’une jeune femme mariée qui s’appelle Marianne. Coelio est un homme qui est tombé vraiment amoureux et au lieu d’être heureux et dans un état de l’extase, il déprime parce que la femme

manifestation de l'absurde. Ex. 1 : Le dénouement des Caprices de Marianne, chez Musset, contraste avec la légèreté de la comédie : Cœlio est amoureux de Marianne qui est mariée à Claudio. Le jeune homme sollicite l’aide de son ami Octave. Mais Marianne tombe amoureuse d’Octave avec qui elle obtient un rendez-vous. Octave reste cependant fidèle à son ami Cœlio et il l’envoie à sa place rencontrer Marianne. Par ailleurs, Claudio, le mari de Marianne qui soupçonne l’adultère, envoie des spadassins (tueurs

personnages, qui présentent sa face débauchée, souvent sous forme d’un vieillard hideux, et sa face lumineuse. On le retrouve ainsi accompagné de « l’orphelin vêtu de noir » de la Nuit de décembre. Il est à la fois le pur Coelio et le libertin Octave dans les Caprices de Marianne. Fantasio se réalise en devenant le bouffon du roi dont il a revêtu les habits. Dans Lorenzaccio, c’est Lorenzo lui-même qui se dédouble avec sa face d’idéaliste et sa face de débauché, le crime étant la seule façon de

tournure différente à la pièce. Chez Alfred de Musset, Les Caprices de Marianne, notons que Coelio, un jeune homme romantique, sensible et fragile croise le chemin de Marianne et tombe éperduement amoureux d'elle. Toutes ses tentatives de l'aborder n'aboutissent qu'a des échecs. Il demande alors l'aide de son meilleur ami, Octave, un libertin qui a soif de femmes, d'alcools et de fêtes, mais c'est de ce dernier que désire la belle Marianne par caprice. Ici, c'est l'arrivée du personnage d'Octave qui va

à vis des écrivains en prenant ses propres initiatives pour changer les genres et les mélanger. Tout au long de ce mémoire, on va analyser en détail le travail dramatique de Musset, spécialement à travers ses deux pièces de théâtre, Les Caprices de Marianne (1833) et On ne badine pas avec l’amour (1834), pour étudier l’originalité artistique d’un tel artiste au talent exceptionnel. Il vit à l’époque romantique mais n’oublie jamais ses prédécesseurs auxquels il rend hommage en s’inspirant de