Les Caprices De Mariane Coelio Octave

romantiques. En 1830, il fait jouer sa première pièce de théâtre Nuit Vénitienne. Mais cette pièce est un échec total. Dès lors, Musset décide d’inventer son propre théâtre qui ne sera pas destiné à être joué mais à être lu. En 1833, il écrit Les caprices de Marianne. Cette même année, il rencontre George Sand avec qui il aura une liaison, une passion très mouvementée. Mais cette passion ne dure que quelques mois. Après leur séparation, Musset souffre terriblement et cette souffrance fait naitre en lui

Conclusion: Entre les caprices de marianne et cyrano de bergerac je préfère cyrano de bergerac car il y a une histoire d'amour, marianne croit qu'elle aime christian mais en réalité elle aime l'auteur des lettres c'est à dire cyrano . Je préfère les personnages qu'il y a dans cyrano de bergerac comme roxanne qui est plus touchante que marianne , cyrano qui a un amour caché pour roxanne et christian qui découvre que la femme qu'il aime en aime un autre. Entre marianne et roxanne je préfère roxanne

 « Tout l'art de Musset est précisément dans ce rideau d'ombre et de silence tiré entre deux échanges de paroles. Rien de moins analytique que cette dramaturgie sans transition... Entre deux dialogues, Marianne connait une mutation brusque, dont elle ne cherche pas à connaître la cause, mais dont elle assume entièrement les effets. Ainsi s'opère la symbiose d'une psychologie par secousses, qui tient au personnage, et d'un art de l'ellipse, essentiel à la comédie poétique. » Nous partirons de l'idée

théâtre présente des traits communs avec son créateur. Musset transpose les béances et les failles de son propre moi. 1- L’ expérience de la débauche Le thème est récurrent ds l’œuvre de Musset : cf Les Caprices de Marianne : le personnage de Octave, insouciant et débauché, ami de Coelio, sentimental et timide = 2 facettes de Lorenzo = composante de la personnalité de Musset. Musset, lui aussi amoureux du vin et des femmes, se livre à divers excès après avoir été un élève brillant et sensible

4 (romantisme). le document 1 est extrait de l'illusion comique de Pierre Corneille, le second est extrait de l'école des femmes de Molière, le troisième est extrait de dandin ou le mari confondu de Molière, le dernier est extrait de les caprices de marianne de Alfred de Musset. Mini-intro : On constate que les jeunes femmes manifestent leur liberté. Dans le §1, on va voir que les femmes, n'aime pas leur époux, et ne se géne pas pour leurs faire comprendre. Dans le second, les femmes s'opposent

Il choisit dès lors de publier des pièces dans La Revue des Deux Mondes, avant de les regrouper en volume sous le titre explicite Un Spectacle dans un fauteuil. Il publie ainsi une comédie, À quoi rêvent les jeunes filles ? en 1832, puis Les Caprices de Marianne en 1833. Il écrit ensuite son chef-d'œuvre, un drame romantique, Lorenzaccio en 1834 après sa liaison houleuse avec George Sand et donne la même année Fantasio et On ne badine pas avec l'amour. Il publie parallèlement des poèmes tourmentés

et leur ignorance et compassion pour l´imposteur font bien rire les spectateurs. Ce sont de même des thèmes principals des pièces qui favorisent le registre comique - des obstacles dans l´amour (rappelons-nous encore d´Harpagon qui veut marier Marianne, aimée de son fils Valère) ou projets divers de mariage (il suffit de commémorer Le Mariage de Figaro de Beaumarchais ou bien des comédies de William Shakespeare). Il peut d´autre part s´agir des histoires des maîtres et leurs valets indiscrets (Jacques

qui entend la ruse → succide ! Camille et Perdican se séparent… Pessimisme radical. (désenchantement) « Les caprices de Marianne »(1833) : Cœlio (intello, timide) est amoureux de Marianne, demande à son ami Octave (libertin) de séduire Marianne à sa place. Cela marche. Octave arrive à avoir un rendez-vous pour Cœlio, et lors du rendez-vous, Cœlio se fait assassiner par le père de Marianne. Ressemble beaucoup à Lorenzaccio. Grandes références : Brutus 1, Brutus 2, Erostrate, Hamlet, Brutus 1, c'est

épousé » (207), « La Patty qu’il désirait était la Patty qui ne désirait pas Walter : la maîtresse de maison qui ne voulait plus être une maîtresse de maison, la maîtresse de maison qui voulait baiser avec un rocker » (510) Comme Coelio et Octave dans les Caprices de Marianne de Musset, il n’y a pas plus dissemblables que ces deux amis, Richard et Walter qui se sont connus à McAlester College. Là où Walter est intellectuel, philosophe, idéaliste, travailleur, serviable, généreux, sobre, réservé, timide

dans l'âme ». On peut se demander si cette angoisse ne se mêlerait pas bientôt d'envie fascinée, puisque la mort, seul absolu atteignable, est l'idéal des romantiques, du moins dans leur œuvre : ainsi Coelio, héros romantique des Caprices de Marianne, se laisse assassiner par dépit amoureux, et Octave, son alter-ego libertin, prévoit de se suicider dans la débauche. Certains romantiques, tels Nerval, ont même été jusqu'à mettre fin à leurs jours. Mais cet extrait de la Confession d'un Enfant du