Les Caractéristiques De La Nouvelle Economie Keynésienne

Les vestiges de la loi de Say 4.2.2 Les séquelles de la loi de Say Partie II : Les controverses fondatrices de la pensée keynésienne 5. La controverse Keynes - Ohlin, Rueff et l’approche monétaire de la BP 5.1 La question des réparations allemandes et la solution keynésienne 5.1.1 Première phase : de la guerre au plan Dawes 5.1.2 Deuxième phase : la solution keynésienne 5.2 Les objections radicales d’Ohlin et Rueff 5.2.1 La preuve par les faits selon Rueff 5.2.2 L’analyse théorique d’Ohlin 5

Titre I : La Théorie du Consommateur L'analyse du comportement du consommateur est une question de micro-économie puisqu'on s'intéresse à un comportement individuel, celui du consommateur, qui est vu comme un agent économique, c’est à dire qu'il aura des caractéristiques qui lui seront propres et à la fois communes à tous ces agents. Par exemple, le Revenu est l'une de ses caractéristiques et l'on pourra différencier les consommateurs par rapport à lui. En toute logique, l'analyse du comportement

confondent. En pratique, les mouvements que nous avons à étudier en économie sont des phénomènes qui certes se répètent, se reproduisent mais sans que l’on puisse y trouver la perfection, la régularité présentes dans les domaines de la physique et de la mécaniques auxquelles sont empruntées ces notions. Ainsi, bien que le terme soit couramment utilisé en de nombreuses circonstances, il n’y a pas de véritable cycle en économie. A la limite on ne devrait parler que de tendance cyclique sous-jacente

déterminée par pleins de choses. 3.2 Les propriétés de l’équilibre général. 3.2.1 L’équilibre Walrassien WALRAS veut montrer comment une économie décentralisée peut être compatible avec un équilibre général. Hypothèses de concurrence parfaite : Atomicité : grand nombre d’offreur et de demandeurs Homogénéité du produit : Le bien échangé sur un marché a des caractéristiques précises Libre entrée et sortie du produit. Mobilité des facteurs de production. Transparence et information parfaite. Le Commissaire

son bien être, cependant dans la nouvelle théorie du commerce internationale qui prennent en compte les rendements d’échelle et la concurrence imparfaite, les gains restent statiques. C’est dans la théorie de la croissance qu’on peut alors venir chercher les gains dynamiques. Depuis le début des années 1990, les nouvelles théories de croissance considèrent le changement technologique comme étant endogène, il devient alors possible de combiner la nouvelle théorie du commerce international

analyse. Les socialistes 6) Marx souhaite la répartition égale des moyens de production. Pour Marx, le capitalisme est basé sur une contradiction insoluble : les forces productives reposent sur une socialisation croissante (on passe d’une économie artisanale à une économie de grande entreprise et c’est l’effort collectif qui permet d’être efficace, de mettre en place un appareil de formation et d’effectuer l’investissement nécessaire) mais la propriété des moyens de production est privée et entre les mains

néoclassique va chercher à renforcer les conclusions libérales des penseurs classiques contestées par d’autres penseurs comme Karl Marx, en remettant en cause ou en reformulant les hypothèses de base de l’analyse économique. Cette nouvelle approche passe par la définition d’une nouvelle théorie de la valeur fondée sur l’utilité. L’histoire de la pensée économique nous enseigne donc que cet avec l’économiste et financier Britannique John Maynard KEYNES, lorsqu’il publia sa Théorie générale de l'emploi,

1 Des besoins illimités Les agents économique ont des besoins qui se renouvellent et se diversifient sans cesse -> besoin illimité. Ces besoins et leur satisfaction constituent la raison et le but de l’activité économique. Trois grandes caractéristiques : - la multiplicité : nouveaux besoins liées au caractère de chacun mais aussi à son environnement. - La satiabilité : intensité du besoin diminue au fur et à mesure qu’il est satisfait. - L’interdépendance : besoins sont substituables

qu’on avait réussi à les domestiquer grâce aux politiques keynésiennes. La crise des 1970’s va mettre fin à cette illusion et va mettre fin au consensus keynésien, et c’est pour ça que va s’ouvrir une période de grande diversité dans l’analyse contemporaine des cycles. Aujourd’hui, alors que les analyse marxistes et néo-schumpétériennes mettent l’accent sur la dimension structurelle de la crise des 1970’s, les auteurs néoclassiques et keynésiens soulignent le rôle joué par les facteurs conjoncturels

taux naturel. Ce sont les fluctuations du salaire qui régulent le marché du travail. Les néoclassiques présentent une continuité avec les classiques car le marché et la concurrence sont bien au centre de l'analyse, mais sont en opposition avec les keynésiens. C'est d'ailleurs le débat qui opposa, dans les années 30, John Maynard KEYNES (1883-1946) à Arthur Cecil PIGOU. Il est aujourd'hui redevenu d'actualité avec la montée du chômage que connaissent les grandes nations industrialisées. Ce débat renvoie