Les Causes Conjoncturelles Et Les Causes Structurelles Du Pétrole

ses structures économiques et sociales et cela, tout particulièrement dans les pays d’économie libérale. L’exemple de la France permet de mettre en valeur ces transformations. Quelles ont été ces transformations économiques ? Quelles en ont été les causes ? Dans une première partie, nous étudierons les mutations qu’ont subies l’économie et la société française puis, dans une seconde partie, nous nous arrêterons sur les mutations culturelles de la société française I. Une économie et une société

exportations et ses échanges avec les pays émergeants augmentent. Enfin l’UE a une pace considérable dans les exportations (9.7 milliards de solde pour 62% des exportations en 1998) Le retour des excédents est le résultat d’une triple transformation structurelle :    La France a consolidé ses positions dans des secteurs traditionnellement dynamiques (ceux évoqués précédemment) Elle s’est tournée vers des marchées porteurs l’UE, les pays développés Elle récolte les bénéfices d’une politique de désinflation

Ainsi, les deux institutions nées de la conférence de Bretton Woods en 1944, la Banque Mondiale et le FMI, qui se sont spécialisées peu à peu dans les prêts à court et à long terme aux pays en développement, imposent les PAS (plans d’ajustements structurels) aux pays emprunteurs. Les PAS imposent donc la désintervention de l’Etat dans l’économie pour favoriser le développement. D’autre part, remarquons que l’ensemble d’actions libérales effectuées par les économistes américains au Chili pendant les

59 Conclusion........................................................................................................... 65 3 Introduction L’économie marocaine a fait l’objet, au cours des vingt dernières années, de plusieurs réformes structurelles et institutionnelles visant l’identification de nouvelles pistes de gestion du développement en dehors du secteur public à travers l’élargissement du champ d’action des forces du marché. L’objectif recherché est la réduction progressive de l’interventionnisme

2009, car elle doit être considérée comme relevant de la clause de circonstances exceptionnelles, le déficit public atteint en moyenne 2 3/4 % du PIB sur les dix dernières années. Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que des ralentissements conjoncturels, même d’ampleur modérée aient fait basculer le solde au-delà de 3 % du PIB. Conséquence de ces déficits récurrents, la dette publique a de son côté augmenté de manière quasi continue (cf. Graphique 2) : atteignant à peine 20 % du PIB à la fin des

de tiers-monde pour qualifier les pays en développement. Ce concept mettait l'accent sur l'unité des pays pauvres. Or, on observe depuis les années 1970 une diversification des situations au sein des PED : PMA, pays émergents, pays producteurs de pétrole, etc. L'expression tiers-monde a été proposée par A. Sauvy en 1952. Cette expression sous-entend que ce groupe de pays est homogène. Le "troisième monde" est censé regrouper des pays qui présentent une unité. Mais, en réalité, ce groupe est dès

à l’investissement des ménages et des entreprises, et les achats de machines et d’équipement de production par les entreprises. Plusieurs variables influencent les choix de consommation et d’investissement des agents économiques et constituent des causes potentielles des cycles d’affaires. En tête de liste, on trouve la politique monétaire et les taux d’intérêt dont l’influence est déterminante pour le cycle. Les deux dernières récessions au Canada (1981-1982 et 1990-1991) ont résulté directement

lutte contre l’inflation. Sujet 56 : L’étude de la balance des paiements de chaque pays membre d’une même zone monétaire présente-t-elle toujours un réel intérêt ? Sujet 57 : Quels liens établissez-vous entre un ralentissement économique conjoncturel et la dégradation du budget d’un état ? Sujet 58 : Les banques sont-elles victimes ou responsables de la globalisation financière ? Justifiez votre point de vue en vous appuyant sur vos connaissances et sur l’actualité. Sujet 59 : Que doit

décroissant de l’énergie et le choix du pétrole ( Coût décroissant de l’énergie=> permet à ind d’abaisser part de ce facteur ds ses coûts de prod° ( Cette baisse car gains de productivité ds exploitation des ( ressources énergétiques. ( Ms baisse surtt marquée pr pétrole car coût décroissant d’extraction +situation du marché mondial nettement défavorable aux pays producteurs ( Charbon n’est plus concurrentiel (2* hydrocarbures) ( Fr nn productrice de pétrole=>dépendante des importat° étrangères

est le principal pourvoyeur des infrastructures. L’investissement est l’une des variables plus importantes de la production d’une nation. A court terme l’instabilité des décisions d’investissement est la principale source des fluctuations conjoncturelles. À long terme, l’investissement détermine la capacité de production d’une économie, et en constituant le vecteur du progrès technique. On retrouve ce concept au centre de nombreuses controverses ainsi qu’à l’origine de la plupart des explications