Les Causes De La Chute De L Absolutisme

individus. Il est marqué par un fort sentiment d’appartenance, ce qui explique le fait qu’il faudrait indemniser à chaque fois que l’on retire un privilège. Section 2 : L’absolutisme monarchique §1] Force de l’édifice monarchique A. L’absolutisme Absolutisme = détacher, délier (le prince, le chef, serait délié des droits ; le pouvoir du prince ne peut être en aucun cas fractionné). Si l’absolutisme renvoie à la notion de tyrannie, au fait que le pouvoir du Roi semble illimité, il convient de ne pas

siècle va refuser et se crisper. Le clergé et la noblesse ont refusé toute évolution, se sont crispés sur leurs privilèges et ont engendrés ce blocage de la société française qui est la cause profonde de la révolution de 1789. Révolution qui a des causes avant tout sociales. Paragraphe 1 : Une société juridiquement structurée en ordres Au début du 11ème siècle, l'église avait dégagé 3 fonctions sociales hiérarchisées. Toutes ne sont pas d'égale importance. La première des fonctions sociale la

sont les changements qui se font dans la rupture et non pas dans la continuité, édifices qui se construisent sur les ruines d’un passé. Cette phase s’inscrit entre deux ruptures. La première rupture (1789) commence la nouvelle expérience. C'est la chute de la monarchie absolue, elle résulte de la transformation des États généraux en Assemblée Nationale d'abord puis en assemblée Constituante qui va mettre en place un ordre nouveau dans tous les domaines : politique, économique, social, religieux. On

notamment chrétienne qui devait guider le roi à gouverner pr le bien commun · La monarchie devait obéir appelée « les lois fondamentales du royaume »· L’absolutisme était tempérer par des institutions, notamment parlements qui s’opposaient à l ‘absolutisme des rois et qui voulaient jouer rôle corps intermédiaire 1. Les règles de conduite du Roi très Chrétien · « Roi très chrétien » —>titre réservé ; indique une conduite gouvernementale du monarque absolue contraire

la théorie chrétienne provient du judaïsme, notamment l'idée de la transcendance divine. Dieu dans les deux religions est en dehors de la nature visible, il est au-dessus. Elles substituent à une mythologie une métaphysique (soit l'explication des causes premières). Le judaïsme a aussi transmis l'idée d'une nature humaine qui est bonne à l'origine mais qui a été pervertie par le péché. La quête du chrétien est de retrouver cette pureté. L'héritage stoïcien: on va retrouver le personnalisme

des modèles plus individualistes. Le droit va s’adapter en reconnaissant plus de libertés aux individus et moins au chef de famille, au pater familias. • Des facteurs économiques. • Des facteurs politiques et idéologiques. Dans les années 80 la chute du mur de Berlin. • Des facteurs religieux et philosophiques. L’évolution du droit français est une constante recherche d’une séparation entre droit et morale, droit et religion. Le droit a une double fonction = • il s’agit d’organiser une société

sans que nul n’y trouve à redire. La tolérance est certainement une vertu maçonnique première, célébrée dès l’origine avec la plus grande netteté. En cela, elle annonçait incontestablement de grands changements dans une société encore figée par un absolutisme dont beaucoup percevaient l’essoufflement. Mais la maçonnerie en était-elle l’un des moteurs, ou simplement l’un des symptômes ? 5. La diffusion de la maçonnerie en province. Les loges militaires Il y a quatre ou cinq loges à Paris en 1737 et peut-être

originaire. Pouvoir constituant originaire est le pouvoir qui rédige une constitution soi à la suite d’une révolution pour remplacer ancienne constit (ex : Espagne après la chute de Franco, Fce après 1789, All après chute du mur de Berlin) mais également après défaite militaire (ex : rédiger la constit de 1815 après la chute de l’Empire). Pouvoir qui créé une constit. C’est à ce moment la que l’on considère pouvoir constituant originaire plus libre que le dérivé. Plus libre dans la mesure ou

INTRODUCTIF : DE L’ANCIEN RÉGIME A LA RÉVOLUTION – GRANDEUR ET DÉCADENCE DE LA MONARCHIE ABSOLUE, DU GRAND SIÈCLE AU SIÈCLE DES LUMIÈRES Grand siècle : siècle de louis XIV. Critique des Lumières crise institutionnelle, difficultés sociales -> chute de la monarchie. CHAPITRE 1 : PUISSANCE ET STABILITÉ Terme de pouvoir : Montesquieu. On parle de puissance pour faire référence au pouvoir du chef de l’État. Le roi règne sur des sujets, parfaitement encadrés dans des structures juridiques.

sans que nul n’y trouve à redire. La tolérance est certainement une vertu maçonnique première, célébrée dès l’origine avec la plus grande netteté. En cela, elle annonçait incontestablement de grands changements dans une société encore figée par un absolutisme dont beaucoup percevaient l’essoufflement. Mais la maçonnerie en était-elle l’un des moteurs, ou simplement l’un des symptômes ? 5. La diffusion de la maçonnerie en province. Les loges militaires Il y a quatre ou cinq loges à Paris en 1737 et peut-être