Les Chevaux de Dieu

larges queues. La mer semble un troupeau secouant sa toison : Mais un cercle d’airain ferme au loin l’horizon ; Le ciel bleu se mêle aux eaux bleues. - Faut-il sécher ces mers ? dit le nuage en feu. - Non ! - Il reprit son vol sous le souffle de Dieu. III Un golfe aux vertes collines Se mirant dans le flot clair ! - Des buffles, des javelines, Et des chants joyeux dans l’air ! - C’était la tente et la crèche, La tribu qui chasse et pêche, Qui vit libre, et dont la flèche Jouterait

carreaux. LE DUC. Viens par ici, le Hongrois a raison. (ils s'éloignent. − Entre Maffio.) MAFFIO. Il me semblait dans mon rêve voir ma soeur traverser notre jardin, tenant une lanterne sourde, et couverte de pierreries. Je me suis éveillé en sursaut. Dieu sait que ce n'est qu'une illusion, mais une illusion trop forte pour que le sommeil ne s'enfuie pas devant elle. Grâce au Ciel, les fenêtres du pavillon où couche la petite sont fermées comme de coutume ; j'aperçois faiblement la lumière de sa lampe

Elle fut aussi aimée par Neptune, et, pour échapper à sa poursuite, elle se changea en jument. Le dieu s'en aperçut et se transforma en cheval. Les amours de Cérès la rendirent mère du cheval Arion. Elle est représentée comme déesse pour les pauvres. Cérès a une fille unique, avec Jupiter, roi des dieux. Son nom est Proserpine, assimilée à Perséphone chez les grecs. Mais sa fille fut enlevée par le dieu du monde souterrain, Pluton. Cérès ne s'en remit pas et arrêta de se préoccuper de l'agriculture

proteste contre le bombardement de la ville. Cette œuvre dénonce les dégâts que causes la violence, la barbarie mais surtout la guerre. Picasso se sert aussi de symboles empruntés a la mythologie espagnol, le taureau et le cheval : -le taureau c’est la brutalité -le cheval c’est le peuple espagnol. Ce que l’on remarque immédiatement : -Œuvre figurative car on reconnait des éléments réels. -Formes et lignes on peut immédiatement remarquer les formes géométriques qui forment le tableau. -Le

|Ses attributs | |- « il fouetta ses chevaux de belle crinière » (380) | | |- « Eges » (381) |Palais du Dieu | |- « ses illustres demeures » (381)

DUC - Viens par ici, le Hongrois a raison. ( ils s’éloignent. - Entre Maffio. ) 2 MAFFIO - Il me semblait dans mon rêve voir ma sœur traverser notre jardin, tenant une lanterne sourde, et couverte de pierreries. Je me suis éveillé en sursaut. Dieu sait que ce n’est qu’une illusion, mais une illusion trop forte pour que le sommeil ne s’enfuie pas devant elle.Grâce au Ciel, les fenêtres du pavillon où couche la petite sont fermées comme de coutume ; j’aperçois faiblement la lumière de sa lampe

LE DUC - Viens par ici, le Hongrois a raison. ( ils s’éloignent. - Entre Maffio. ) 2 MAFFIO - Il me semblait dans mon rêve voir ma sœur traverser notre jardin, tenant une lanterne sourde, et couverte de pierreries. Je me suis éveillé en sursaut. Dieu sait que ce n’est qu’une illusion, mais une illusion trop forte pour que le sommeil ne s’enfuie pas devant elle.Grâce au Ciel, les fenêtres du pavillon où couche la petite sont fermées comme de coutume ; j’aperçois faiblement la lumière de sa lampe

dans laquelle Apollon fils de Zeus et de Leto, est le dieu du soleil, de la raison, des arts, musique, poésie et reste le symbole de la beauté car était le plus beau des dieux. Grâce à sa stature et se grande carrure, il avait le pouvoir de séduire de nombreuses nymphes dont Coronis qui lui donna un fils et Asclépios. Cette dernière ayant attiré fortement la colère de Zeus, fut frappée par la foudre. Apollon se vengea de Zeus qui était le dieu des dieux en tuant les cyclopes qui avaient forgé la poudre

s’ils sont bons ou mauvais. Madame Anfry. — Que tu es nigaud ! Comment veux-tu deviner ce que sont des maîtres que personne de chez nous ne connaît ? Blaise. — On ne les connaît pas ici, mais les garçons d’écurie qui sont arrivés hier avec les chevaux les connaissent, et ils ne les aiment pas. Madame Anfry. — Comment sais-tu cela ? Blaise. — Parce que je les ai entendus causer pendant que je les aidais à arranger leurs harnais ; ils disaient que M. Jules, le fils de M. le comte et de Mme

LE DUC Viens par ici; le Hongrois a raison. Ils s'éloignent. - Entre Maffio. GIOMO Il me semblait dans mon rêve voir ma soeur traverser notre jardin tenant une lanterne sourde, et couverte de pierreries. Je me suis éveillé en sursaut. Dieu sait que ce n'est qu'une illusion, mais une illusion trop forte pour que le sommeil ne s'enfuie pas devant elle. Grâce au ciel, les fenêtres du pavillon où couche la petite sont fermées comme de coutume; j'aperçois faiblement la lumière de sa lampe