Les Chocs Pétroliers Et La Stagflation

des alliés dans cette zone. Chaque camp essaie de gagner des alliés. (Ex : sous la monarchie du Shah d'Iran, l'Iran est du côté pro occidental). Logique régionale qui échappent à la GF : logique du pétrole (pays membres de l'OPEP ; tous les pays pétroliers vont se réapproprier leurs puits de pétrole (contraire aux idées pro occidentales)). Conflit Israélo-palestinien : tous les pays arabes sont clairement contre Israël (sauf peut être la Jordanie). III 1973-5/1985 : Un ordre bipolaire déstabilise

détérioré……………………………………………...……4 3.6. Des disparités de développement socio-économique entre pays arabes………..…….5 II. Les réactions du printemps arabe sur l’économie mondiale…………………………...………6 1. Raisons des variations sur les marchés pétroliers………………………………………....6 2.1. Ajustement des prix et demande……………………………………………………...6 2.2. L’inquiétude sur les marchés…………………………………...………….…………7 2.3. La spéculation……………………………………………………………..………….8 2. Conséquences des variations………………………………………………

d’achat qui triple en 30 ans (les salaires augmentent, le 2ème salaire est de plus en plus fréquent, les allocations familiales améliorent les revenus des familles). 2. La croissance ralentie des années 1980 La crise pétrolière inattendue Deux chocs pétroliers en 1973 puis en 1979 provoquent le quadruplement puis le triplement du prix du pétrole. Les coûts de production augmentent ce qui provoque un ralentissement de l’activité économique et des faillites : le taux de croissance annuel du PIB industriel

Tableau des différents paradigmes : Libéralisme : * 1968 : STAGFLATION = stagnation économique, montée du chômage et inflation. C’est le début de la fragilisation des idées de Keynes : ils ne savent pas expliquer la situation, qui est le résultat de 30 ans de Keynésianisme. * FRIEDMAN est le fondateur du monétarisme ($ as good as gold) * 1972 : NEC (Nouvelle École Classique) qui introduit la notion de cycle. Socialisme : * 1840 : PROUDHON, chef de file des anarchistes.

minimum, l’état n’aurait aucune entreprises comme une école, un hôpital…) A l’inverse, Keynes est partisan pour une intervention de l’état forte en temps de crise. L’état n’a pour lui néanmoins pas vocation à intervenir tout le temps. 
 La Stagflation est la grande nouveauté des années 70-80. C’est un phénomène entre stagnation économique (pas de croissance, chômage) et de l’inflation. Globalement, les grandes crises dans l’histoire de l’économie de sont accompagné de déflation (salaire, prix

débuts de la construction européenne avec la mise en place de la Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier (CECA) • UE : La France avec la CEE est l'un des piliers européen, construit sur le couple franco-allemand. III - 30 Glorieuses et chocs pétroliers : prospérité et crises A - Reconstruction et développement : • La reconstruction: Affiche pour un emprunt d' Etat 1946, la justification des nationalisations : la France avec la reconstruction de dote d'un plan pour réaliser la reconstruction

leur marge. La hausse des coûts peut provenir : -d’une hausse des salaires ou des charges sociales -d’une hausse du prix des matières premières (= inflation importée) -d’une hausse des impôts La France a connu en 1974 et en 1979-1980 deux chocs pétroliers qui ont été à l’origine de deux fortes poussées inflationnistes. III-LES CONSEQUENCES DE L’INFLATION A-Effets positifs → Elle facilite les investissements et la consommation. En effet, les ménages s’attendent à des hausses de prix

la demande des ménages (remise en cause du fordisme) - Forte augmentation du prix des matières premières et de l’énergie (chocs pétroliers 73-79) - Dollar n’est plus convertible en or. - Rareté des innovations ralentissement gains de productivités. Ralentissement croissance augmentation du chômage + inflation Réduction du pouvoir d’achat des salariés stagflation. 1950-60, 3ème phase d’industrialisation NTIC, apogée en 1990. Facteurs expliquant le nouveau processus de mondialisation :

marché du travail comme sur celui du financement. Ces économies sont plus « réactives » ou plus « instables ». Les comportements sont plus « court-termistes ». La mobilité est encouragée. Les salariés cherchent à maintenir leur employabilité. Les chocs sont absorbés par flexibilité externe. Les États-Unis en sont le modèle type. Économies coordonnées de marchés : Les engagements sont de longue durée, établis en marge du marché. Le rapport salarial est négocié et encadré par des conventions collectives

Sergent & Wallace). – Les prix sont fixes : le modèle IS-LM est inapproprié pour analyser les chocs d’inflation. Dans les années 1950-1960 il y avait peu d’inflation, donc le modèle IS-LM fournissait un cadre d’analyse pertinent pour analyser les fluctuations de court terme et les effets de politique monétaires et budgétaires. A partir des années 1970, une inflation élevée est apparue suite aux chocs pétroliers. – Dans la pratique les banques centrales fixent les taux d’intérêt et non pas la masse monétaire