Les Chocs Pétroliers économie Française

banques peuvent se faire concurrence mais pas entre les catégories.  But : Renforcer le système bancaire et éviter la faillite des banques. Jusqu’au milieu des années 1960, le système bancaire spécialisé parviendra à financer l’économie française, (accorder un financement un agent non financier résident : ménages, entreprises, administrations) grâce à l’Etat qui assure une partie du financement par le biais des « banques à statut légal spécial » (ce sont des banques créées par l’Etat ou à

aussi les grandes routes des hydrocarbures et des produits lourds (minerais), depuis les zones de production (MoyenOrient et Australie, par exemple), vers les grands foyers de consommation, le transport par voie d’eau permettant de réaliser des économies d’échelle et s’avérant donc moins coûteux. 3. Les investissements directs à l’étranger (2002-2005) L’Europe apparaît comme le principal pôle émetteur et récepteur de flux d’investissements directs à l’étranger (IDE), bien que son solde soit négatif

l'augmentation des salaires permise par les progrès de la productivité. Le progrès social n'était plus seulement envisagé comme un coût pour l'économie. Mais le premier choc pétrolier (1973-1974) prédisposera aux chocs, crises et turbulences. Le ralentissement de la croissance 1975-1980 Après le premier choc pétrolier, malgré des reprises d'activités passagères, une montée irrésistible du chômage apparaît comme un phénomène de long terme faisant partie du tissu socio-économique et qui deviendra

destructions sont d'une ampleur inouïe. Certaines villes sont même devenues des tas de cendres et de gravats, rasées par la force des attaques militaires. Infrastructures routières, ponts, ports, ont été dévastés par les armées allemandes, laissant les économies moribondes. Cette situation provoque de l'inflation et l'Europe n'est pas à même de rembourser ses dettes et, a fortiori, de reconstruire sur ces champs de ruines. Alors se perpétue le rationnement, se pratique le marché noir, tandis que la famine

 » (Ernest-Robert Curtius, 1925) 2. Langue : l’importance primordiale que la France a toujours apportée à la langue. L’Académie française a été fondée en 1635 par le Cardinal de Richelieu. Au XVIIIe siècle les élites européennes parlent français. Aujourd’hui encore les pouvoirs publics et les intellectuels français sont des ardents défenseurs de la langue française. 3. Institutions : la France a une histoire singulière en Europe. C’est le seul grand pays à avoir eu une administration centralisée

2 1) Pays belligérants et économie de marché (1914-1918) 2 2) La guerre : seule issue de la crise de 1929 2 3) La crise des années trente : nouveautés 2 4) Les enjeux économiques de la guerre froide 3 5) La crise de 1973 : une surprise, pourquoi ? 3 6) Compétitivité – Précarité – Exclusion dans les PDEM depuis les années 70 3 II) Sujets sur la France 4 1) La France de la Belle Epoque (1900-1914) : une économie en déclin ? 4 2) Le malthusianisme

économes, des nécessités écologiques qui s’imposent de plus en plus fortement dans la conception et l’usage des véhicules. Durant les 60 dernières années, l’industrie automobile française a cependant dû en relever d'autres : essor de la consommation de masse, ouverture des frontières et internationalisation des marchés, chocs pétroliers... Ainsi, depuis 1950, elle s’est sans doute davantage transformée que l'automobile elle-même. La crise de 2008 La crise mondiale de l’industrie automobile n’a pas épargné

stagnation de la production. CHAPITRE 1 : LA CROISSANCE DANS LES PAYS INDUSTRIELS. CROISSANCE LONGUE ET SITUATION CONJONCTURELLE EN FRANCE LA CROISSANCE LONGUE EN FRANCE Référence aux travaux de TOUTAIN (cf. doc. La croissance française depuis 1785) Sur deux siècles, TOUTAIN propose un taux de croissance moyen par an de 1,89%. En tenant compte de l’évolution démographique, on obtient une valeur égale à environ 1,52%. Ce résultat de 1,89% a été obtenu avec la guerre de 1870 et

industriels se ralentit. Pour restaurer leurs profits en baisse, les entrepreneurs innovent au niveau des techniques et de l’organisation de la production. La crise 10 Courant idéologique fondé sur l’affirmation de la liberté individuelle. En économie, il prône la liberté d’entreprendre et récuse l’intervention de l’état. Adam Smith (1723-1790) en est le théoricien emblématique. 11 Système conforme au libéralisme économique dans lequel les marchandises circulent librement entre les états sans

coopération internationale afin d'assurer la sécurité d'approvisionnement énergétique de l'UE. Si depuis les années soixante, la Communauté préconise une politique commune de l'énergie[2], ce n'est qu'en 1974, pour tenter de répondre au premier choc pétrolier, qu'elle va fixer une stratégie de politique énergétique[3]. En 1986, le Conseil s'efforça de coordonner les politiques nationales autour d'objectifs communs[4] afin de réduire la dépendance pétrolière, limiter "utilisation des hydrocarbures dans