Les Classes Ouvrieres

40 millions soit plus de la moitié, le monde rural représente 50% du PIB nationale. Le niveau de vie est globalement plus élevé mais il existe de forte disparité : les classe ouvrières vivent dans des les conditions les plus difficiles, les banlieues sont sordides, il ya une pénurie de logements. A Paris, les familles ouvrières vivent dans 15/20m2 face à ça la puissance publique tente d’améliorer les choses notamment avec la loi Siegfried (1894) qui met en place les ancêtres des HLM : Les HBM (habitations

Entrée en matière : Classe ouvrière= principal acteur du changement social. Reconnaissance du droit de grève et des syndicats a contribué à transformer les formes du syndicalisme. Convention collective : accord entre représentants des salariés et représentants des employeurs, relatif aux conditions d’emploi, de travail, aux grilles salariales et aux garanties sociales. Lutte des classes : concept Marxiste. Affrontement économique, social et politique entre classes sociales. Mobilisation collective

cendrillon→ Appolinaire se rend compte que jamais une femme comme mme de recamier ne voudrait de lui. Du v.15 à v.17→Analepse Guillaume Apollinaire finit par nuancer cet aspect angélique de cette figure féminine en decrivant une femme appartenant à une classe sociale inferieure de la belle inconnue. MOUVEMENT 2 La subordonnée consécutive formée de “si” et de “que”(v.21/v.22) évoquant l‘effet que produit la beauté de la figure féminine sur apollinaire montre que le poète est intimidé face à cette beauté

fait qu’il permettait de remédier à l’insuffisance de MO (les immigrants d’origine agricole pouvaient ainsi trouver un emploi après une formation courte.) * Au fait qu’il offrait aux employeurs un moyen pour contrôler (en la divisant) la classe ouvrière. * Au fait qu’il permettait d’abaisser les coûts salariaux moyens puisque la MO non qualifiée est payé moins cher. Le Fordisme : Au début du XXème siècle, Henry FORD, industriel de l’automobile à Détroit, Prolonge l’OST.

et le socialisme qui l’une et l’autre promettent le bonheur de chacun dans un monde harmonieux. Selon l’« utopie » libérale avec la loi de l’offre et de la demande en concurrence pure et parfaite, on assure l’équilibre éco et l’équilibre entre les classes de la société (propriétaires foncières, posseseurs des capitaux et travailleurs), une libre initiative et un libre jeu de marché. Ainsi, face à elle se dépolie l’utopie socialiste (le bonheur humain est assuré par une organisation adéquate de la socété)

partir des transformations de la représentation de la classe des dominées. Le mouvement a commencé avec une assistance considérée comme une forme d’intervention politique, jugée inférieure mais reconnue plutôt qu’un travail. L’assistance sociale comme on l’appelait, était essentiellement une affaire de femme pendant de 1900 à 1914, ou on pensait « l’ouvrier relevable ». Elle était financée et mise en œuvre par des éléments de la fraction de la classe dominante qui avait perdu le pouvoir avec l’échec

Partie 1 : les conditions de vie et de travail du monde ouvrier Partie 2 : les progrès réalisés Partie 3 : syndicalisme et lutte ouvrière Le monde ouvrier de 1850 à 1939 Au cours du XIXe siècle, les sciences et les techniques se développent considérablement. Les machines se perfectionnent sans arrêt. Une société industrielle va naître et va développer avec elle un monde ouvrier. Entre 1850 et 1939, des conditions de vie difficiles dans ce monde ouvrier vont s’accroître. Le progrès ne va

environnement professionnel est marqué par les nuisances et des conditions de sécurité souvent médiocres. Des différences de considération et de salaires opposent l'ouvrier qualifié, l'ouvrier spécialisé et le manœuvre sans qualification. L'identité ouvrière n'est pas seulement basée sur le travail. Le point commun de tous ces travailleurs est la misère. Dans les usines, les ouvriers sont soumis à un règlement très strict. Les journées de travail durent entre 13 et 15 heures. Les seuls jours de repos

conscience qu’ils sont défavorisés par rapport aux autres classes sociales. Avec le temps les conditions vont évoluer et de nouveaux droits sociaux vont se mettre en placent. ce qui va leur permettre de mieux se défendre. Néanmoins, à la veille de la seconde guerre mondiale, la vie du monde ouvrier reste difficile et la solidarité née de ces conditions de vie déplorables perdure, renforçant la prise de conscience d’une identité ouvrière. Nous allons tout d’abord observer les conditions de vie

mesure avec ce que la région pouvait fournir, le patronat fabrique une nouvelle classe ouvrière, en recrutant massivement des immigrés venus d'Italie, de Belgique et de Pologne. La concurrence entre sociétés sidérurgiques entraîne une gestion « paternaliste » du monde du travail qui, au nom des œuvres sociales aménagées, délivre des salaires très bas. D'où la nécessité d'empêcher toute relation entre la classe ouvrière de Longwy et les travailleurs d'autres régions. De même, étant donnée la pénurie