Les Consequences Des Conferences De Yalta Et San Francisco

nucléaire modifièrent les modes d'exercice de la violence. Dès mars 1953, les Soviétiques tiraient les conséquences de l'impossibilité de recourir à la guerre à l'ère du nucléaire (doctrine de la coexistence pacifique). « La confrontation des idées » fut alors substituée à la lutte armée, aussitôt que celle-ci risquait de déboucher sur l'emploi d'armes de destruction massive. Il en résulta deux conséquences. Tout d'abord s'estompa la frontière entre la paix et la guerre. Cette dilution de la violence, qualifiée

l'Afghanistan par l'URSS fin 1979 (la Paix Froide de 1980 à 1985) ⇨ se termine par une véritable amélioration consécutive à l'arrivée de Gorbatchev au pouvoir en 1985 ce qui conduit à la disparition de l'URSS en 1991, et par voie de conséquence à la fin de la guerre froide. I. 1947 : LA NAISSANCE DE LA GUERRE FROIDE AVEC LA CONSTITUTION DE DEUX BLOCS ANTAGONISTES. A. LES MANŒUVRES SOVIETIQUES ET L’EXPANSION DU COMMUNISME ← Trois grandes lignes dans la politique

Nations Unies. INTRO: ( Phrase d'intro général: A la fin du conflit de la Seconde Guerre mondiale, qui dura de septembre 1939 à septembre 1945, le monde est traversé par deux sentiments contradictoires. Tout d'abord une souffrance du aux conséquences de cette guerre: perte humaine et choc psychologique vis à vis de l'arme atomique. On note également une euphorie née de la victoire et de l'espoir nouveau par lequel se concrétise la mise en place des organisations internationales. L'idée de rétablir

Débuts de l’arme atomique : entre ultimatums et bombardements 1. Le facteur soviétique 2. La Conférence de Potsdam 3. Le premier ultimatum des Alliés aux Japonais 4. Les préparatifs du bombardement sur Hiroshima 5. La situation d’Hiroshima lors de la seconde Guerre Mondiale 6. Le bombardement sur Hiroshima 7. Un bombardement atomique : phases, effets et conséquences 8. La réaction du gouvernement nippon 9. Le second ultimatum aux japonais 10. La situation

en matières premières et en main d’œuvre. Les colons Européens font pousser thé, café et caoutchouc, exploitent les mines d’étain, prospectent l’or, l’argent et les pierres précieuses. Les Européens se partagent le continent africain lors de la conférence de Berlin notamment pour régler les rivalités qui ne cessent de surgir entre les puissances européennes. Convoquée le 15 novembre 1884 à l'instigation du chancelier de Prusse Bismarck, elle s'achève le 26 février 1885. On y définit les règles des

entre les pays européens, soit impliquant l’Allemagne (les alliances bismarckiennes) soit impliquant la France (les alliances françaises). Les accords et conférences signées afin de régler les conflits interimpérialistes : - Le congrès de Berlin I en 1878. - Le congrès de Madrid en 1880. - La conférence de Berlin II en 1884. - La conférence d’Algésiras en 1906. Les crises marocaines : - La crise de 1905, survenue dans le cadre de la concurrence franco-allemande à propos du Maroc, surtout

reconnaître les indiens comme personnes humaines. Le roi d’Espagne et le pape Paul III considéraient que les indiens n’avaient pas d’âme et que leur faiblesse mentale justifiait leur mise sous tutelle et en esclavage. 2 hommes s’y sont opposés : * Francisco de Vitoria (professeur de philosophie à Salamanque et donne des leçons pour démontrer que les indiens étaient propriétaires de leurs terres au moment de la conquête) * Bartolomeo las Casas (proteste sur le terrain et obtient du pape une bulle

dirigées par le général Von Paulus, capitulent (500 000 morts du côté allemand). C’est l’effondrement d’un mythe, celui de l’invincibilité des armées nazies. Pour la premières fois, les armées d’Hitler sont mises en déroutes. Cela va avoir des conséquences, notamment chez les alliés de l’Allemagne. Cela suscite même des questionnements en Allemagne, où les généraux se posent des questions sur les stratégies d’Hitler et cela redonne également le moral aux résistants sous occupation allemande, du côté

illimité, ça signifie qu’il n’existe aucune entité disposant d’un pouvoir plus grand. L’Etat est l’entité sociale qui dispose des pouvoirs les plus étendus, ce qui lui confère une position d’acteur privilégié au niveau international, avec comme conséquence que pendant des années les relations internationales ont été considérées comme les seules relations interétatiques. Dans une certaine mesure, on pourrait dire que le principe de souveraineté est en contradiction avec le principe de

fin de la guerre, Staline cherche à étendre l’influence soviétique en Europe et en Asie. Ainsi, l’Armée rouge manifeste fortement sa présence dans les pays d’Europe de l’Est qu’elle a libérés du nazisme (Pologne, Tchécoslovaquie). Lors des conférences de Yalta et de Potsdam, en 1945, l’URSS est même parvenue à faire accepter par ses alliés l’annexion de plusieurs territoires (États baltes, Pologne orientale) et l’occupation de l’Est de l’Allemagne, y compris Berlin-Est. Par ailleurs, en Chine où