Les Contemplations Autobiographie

l’expérience, et, avec lui, le sujet de l’énonciation, le JE lyrique, ne peut être que réel ».[26] Sa thèse radicale qui rejette le roman à la première personne hors du champ de la fiction en le mettant sur le même plan qu’un poème lyrique, une autobiographie, un journal ou une correspondance, permet de comprendre autrement la réception d’une œuvre poétique, dans le sens où la singularité de l’énonciation lyrique autorise au lecteur une identification avec un « je » plus « réel », moins illusoire qu’un

➢ Poésie Le lyrisme : mot est relié à la musique, évoque la Lyre. Il correspond à l’intimité, à l’épanchement du cœur, à la confidence et même à l’élégie (ou tonalité élégiaque), c’est à dire la lamentation, la déploration. - Hugo, Les contemplations La tonalité épique : La poésie est reliée à l’histoire de l’humanité. elle fabrique des mythes modernes à partir des mythes anciens. - Vigny, Les destinées - Hugo, La légende des siècles Le symbolisme : romantisme teinté de mysticisme

et amour sont de l’or, déclara le héros, je ne veux ni gloire ni amour. Le bonheur paisible me suffirait, la vie contemplative. Garantis-la moi. — Fou que tu es ! s’exclama la fée en souriant. Prends cet or, car il en faut même pour 10 la seule contemplation. » 1 Écriture I. Vous répondrez d’abord aux questions suivantes (6 points) : — Formulez brièvement la « morale » que l’on peut tirer de chacune des fables composant ce corpus. — Ces « morales » de fables vous paraissent-elles correspondre

Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au lecteur le soin de « construire » un personnage et un univers. Enfin, les frontières entre fiction et réalité se brouillent, avec des genres comme l’auto-fiction, mêlant autobiographie et fiction. Le roman, en offrant un univers fictionnel, permet au lecteur de s’évader du réel et de savourer les plaisirs de l’imagination. Mais, parce que le parcours de personnages individualisés forme le pivot de cet univers, le roman est

Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au lecteur le soin de « construire » un personnage et un univers. Enfin, les frontières entre fiction et réalité se brouillent, avec des genres comme l’auto-fiction, mêlant autobiographie et fiction. Le roman, en offrant un univers fictionnel, permet au lecteur de s’évader du réel et de savourer les plaisirs de l’imagination. Mais, parce que le parcours de personnages individualisés forme le pivot de cet univers, le roman est en

Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au lecteur le soin de « construire » un personnage et un univers. Enfin, les frontières entre fiction et réalité se brouillent, avec des genres comme l’auto-fiction, mêlant autobiographie et fiction. Le roman, en offrant un univers fictionnel, permet au lecteur de s’évader du réel et de savourer les plaisirs de l’imagination. Mais, parce que le parcours de personnages individualisés forme le pivot de cet univers, le roman est

Kurt Schwitters. L’enchevêtrement des pratiques artistiques est tel que la perception de l’objet devient un événement évoluant avec le contexte dans lequel il est perçu, de même que l’événement, n’étant soumis à aucune directive, se vit comme la contemplation d’un objet. ALLAN KAPROW, L’INVENTEUR DU « HAPPENING » Parmi les artistes présents à cet événement figure également Allan Kaprow, l’inventeur du terme « happening », précisément défini dans « Something to take place : A Happening », texte publié

ses romans lui permet de vivre de sa plume (1930). Dans les années 30, Giono acquiert donc une position de premier plan dans le champ littéraire. Il écrit beaucoup : du théâtre (Le Bout de la route) ; des nouvelles (Solitude de la pitié); une autobiographie romancée (Jean le Bleu) ; d’autres romans (Le Chant du monde, Que ma joie demeure, Batailles dans la montagne)... Par ailleurs, il s’engage de plus en plus sur le terrain des luttes politiques et idéologiques. Après le 6 février 1934, il prend

avec un travail plastique (peinture, découpage…) • Atelier livre pauvre : fabriquer une microédition associant texte / travail plastique • Écriture à partir de photos des lieux fréquentés par Van Gogh. Rédiger à la 1re personne, comme dans une autobiographie. 2. ÉCRIRE POUR RENDRE JUSTICE Dans TV, on remarquera la récurrence d’une même idée pour tous les métiers (pasteur pour le père de Vincent, pharmacien pour le père de Gaston) mais plus encore pour l’ar- tiste : la raison d’être de chacun d’entre

l’esthétique naturaliste. Des Esseintes, personnage principal avec des gouts d’esthète, dandy de fin de siècle avec décadence et mysticisme. Il se retire de la vie mondaine, dans sa demeure au milieu d’ouvrages et d’objets précieux, et s’adonne à la contemplation. Le portrait de Dorian Gray, O. Wilde & 1890-1, parallèle avec À Rebours. Le Déclin de Mensonge : la vie imite l’art bien plus que l’art imite la vie. L’important est de créer dans la vie et non pas de la copier. L’art ne saurait être jugé