Les Contes d'Hoffmann

Manneporte, (musée d’Orsay, (vers 1885), huile sur toile, 65,8 Paris). x 81,5 cm Première expositi on des peintres impressionniste s Lire et obse rver Quel tableau préférez-vous Justifiez votre réponse en ? quelques lignes. 1875-1893 Contes de Guy de Maupass ant (1850-1893) vers 1884-1 Repasseuses d’Edgar Degas (1834-1 917) 886 vers 1885 Étretat, la Manneporte de Claude Monet (1840-1926) 1 Gustave Courbet (1819-1 1897 Boulevard des Italiens de Camille Pissarro (1830-1903)

du symbolisme ainsi défini, et comme gagé mystiquement. Au plan non plus mystique, ou spéculatif, mais poétique, on voit dans la suite du sonnet qu'un des outils privilégiés de cette visée analogique est la synesthésie -déjà commentée, à partir d'Hoffmann, dans un passage du Salon de 1846 (Pl. II, p. 425-426), et dont un bel exemple se lit dans les deux dernières strophes de Tout entière; Baudelaire marquera par la suite, plus clairement qu'ici, en citant ses deux quatrains en 1861, dans l'étude

Offenbach, créée en 1881, est un opéra fantastique. Quel en est le titre ? Quel mot désigne à la fois une petite masse de plomb servant à fixer les filets de pêche et l'enveloppe contenant les semences d'une plante légumineuse comme le pois ? Les Contes d'Hoffmann La gousse Selon l'expression, quand on change de sujet sans transition, on "passe du coq à... L'âne 352 Questions Réponses Quel acteur incarne "Louis la Brocante" sur France 3 ? Victor Lanoux A Paris en particulier, on

Vasilievitch ! Tout le temps que j’ai eu la fièvre et le délire, il est resté près de moi toute la nuit, sans fermer l’œil, et maintenant, comme il sait que j’écris, il est avec les fillettes dans le divan, et de ma chambre j’entends qu’il leur raconte des contes allemands, et qu’elles l’écoutent en riant aux éclats. » LA BELLE FLAMANDE, comme tu l’appelles, est ici depuis deux semaines, parce que sa mère est partie quelque part en visite, et par ses soins, elle me témoigne le 128 plus sincère dévouement

des enfants, l'inhumanité des riches, le libertinage des pauvres, le faste frivole des gens de fortune». Elles sont, en effet, toutes fourmillantes des sujets les plus divers : choses vues, scènes de la réalité quotidienne, rencontres, anecdotes, contes, lettres (supposées) à l'éditeur, réflexions, commentaires moraux, maximes, écrites avec un art qui ne cessait de se nier lui-même, livrées avec une irrégularité qui passait pour gage de naturel et de sincérité, il put satisfaire son goût de la liberté

arriva-t-elle dans la vie ? Yvan fut-il vraiment le rival malheureux de son père ? C'est possible. Les natures des deux hommes rendent le drame vraisemblable et il y a, dans le journal des Goncourt, le récit d'un dîner Magny où chacun des convives dut conter son premier amour et où seul Tourgueniev eut une belle histoire à dire. Mais il est probable que, comme tout romancier, il juxtaposa des éléments d'origines différentes. On sait par exemple qu'en 1843, il était devenu amoureux de la cantatrice Pauline

juste s’ils ne me signent pas des chèques. Ils arrivent gonflés à bloc de légitime indignation et repartent, persuadés, quoi qu’ils aient vécu, vivent ou vivront, d’avoir, ce jour-là, côtoyé le pire : le malheur fait homme – comme dans un conte d’Hoffmann remis au goût du jour. Et, à chaque étape de leur parcours initiatique dans le Magasin, ils croisent l’objectif de Clara. Clara qui saisit leur rage quand ils se propulsent vers le bureau de Lehmann, Clara qui fixe toutes les phases de leur

juste s’ils ne me signent pas des chèques. Ils arrivent gonflés à bloc de légitime indignation et repartent, persuadés, quoi qu’ils aient vécu, vivent ou vivront, d’avoir, ce jour-là, côtoyé le pire : le malheur fait homme – comme dans un conte d’Hoffmann remis au goût du jour. Et, à chaque étape de leur parcours initiatique dans le Magasin, ils croisent l’objectif de Clara. Clara qui saisit leur rage quand ils se propulsent vers le bureau de Lehmann, Clara qui fixe toutes les phases de leur transformation

analyse { partir de L’Homme au sable de Hoffmann. Dans ce conte fantastique, l’étudiant Nathanaël tombe amoureux de la poupée animée Olympia, qui n’est qu’un automate avec différents rouages. En 1932 Bellmer assiste à une représentation des contes d’Hoffmann, où figure la fameuse poupée Olympia. Ce sera la révélation de son œuvre entièrement axée sur ce sujet. En 1933 il réalise une première poupée avec des jointures à boules. En 34-35 les photos de ses poupées paraissent dans le numéro 6 de la

deuxième moitié du XVIII e siècle, le thème lugubre incorpore ainsi la poésie de la ruine et du sépulcre, que seule permet d’apprécier vraiment l’étrange douceur lunaire[351]. » Ce courant est stimulé par la parution entre 1815 et 1817 des Contes nocturnes d’Hoffmann et s’accompagne chez certains d’un goût prononcé pour le satanique et le fantastique. « L’œuvre poétique, romanesque et picturale de Victor Hugo se présente