Les Crises économiques Sont Elles Inéluctable

LA CRISE DES ANNEES 1930 I) 1 crise exceptionnelle : A) L’ampleur de la crise des 30’s la singularise des autres crises du 20ème siècle : 1) 1 dépression mondiale qui a débuté avant le choc d’octobre 1929 : 2) 1 dépression d’ 1 gravité sans précédent 3) L’emploi en subit le contrecoup 4) et le commerce mondial se contracte  B) Cependant, au sein de la dépression, les situations sont inégalitaires : 1) Elle touche inégalement les pays 2) Elle touche différemment le secteur industriel

hétérodoxes (pensée libre et originale, ne s’alignant sur aucun des courants principaux). Il est très marqué par la lecture de Marx et a contribué à l’analyse de l’évolution du capitalisme. Résumé Cours : I) Progrès technique et évolution économique selon Schumpeter A : Innovation et dynamique du capitalisme Par un processus de destruction créatrice, l’innovation imprime au capitalisme un processus d’évolution. Survenant par grappes, les innovations produisent un mouvement cyclique. B :

plus démunis ? Ø Quelles sont les conséquences de la croissance économique ? Ø D’où provient le chômage ? Principaux économistes de la période classique Ecole classique : A. Smith, D. Ricardo, T. R Malthus et J-B. Say Courant réformiste : J.S Mill, S. Sismondi, F. List, C.H. de Saint-Simon Courant socialiste : C. Fourier, K. Marx, P.J Proudhon, R. Owen. I. Des premiers économistes aux classiques : Pendant longtemps, le pensée économique est restée dépendante de la morale. Dans l’Antiquité Platon et

H Histoire des crises économiques. Plan : 1. les caractéristiques de la société traditionnelle. 2. les crises frumentaires d’ancien régime. 3. Crises industrielles comme crises de surproduction ? 1. La réponse des économistes classiques. 1. une tentative d’analyse des faits qui ont conduit à la grande dépression. 2. Keynes et les « classiques ». Vers l’interprétation macroéconomique des crises. 3. Le développement de l’analyse en termes de cycle. 1. l’analyse de la stagflation selon Milton

Thème 1 : croissance, fluctuations et crises 1ère partie : quelles sont les sources de la croissance économique ? I. Intérêt et limites du PIB comme mesure de l’activité économique A. Reprise des acquis de première : Comment se mesure l’apport productif d’une entreprise ou d’une administration ? Comment se mesure la richesse produite par un pays ? Notions à reprendre : VA(valeur ajoutée), facteurs de production, CI(consommation intermédiaire) . Définitions des notions acquises en 1ère

Thème 4 Fluctuations et crises Introduction L’explication des fluctuations économiques par les cycles est ancienne et trouve ses fondements dans les rythmes d’activités des sociétés traditionnelles. En effet celles-ci sont souvent agricoles et donc soumises à des successions de saisons, à des variations climatiques qui modifient les rendements. Avec l’évolution des sociétés, l’origine des cycles s’est modifiée. Mais le cycle économique s’est imposé comme reflétant de manière assez fiable l’évolution

p.12 3-3) De nouvelles idées… p.13 Conclusion p.15 Bibliographie p.16 Annexes p.19 Un pneu, du savon, de la peinture, un vinyle… voici autant d’exemples qui ont un point en commun : le pétrole. Celui-ci a déjà connu deux grandes crises (dont la plus récente date de 1979) et connaît actuellement un troisième choc qui fait l’objet de nombreuses polémiques. En effet, cette substance est devenue vitale dans la vie de tous les jours, voire même, quasiment indispensable. Seulement

déséquilibre entre le pilier 1 et les autres piliers III. Les réformes nécessaires III.1 Un superviseur bancaire puissant et indépendant III.2 Réformer la réglementation prudentielle III.3 Mettre en place à l’avance un mécanisme crédible de gestion des crises 21 23 24 >21 Références >26 I. Les accords de Bâle1 Le Comité de Bâle sur le Contrôle Bancaire (CBCB) a été créé en 1974, à l’initiative du G-10, à la suite de la faillite de la banque allemande Herstatt. L’objectif était d’édicter

l'intérêt supérieur du pays, s'ils reposent sur l'adhésion confiante des citoyens. En matière d'institutions, bâtir sur autre chose, ce serait bâtir sur du sable. Ce serait risquer de voir l'édifice crouler une fois de plus à l'occasion d'une de ces crises auxquelles, par la nature des choses, notre pays se trouve si souvent exposé. Voilà pourquoi, une fois assuré le salut de l'État, dans la victoire remportée et l'unité nationale maintenue, la tâche par-dessus tout urgente et essentielle était l'établissement

idées de dé-mondialisation et d'alter-mondialisation. Le terme mondialisation ( étymologie: du latin « mundus », univers) désigne le processus d'ouverture de toutes économies nationales sur le marché devenu planétaire. C'est un terme à la base économique mais il est également utilisé dans d'autres domaines tels que les échanges entres individu ou les activités humaines. Le terme « anti-mondialisation » ( étymologie: du grec « anti », contre/opposé, et de « mundus », univers) désigne un mouvement