Les Deux Coqs Symbolique Animale

janvier 2013. LA FONTAINE et les FABLES. LIVRES VII à XII. Nous verrons d’abord la biographie de La Fontaine, puis nous « étudierons » " LES FABLES"  Examen de chacun des Livres : comment les fables passent de la moralité à plus de philosophie  Les animaux : leur nouveau rôle / hommes et leur société  Où retrouver La Fontaine dans les Fables VII à XII. Liliane Douté-Turnayan. Jean de La Fontaine. Jean de la Fontaine est né à Château-Thierry le 8 juillet 1621. En fait, il serait né le 7 ou le 8 juillet

sur le combat de coqs balinais L��uvre de Clifford Geertz, parmi les plus notables de l�anthropologie contemporaine, est encore toute à découvrir en France. Elle porte essentiellement sur les cultures de l�Indonésie et de l�Afrique du Nord : The Religion of Java (1960), Peddlers and Princes (1964), The Interpretation of Cultures (1973). L�article que voici, paru en 1972 dans Daedalus, a imposé l�exemple d�un type original d�analyse ethnologique

La symbolique de la nature chez Lafontaine I)Des animaux types 1) Une société typisée Société = animaux type : -Lion représente le roi (« Les animaux malades de la peste », « La cour du lion » …) -Personnages comme renard, singe, ours, chat, etc… représente courtisans (« Le lion le loup et le renard » (VIII, 3) « le chat et le renard » (IX, 14) -Personnages comme l’âne, le lapin, le rat, etc … représente le peuple naïf et victime (« Les animaux malades de la peste » (VII, 1) « Le chat

« répondit », « reprit », etc.) et l’imparfait est utilisé pour décrire les actions des deux personnages principaux et donner des informations sur les personnages (« il s’appelait Roger »). La présence d’une narration (« un roi de Naples... ») est un élément également important du récit. De plus, on observe un schéma narratif caractéristique du récit avec: une situation initiale: rencontre du pèlerin et du roi tous deux égarés Un élément perturbateur : le pèlerin veut démontrer au roi que sa cour est

parvient à intégrer deux fables dans une, afin de mieux dénoncer la légèreté parfois inconsciente des êtres humains. L’auteur nous décrit un orateur cherchant à se faire écouter par tous les moyens, et y parvenant finalement à l'aide d'une fable. D'où l'originalité de ce texte qui intègre deux fables. La Fontaine nous dévoile donc le pouvoir de ces fables même si un seul est explicité dans la morale. Il en profite pour dénoncer la race humaine qu'il trouve légère et puérile. Les animaux malades de la

| |Et que la faim en ces lieux attirait. | |"Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage? | |Dit cet animal plein de rage : | |Tu seras châtié de ta témérité. | |-Sire, répond l'agneau, que Votre Majesté

présente généralement sous la forme d’un récit bref, repose sur une structure simple qui ne met en jeu que deux ou trois personnages dont les intentions sont immédiatement identifiables par le lecteur. Deux coqs vivaient en paix ; une poule survint, et voilà la guerre allumée (La Fontaine). • Une argumentation directe : Le récit est très souvent imagé, il met en jeu des personnages symboliques (animaux, Dieux, hommes) à travers lesquels le lecteur est amené à réfléchir sur sa propre condition. Tout vainqueur

LES DEUX COQS, Jean de la Fontaine Fable. Apologue = texte didactique. Imparfait/passé-simple : récit -> schéma narratif Présent : v27 -> narration / v29 -> vérité générale Schéma narratif : - Situation initiale v1 - Element perturbateur v1 - Péripéties v2-10 / v11-18 - Elements équilibrant (de resolution) v19-24 / v24-28 - Situation finale/dénouement Tonalités: - Mythologisme -> Référence - Épopé - Parodie - Allégorie 1- Un Apologue

l'année et ensuite le mois de janvier ne succède pas au mois de février. De même pour le titre suivant : «  le 25 » date qui ne précise ni le jour, ni l'année, ni le mois. Ainsi ce titre paraît être là par convention et non pour l'information. Les deux titres qui se succèdent sont de moins en moins précis. Puis, l'extrait n'est pas composé que de suggestions du personnage, discrétement, l'auteur de la nouvelle intervient et le pronom « je » n'est plus employé : «  L'Anglais est un grand politique

nous met à la place de la foule. On sait qu’il commence une fable car il y a une déesse, l’imparfait, deux animaux (l’anguille, l’hirondelle), de plus ces trois personnes appartiennent à différents milieux. Puis l’orateur s’arrête comme si l’histoire était finie, ce qui provoque l’attente et la curiosité. Il n’a jamais eu l’intention de terminer la fable mais la foule s’y intéresse. Après deux moyens d’argumentation classiques voués à l’échec, il a obtenu l’effet désiré par la fable. L’ambassadeur