Les Devoirs Entre époux

2. L’âge. B. Les conditions d’ordre psychologique : Le consentement des époux. C. Les conditions morales et sociales  1. Interdiction de l’inceste. 2. Interdiction de la polygamie. §2. Les conditions de forme : A. Les formalités antérieures au mariage : 1. Remise de documents à l’officier d’état civil. 2. La publication des bans. 3. L’audition des futurs époux. B. La célébration du mariage Section 2 : Les sanctions des conditions de fond

affaires familiales), qui était membre du TGI, dont la compétence couvre les conflits qui apparaissent entre époux pendant le mariage, ensuite, le contentieux du divorce, ensuite les questions liées au nom de l’enfant et à l’autorité parentale, et aussi, le contentieux de l’obligation alimentaire. 12 mai 2009 : élargi la compétence du JAF, qui est compétent aussi pour les conflits qui apparaissent entre concubins : LE JAF EST DEVENU UNE SORTE DE JUGE DE DROIT COMMUN EN MATIERE DE DROIT DE LA FAMILLE

juridique de famille. La famille est un groupe de personne à l’intérieur duquel se crée une ou des solidarités. Le lien familial naît à partir de la parenté mais il faut penser également au lien d’alliance. La parenté : lien juridique qui existe entre deux ou plusieurs personnes qui descendent les unes des autres ou qui descendent d’un auteur commun (cousins), ce lien entraine des effets juridiques. La parenté est soit en ligne directe soit en ligne collatérale. La parenté en ligne directe relie

courtage matrimonial est l’activité qui consiste, pour un professionnel, à offrir des rencontres en vue de la réalisation d’un mariage. Dans le langage courant, on parle d’agences matrimoniales. - Juridiquement, il se forme entre le professionnel et le client un véritable contrat par lequel le professionnel s’engage uniquement à mettre en contact des gens qui restent bien entendu libres de se marier ou non avec la personne présentée. - Pendant très

maudit. Est-ce qu'un divorce est obligatoirement une source conflictuelle entre époux et jusqu'où le devoir de fidélité s'applique-t-il ? Il existe des situations où pendant des années, deux époux ont vécu un mariage stable basé sur la fidélité car elle est considérée comme une conséquence même du mariage (I) pour en fin de compte divorcer, c'est un point de non retour, leur couple est réduit à néant (II). I- Le devoir de fidélité, effet essentiel du mariage A- Fidélité comme conséquence

directe, la ligne collatérale est brisée. Pour calculer le degré de parenté ici, il faut additionner le nombre de génération qui sépare chacun des intéressés, en passant par l’auteur commun. Lee degré le plus proche est le deuxième degré. Ex : le lien entre nièce et oncle : nièce au père, puis père au grand père, puis grand père a l’oncle donc 3ème degré. Cette parenté collatérale peut se trouver dans les deux lignes, paternelle et maternelle . Dans ce cas il s’agit des frères germains. Mais consanguinqd

Bardin, sans profession, sont mariés depuis le 14 février 2000 et sont parents de 3 enfants. En 2006, suite à une décision professionnelle de M. Bardin, les époux s'installent en Polynésie. Se sentant délaissée par son mari, Mme BARDIN rencontre un homme qui devient son amant et chez qui elle s'installe au bout de quelques temps. Les époux sont séparés à l'amiable depuis le mois de septembre 2010. Alors que M. Bardin n'entend pas se séparer de son épouse, cette dernière en revanche, déterminée

conséquence est la fin du régime matrimonial mais une autre conséquence peut aussi intervenir, c’est la prestation compensatoire, celle-ci est règlementée par l’article 270 du code civil qui énonce que : « le divorce met fin au devoir de secours entre époux. L’un des époux peut être tenu de verser à l’autre une prestation destinée à compenser, autant qu’il est possible, la disparité que la rupture du mariage crée dans les conditions de vies respectives. Cette prestation a un caractère forfaitaire

vigueur le 1er février 1966 Si les conventions matrimoniales ne règlent pas la contribution des époux aux charges du mariage, ils y contribuent à proportion de leurs facultés respectives. Si l'un des époux ne remplit pas ses obligations, il peut y être contraint par l'autre dans les formes prévues au code de procédure civil. Article 220 Modifié par LOI n°2014-344 du 17 mars 2014 - art. 50 Chacun des époux a pouvoir pour passer seul les contrats qui ont pour objet l'entretien du ménage ou l'éducation

formes d’union comme le pacte civil de solidarité (dit Pacs). Le mariage est un acte solennel par lequel un homme et une femme s’unissent et dont les effets sont fixés par la loi. Nécessitant la volonté des époux, le mariage est un acte juridique. Mais ce n’est pas un simple contrat, car les époux ne peuvent aménager librement ses effets et ne peuvent le résilier à leur guise, c’est un acte civil dont les conditions apparaissent au titre V du Code Civil, de l’article 144 à 227. Le mariage est donc également