Les Diaboliques

se prévaloir de son droit de préférence. Il apparaît donc difficile pour cette dernière d'apporter cette preuve à tel point que certains auteurs la qualifient de ''preuve diabolique'' (A), ce qui complique la mise en œuvre de la substitution de la bénéficiaire dans les droits de l'acquéreur (B). A. La ''preuve diabolique'' de l'intention du bénéficiaire de se prévaloir d'un pacte de préférence. Dans l'arrêt rendu le 15 décembre 1993 par la 3ème chambre civile de la Cour de cassation, les

I_ Points de convergences, Frears fidèle à Laclos a. Libertine b. Diabolique Lettre 81 = confidence à Valmont dans le salon de Mme de Merteuil. Laclos dans son roman donne davantage d'exemples que Frears pour accentuer son diabolisme (aventure avec Prévan qui n'apparaît pas dans le film). Révélation à Mme de Volanges de la relation entre sa fille et Danceny dans le livre par une lettre. Dans le film : elle feint l'inquiétude sous l'oeil témoin de Valmont. La manipulation est mise en

en taule tu seras fier d’être un de mes mômes moi qui gâche ta vie en te façonnant dans mon monde je t’ai détourné des tiens ta famille, tes études, et toi tu me chantes des louanges, certains font même des raps sur moi! je suis la mère diabolique des enfants perdus, certains y ont laissé leur vie, si jeune, est ce dur à croire?! Mort pour l’honneur, pour le pacte, mort pour la gloire! je suis la rue, sans scrupules et sans cœur je me nourris de ces âmes perdues, si jeunes et en pleurs

apartheid, ... Face à ce nouvel apartheid, sanitaire, le mouvement anti- apartheid ... avons créé un mouvement et lui avons fourni, étape par étape, des objectifs. L'apartheid alors prôné par les politiques au pouvoir, repose sur l'idée de .... de « diabolique » et qui ont eu cours sous le régime d'Apartheid. ... Le principal objectif de Basson était de préparer Pretoria à une apocalypse chimique.

s'en souvenir jusque dans ses vieux jours, comme une jeune fille se souvient du bal où elle a eu des triomphes. Le lendemain, quand, en déjeunant, il raconta ses succès au père Goriot devant les pensionnaires, Vautrin se prit à sourire d'une façon diabolique. Le Père Goriot - Honoré de Balzac Annonce des axes Etude I Le personnage au cœur du récit : La narration adopte le point de vue principal, rendu omniprésent, point mire du récit et de l’attention de tous. Le point de

presque impossible de les plaindre » (l. 8). De plus, la couleur de la peau donne aussi lieu à un préjugé fort courant à l’époque: la présence d’une antithèse « âme bonne, corps tout noir » (l. 10) laissant entendre que cette pigmentation est un signe diabolique, la marque même du Mal incarné qu’il conviendrait de réprouver. Enfin, « noirs des pieds jusqu’à la tête » (l.7), est une expression faussement hyperbolique qui révèle une incrédulité mais aussi et surtout un dégoût et un mépris profonds pour ceux

donc une parole qui suscite la pitié du lecteur. 4) Puis Victor Hugo, tel un avocat, reprend la voix par une invocation « Ô servitude infâme imposée à l’enfant ! / Rachitisme (…) ». Deuxième analyse Puis, le travail est investi d’une valeur diabolique. 1) Il est présenté par Victor Hugo comme le diable, la figure inversée de Dieu, comme le suggèrent les structures en chiasme sonore (« Défait ce qu’a fait Dieu ») ou syntaxique (« La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée »). 2) Au

elle est issus de pratiques savantes ou populaires. Au XVI ème siècle la magie était considérée comme hérétique. L'Église jugea que ces croyances occultes allaient à l'encontre des droits divins, puisque grâces a ces pratiques, ( jugées de diabolique ) on réussi à soigné de grave maladies, à base de plantes. Au XVI ème siècle, la sorcière a pris une place important au sein du peuple, en effet, la bien aimé de Satan, qui guérit, prédit, évoque les âmes des morts, qui peut vous jeter un sort

son personnage une conception artistique plus romantique que classique. À son tour, il se coule dans ce goût pour le « bizarre » mis à la mode par E.T.A Hoffmann et approfondi plus tard par Baudelaire. L’artiste a su repérer ce « quelque chose de diabolique » repris par le « je ne sais quoi qui affriande ». L’expression insiste sur deux aspects : le charme indéfinissable qui permet de prolonger l’attente du lecteur, mais aussi le raffinement esthétique propre à l’artiste peintre. Le tout est condensé

envie de lire la nouvelle. Parfois le narrateur derrière certaines mots c’est comme s’il nous voulait transmettre des messages. Quand le narrateur dit “Vanina Vanini, cette jeune fille aux cheveux noirs et à l’oeil de feu” il montre le cote diabolique d’une femme que peut aussi etre belle. Quand le jeune carbonaro apparaît dans le bal l’effet d’il aparaître à minuit ça montre que l’histoire à un côté magique et de conte de fée, et ça nous fait toute suite penser que les deux, Vanina et le jeune