Les Erinyes

Matrimonio cristiano e societàpagana. Spunti per una ricerca », Studia et Documenta Historiae et Iuris 51, 1985, p. 367-391. 10 mariage chréien. [ 2631 SARIAN (Haiganuch), « Erinys », in Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae III, Artemis Verlag, Zurich - Müchen, 1986, p. 825-843. 06, 10, 12, 17 Clytemnestre, Erinyes, matricide. [ 2632 SAUSSURE (R. de), « Le complexe de Jocaste », Internationale Zeitschrift fü Psychoanalyse 6, 1920, p. 118-122. 17 Jocaste, psychanalyse. [ 2633 SAUVAGEOT

mode de vie amené par l’industrialisation : abêtissement, standardisation des comportements, monotonie des existences. L’évocation acquiert ensuite une dimension fantastique et visionnaire, où les machines, avatars contemporains des mythologiques Érinyes, prennent le pas sur l’homme : dans les brumes industrielles créées par « l’épaisse et éternelle fumée de charbon », les trains sillonnent la ville, « spectres nouveaux », divinités vengeresses nées de la modernité, venues du royaume des ombres pour

le châtiment… avant leur arrivée… » * Ce sont des guerrières impitoyables, dont le but est de châtier les malfaisants lorsqu’ils ont échappé à une juste punition. * Leur chef n’est autre qu’Alecto l’Implacable. - 345 - * On les appelle aussi Érinyes ou Euménides. Les Spectres « Nul ne connaît leur origine, mais leur présence glace tout un chacun. » * Créatures fantomatiques hurlantes. Invincibles et, pour l’essentiel, incontrôlables. * On les appelle aussi l’Antique Fléau. La Démonarchie « Les

cherche à symboliser les relations entre le monde des Enfers souterrain auquel appartiennent le chœur des Erinyes et le fantôme de Clytemnestre qui réclame vengeance contre Oreste, l’espace humain et l’espace des dieux de l’Olympe auquel appartient Athéna. La disposition des différents personnages dans l’espace peut renvoyer à cela : Athéna en haut, les bras en croix, le chœur de Erinyes entre le ciel et le monde d’en bas où elles acceptent de partir à la fin, quand elles sont devenues les

cherche à symboliser les relations entre le monde des Enfers souterrain auquel appartiennent le chœur des Erinyes et le fantôme de Clytemnestre qui réclame vengeance contre Oreste, l’espace humain et l’espace des dieux de l’Olympe auquel appartient Athéna. La disposition des différents personnages dans l’espace peut renvoyer à cela : Athéna en haut, les bras en croix, le chœur de Erinyes entre le ciel et le monde d’en bas où elles acceptent de partir à la fin, quand elles sont devenues les

arrive devant le palais d'Athamas. Ses superbes portiques tremblent ébranlés, de noirs venins ses portes se ternissent, et l'astre du jour voit pâlir sa clarté. Épouvantés par ces prodiges, Athamas et son épouse se préparaient à fuir. L'inexorable Érinys se précipite au-devant d'eux, leur ferme le chemin ; étend ses bras entourés de hideuses vipères ; secoue sa tête ; et ses couleuvres agitées frémissent, roulent sur son épaule livide, ou rampent sur son front, sifflent, vomissent leur venin, et allongent

Elle secoua la tête, les yeux fermés. Soucieux de ne pas en rester là, il chuchota à son oreille : Disons que je suis effronté, Que je suis mauvais, Que ce ne sont que vanités – car je suis vaniteux. Mais toi, mon Érinye, Sache que j’ai embrassé Elena. Elena rouvrit les yeux d’un coup. — Non, Damon ! s’écria-t-elle. S’il te plaît, attends. Elle le regarda d’un air malheureux, la gorge nouée. — Tu m’as demandé si j’avais besoin de quelque

demander à ce momentlà. On veillera à ce que les répliques s’enchaînent bien et que la didascalie soit convenablement placée. Entrer dans le texte Dans la mythologie grecque, les Euménides sont les déesses de la vengeance. On les appelle aussi Érinyes. Elles sont trois. Leur nom, Eu ménides , signifie en grec « les bienveillantes », ainsi désignées par antiphrase. On les représente, dans l’Antiquité grecque, avec un corps ailé et des serpents sur la tête. Elles apparaissent dans l’histoire d’Oreste

habite sous terre ». — Pas seulement, précisa Langdon. Même si le terme a ensuite été associé à toutes sortes de monstres et de mythes. Les chtoniens désignent originellement un groupe bien particulier de dieux et de créatures mythologiques : Les érinyes, Hécate, Méduse, par exemple. On les appelle les divinités chtoniennes parce qu’elles résident sous terre et sont associées à l’enfer. Il est dit qu’elles remontent régulièrement à la surface pour semer le chaos dans le monde des hommes. Il y eut

important, încît le vom consacra un scurt sub-capitol ; halucinaţiile, rătăcirile simţurilor, nebunia, trimise întotdeauna de către o divinitate. Aceste manifestări îşi au izvorul în intervenţia unei fiinţe supranaturale, Ate, Moira, sau mai ales Erinys, putere obscură născută din lumea infernului. Mai ales Eschil a folosit puterile infernale. Eriniile alcătuiesc corul din Eumenidele şi ocupă un loc capital ; în tot decursul piesei, ele îl urmăresc pe Oreste, ca pe un animal hăituit de vînători