Les Excès De La Fête

Synthèse : La fête Le thème du dossier est porté sur une activité que chaque personne expérimente au cours de sa vie, la fête. On peut alors se demander comment est représentée la fête au sein de la société et sous quelle forme ? Tout d'abord le corpus comporte quatre textes, un qui s'intitule L'Homme et le Sacré de Roger Caillois, 1939. Ce texte porte sur sa vision de la fête. Le second texte est de Jean Cazeneuve, La vie dans la société moderne, 1982, l'auteur raconte que la fête permet une

l'on attend le plus au cour d'une année, une grande fête costumé et musical, cela fais pratiquement office de coutume. Ce qui peut nous pousser a nous cette question, les traditions du carnaval ont elles évolué au fils des âges, est ce que le mot carnaval a toujours la même signification qu'a l'époque? Plusieurs point son a étudié pour exprimer une réponse a cette question, les traditions du carnaval avec un esprit communautaire et festif, les excès, l'encadrement, le caractère exceptionnel et les évolutions

savent être généreux grâce aux présents offerts. Document 2 Le document est extrait du roman l’Assomoir d’Emile Zola paru en 1877. C’est un extrait de type narratif. L’auteur nous décrit l’énorme festin donné par Gervaise dans sa boutique lors d’une fête où sont conviés que des ouvriers parisiens de la fin du XIX ème siècle. C’est un repas simple , préparé à l’avance , il n’y a pas de personnels pour servir.Le mari sert du vin ,un invité coupe la viande. Le repas se déroule sur le lieu de travail

des fonctions sociales, ostentatoires et politiques. Voisenet insiste sur la richesse de la table et l’abondance de mets somptueux. Aujourd’hui, il semble que le banquet ait été remplacé dans les usages familiaux par les mots « repas de fête ». On se réunit pour des noces d’argent, pour un anniversaire. Ce qui rassemble là est de l’ordre de l’intime, on y maintient des liens familiaux lors de repas qui n’excèdent pas trois ou quatre plats et ne visent pas à être ostentatoires. D’ailleurs

réédité en 1978 par les éditions Folio Gallimard. Ce passage du roman, intitulé, la fête de Gervaise, est de type descriptif. L'écrivain décrit les ravages causés par la misère et l'alcoolisme.L'auteur décrit certains comportements que l'on pourraient qualifiés de déplacés, voir vulgaire, de la part des personnes issus de la classe ouvrière lors d'un repas donné par l'une d'entre elle, Gervaise, à l'occasion de sa fête. Zola montre des ouvriers fiers de leur ouvrage mais il dénonce l’impasse sociale

qu'est restée la fête, même si elle n'est plus comme elle a pu être autrefois. Ce document nous décrit les points communs entre la fête d'il y a plusieurs années et la fête d'aujourd'hui. Résumé « La fête sans excès» de Roger Caillois Depuis plusieurs années, on note que les occasions de faire la fête sont moins fréquentes et peut-être plus ciblées qu'avant. Néanmoins, la fête reste toujours « la fête » dans les esprits et semble nécessaire à une vie sociale épanouie. La fête même si elle semble

Voisenet, revue Sénéfiance, Publications Université de Provence, 1996. „„   Document 2 : « La fête de Gervaise », L’Assommoir, Émile Zola, 1877, réédité par Éditions Gallimard, Collection Folio, 1978. „„   Document 3 : « Les femmes dans les banquets politiques vers 1848 », article de Jacqueline Lalouette, revue semestrielle CLIO, Éditions électroniques, 2006. „„   Document 4 : « La fête comme excès », L’Homme et le Sacré, Roger Caillois, Éditions Gallimard, 1938. Avertissement : le barème des

Paris, dans la boutique de la blanchisseuse Gervaise, à la fin du XIXe siècle. Classe sociale : milieu ouvrier populaire. On peut alors dégager le propos directeur. Zola peint ici un énorme repas donné par la blanchisseuse Gervaise à l’occasion de sa fête, festin qui réunit amis et voisins appartenant au milieu ouvrier parisien de la fin du XIXe siècle. • Relevé d’informations reformulées – Formes du banquet : il n’est pas improvisé puisqu’il a été programmé pour le 19 juin, mais on n’a pas recours

livre fut réédité en 1978, par les éditions Fabio, le type de texte est narratif. Le sous-titre est « La fête de Gervaise »En effet, il nous donne des renseignements concernant la façon de célébrer les réunions festives dans le milieu ouvrier de la fin du XIXe siècle. Les propos directeurs sont la gourmandise et la profusion de la nourriture et des vins lors d’un repas donné pour une fête de la classe ouvrière. Les idées principales sont l’importance de la nourriture qui est en abondance pour

Ce cas pratique concerne un arrêté pris par le maire de Vicalme qui peut s’analyser comme une mesure règlement de police, visant à maintenir le bon ordre de la circulation publique dans la rue principal de la commune, pendant la fête municipale. En effet « la victime » M Ledog est un administré, installé dans la commune de Vicalme et dont le magasin est précisément situé dans la rue principale, il a donc un intérêt à contester cette mesure de police. I- Pour obtenir l’annulation de l’arrêté