Les Fables Les Allégories

« La laitière et le pot au lait » Fables La Fontaine,livre VII, fable 10, 1678 - Références - Contexte: Dans son épitre dédicatoire à Madame de Montespan (aller la lire en entier au début du livre VII ), La Fontaine revient sur le pouvoir de la fable, de l'apologue( mot à chercher impérativement dans le dictionnaire ) en ces termes ( apprendre par coeur ce qui suit ): « C'est proprement un charme ( de « carmen « latin: enchantement, puissance magique par exemple de la femme aimée): il rend l'âme

satire. Ligne 22 : On voit bien la position de l’auteur : il critique les bourgeois qui sont responsables du clivage social. Car si ils donnent au pauvre, ils perdraient de la richesse. Séparant de monde : grande route (pauvre) / château (riche) = allégorie. En fait, le riche est fasciné par le pauvre et son jouet : adverbe « avidement », « rare » et adjectif « inconnu ». Le lecteur n’identifie que tard ce qu’est ce jouet « Un rat vivant » ligne 27 et 28. Pour souligner la pauvreté du 2ème enfant l’auteur

que l’ours n’aime pas l’odeur→ L’ours → bon odorat et désigné comme un animal brusque et un peu pataud - “Il se fût bien passé de faire cette mine” → Changement de rythme→ conséquence direct de son acte - “L’envoya chez Pluton faire le dégoûté” → Allégorie→ Allusion à la mythologie grecque (classicisme), (Pluton = Dieu des enfers) → La Fontaine respecte la bienséance (ne choque pas le lecteur) - Le singe : - Le Singe→ Proche de l’homme→ montre qu’il est malin et hypocrite - “Le Singe approuva fort

générale - Indéfinis (on, il) - Citations de la Bible et des auteurs de l’Antiquité - L’interpellation du lecteur à travers le questionnement (paroles rapportées, discours indirect par exemple) - Alexandrin - Métaphores, comparaisons, allégories - Création de mots nouveaux - Hymnes - L’antithèse et les effets de contraste - L’hyperbole et l’amplification des sensations - Les images étonnantes - Le théâtre dans le théâtre - Utilisation de maximes - Présent de vérité générale

gymnastique. 2) [377a-383e] Parmi les arts des Muses, il faut examiner avec grand soin les fables : a) [377ad] Du bon usage des fables eu égard à leur fond. Importance extrême du problème : les fables sont utilisées pour l'éducation. Or le commencement est ce qu'il y a de plus important. C'est quand un être est jeune et tendre qu'il reçoit durablement l'empreinte dont on veut le marquer. Immoralité des fables [377d-378e] : - elles présentent des dieux anthropomorphiques, dont les aventures horribles

d’évènements historiques tragiques, tel que Boris Vian dans « Le Déserteur », lors de la seconde guerre mondiale, dans lequel il exprime et encourage les hommes à déserter. La poésie engagée incarne les idées des poètes sous forme d’images concrètes (allégories, personnifications) ce qui sollicite, en plus de l’argumentation de l’auteur, l’imagination puis la sensibilité du lecteur. Le poète écrit dès que les droits de l’homme sont violés que ce soit au niveau politique, sociale ou même religieux, dans

Comment se met en place au fil des siècles une interrogation sur l'Homme et ses valeurs ? Comment le genre argumentatif permet-il une critique sans fard de la société ? Lectures analytiques  J. de la Fontaine, «La Vieille et les deux servantes », Fables (1668)  Beaumarchais, Le Mariage de Figaro (1784), Acte V,3 du début de la scène à « Il se rassied »  V. Hugo, Discours sur la misère devant l'Assemblée (9 juillet 1849) de « Eh bien, messieurs, je dis... » à «des lois contre la misère »  Emile

sont en effet composés sur la métaphore* de l’animal ; on peut donc dire qu’ils présentent des allégories* du poète, puisque le choix du lombric et de l’albatros permet à Roubaud et à Baudelaire de rendre plus concrète, pour le lecteur, l’idée du poète et de son rôle – d’autant plus que Roubaud dédicace son sonnet « à un jeune poète de douze ans ». En outre, les deux textes commencent comme des fables dont le héros est l’animal ; leur dimension symbolique n’arrive que plus loin dans le poème, par

L’ÉCRIVISSE ET SA FILLE Fable X, livre XII, Jean de la Fontaine « Si les fables ne sont pas ce qu’elles semblent être » c’est qu’elles jouent sur les apparences. Ce procédé peut s’appliquer à la plupart des fables écrites par Jean de la Fontaine, et « L’Ecrevisse et sa fille » en est un parfait exemple. Écrite au cours du XVIIe siècle, le fabuliste s’inspire d’une autre fable plus ancienne : « L’Ecrevisse et sa mère » d’Esope. Mais Jean de la Fontaine vient étayer son texte avec d’autres éléments

et la place d'honneur lui était réservée à table. Il est reconnaissable par son bonnet rouge et sa grande barbe blanche. Il est aussi équipé d'une épaisse fourrure de voyage pour se protéger des rigueurs hivernales. Cette histoire est en fait une allégorie du Père Noël. Clement Clarke Moore est le premier auteur à faire référence aux lutins dans un texte intitulé "A Visit From St Nicholas" (la visite de Saint-Nicolas) paru dans le journal "Sentinel" de New York en 1823. Il évoque des petites créatures