Les Fables Questions Oral

compte les individus auxquels on s’adresse La pédagogie réside dans la gestion de l’écart entre les possibilités des enfants, c’est-à-dire ni celles de chaque enfant ni celles de l’enfant archétypal, et les demandes de l’institution. Tout est une question de regard, qui doit faire la place aux différences qui séparent les enfants les uns des autres à âge égal et non qui les traite comme une représentation idéale d’une communauté égalitaire en être, en savoir et en vouloir. La ligne est difficile à

L’auteur & son destinataire Baudelaire, Le Spleen de Paris , « Le chien & le flacon » Chapitre 3 : considérations sur la concisionVers ou prose ? La question de la poésie narrative Jean de La Fontaine, Fables, «  Le loup et l’agneau » Jules Renard, « Le Chasseur d’images » Alphonse Daudet, Lettres de mon moulin , « Le Sous-préfet aux champs », 1869 Chapitre

Séquence 2 Quand l’altérité nous est contée : Micromégas de Voltaire Objet d’étude E  a question de l’Homme dans les genres de l’arguL mentation, du XVIe siècle à nos jours. Activités E tude É d’une œuvre intégrale : Micromégas de Voltaire Lecture cursive Sommaire Introduction 1. Lecture d’extraits 2. Synthèses sur Micromégas Lecture cursive Lexique des séquences 1 et 2 EVoltaire, Zadig Séquence 2 – FR10 1 © Cned – Académie en ligne I ntroduction A Présentation

Séquence 2 Quand l’altérité nous est contée : Micromégas de Voltaire Objet d’étude E La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation, du XVIe siècle à nos jours. Activités E Étude d’une œuvre intégrale : Micromégas de Voltaire Lecture cursive Sommaire E Voltaire, Zadig Introduction 1. Lecture d’extraits 2. Synthèses sur Micromégas Lecture cursive Lexique des séquences 1 et 2 Séquence 2 – FR10 1 © Cned – Académie en ligne I ntroduction A Présentation du cours : objectifs et

l'on ne pensait que la philosophie grecque en est sortie. Il est vrai qu'elle s'en est dégagée pour bâtir, à l'honneur de l'humanité, le plus bel édifice de sagesse et de raison que le monde ait connu... » J. Vendryes, Revue Celtique. La question de savoir en quoi consistent les mystères d'Eleusis est l'une des plus obscures qu'on puisse imaginer. Les initiés seuls étaient renseignés, mais ils avaient prêté serment de ne rien révéler aux profanes; aussi ne trouvons-nous dans les textes

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80 ¼ ¿ Le style Champ sémantique et champ lexical . . . . . . . . . . . . . . . . Les figures de style . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92 ¾ Les questions de cours 97 Les tests . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les corrigés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ½¾ Les annales corrigées Le discours narratif 139 141 ½ ½ ½ ¼ ½ ½ ½ Sujet 1 •

croyances et/ou les comportements d'un destinataire (individuel ou collectif). Le discours littéraire, en dépit de ce qu'on en dit parfois, n'est pas moins soumis à ce type de détermination que les autres genres discursifs. Les différentes préfaces des Fables de La Fontaine, par exemple, présentent un intéressant réajustement de la visée initiale : instruire et/ou plaire. Une double visée peut être également postulée : instruire sans pour autant renoncer à distraire. Ce grand débat de l'âge classique sur

prononciation que dans le décompte syllabique. L’hiatus, par contre, consiste à prononcer les deux voyelles séparément et donc elles comptent toutes les deux. L’élision est généralement notée par une apostrophe dans l’orthographe usuelle lorsqu’il est question de mots auxiliaires et usités : article, pronom, préposition, conjonction, ex. l’enfant, l’âme, j’arrive, il l’envoie, jusqu’à, s’il… A part ces cas où la voyelle élidée est quelquefois un « a » ou un « i », l’élision ne concerne qu’un « e » inaccentué

poésie). NB : Si ces séquences posent la question de l'autobiographie et de la poésie, il n'est pas question de travailler sur poésie et sincérité (ce n'est pas une réflexion biographique sur la vérité de la restitution du vécu) mais sur les liens entretenus entre le vécu amoureux ici et l'inspiration qui permet un dépassement de ce vécu : comment le réel nourrit l'imaginaire. Enfin ce recueil permet surtout d'approcher concrètement avec les élèves la question de l'écriture poétique. Classe de PREMIERE

plutôt ambigus, voire conflictuels. Je plaide coupable. Qu'il me soit permis de citer les mots avec lesquels j'ouvre mon manuel La littérature générale et comparée (Paris, A. Colin, 1994) : Mais vous, les comparatistes, que comparez•vous ? À cette question, faussement naïve et vraiment malicieuse, le comparatiste se doit de répondre : rien. Mais peut-être ne faisais-je que mettre mes pas dans ceux de Jean-Marie Carré qui, dans sa préface à La littérature comparée (QSJ ? no 499, 1951) de Marius•Fr.