Les Facons Du Regard Francis Ponge

s'y trouvait illustré. Lui était promise, en effet, la même unification radicale que Malraux avait accomplie dans Le Musée imaginaire (1947). Comme les œuvres d'art de tous les temps et de tous les pays pouvaient être réunies désormais sous un même regard, bientôt les cultures les plus diverses relèveraient également d'un mode unique d'analyse. De même que, par l'artifice de la photographie, la pièce de monnaie gauloise, la tête d'une statue bouddhique et le tableau de chevalet s'affranchissaient de

quatrain, 12 pieds · Mouvements : · I - Recherche d’un sujet · 1) Tableau d’un lieu · 2) Travail du poète · II - Personnification/déification du  ☼· III - Glorification :-> Comparaison directe  ☼/Poète : remise en question de tout le poème, nouveau regard dessus · Visée : Exprimer le rôle/le travail du poète· Problématiques possibles : · En quoi B montre-t-il ☼ comme équivalent du poète ? · En quoi ce poème reflète-t-il la vision de B de la condition humaine/du monde ? · En quoi l’éloge du soleil permet

Robert Petit-Lorraine Jean-Pierre Rosnay 2 TABLES DES MATIÈRES AUTEURS A. de Lamartine G. de Nerval A. de Musset V. Hugo Ch. Baudelaire P. Verlaine A. Rimbaud G. Apollinaire P. Éluard L. Aragon R. Char H. Michaux R. Desnos P. Fort F. Ponge J. Prévert L. Sédar Senghor Notes …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………

...... Saisir l’instant............................................................ Séance 3. Célébration ................................................... Pour se lancer ............................................................ Séance 4. Le regard de l’étranger ................................ Séance 5. Effets de focalisation .................................... La focalisation externe ................................................ La focalisation interne ................................

narration où, au fil du texte, les lépreux semble s’en foncer dans la malade, linéarité du matin au soir = concurrencé par autre chose : variation sur le temps, le temps Est-ce qui les achemine vers leur propre mort. Chacun des paragraphes proposent une façon de vivre avec le temps. 1er : élargissement du temps figuré par la référence aux « vallées adamites, aux édens primitifs. », mouvement d’enfoncement infini « tout le jour » vers des espaces eux-mêmes infinis, hors-temps, car l’Eden est le lieu sans

une… , on ne peut qu'aller dans le sens de Baudelaire. Ainsi, un plan analytique efficace revient d'abord sur la façon dont l'horrible imprègne Les Fleurs du mal, côtoyant des motifs plus nobles et sublimes. Il s'attarde ensuite sur les deux caractéristiques de la beauté poétique qui en résultent : l'harmonie et les images. Il peut alors approfondir la réflexion en évoquant le regard prodigieux du poète qui, plus qu'exprimer artistement l'horrible pour le transmuer en beauté, divulgue le beau caché

fend… Fonction émotive de la poésie : veine romantique LA FERVEUR RENAISSANTE LES GRANDS RHETORIQUEURS : MESCHINOT, MOLINET : se sont des poètes de cour. Ils mettent leur plume et leur savoir au service des princes qui les rémunèrent de façon régulière. Ces poètes se distinguent surtout, sur le plan littéraire, par l’intérêt qu’il portent à la forme poétique. Intérêt qui les pousse à théoriser et à faire paraître des arts poétiques. Leur poésie est fondée sur des jeux du langage, du vers

chaque résidants. Se baisser pour dire bonjour à une personne en fauteuil… Cela m’a permis de saisir des regards, des sourires. Le fait que les personnes auprès desquels j’ai effectué mon stage n’est pas accès à la parole n’a pas était une barrière pour moi. Beaucoup de choses passent par la communication non verbale. Ces personnes sont capables de se faire comprendre par un simple geste, un regard, une attitude. J’ai choisit lors de mon arrivée de ne pas lire les dossiers des résidants avant d’être

jambes. Tout son corps est ganté de peau imperméable. À peine viande, ses muscles longs sont d'une élégance ni chair ni poisson. Mais pour quitter les doigts, la vertu du fluide s'allie chez elle aux efforts du vivant. Goitreuse, elle halète... Francis Ponge QUÉBECFRANÇAIS I NUMÉRO 121 I PRINTEMPS 2001 MES OBSERVATIONS Dans le texte B, la description littéraire, l'objet (la grenouille) est implicite. L'intention d'écriture de ce texte diffère de celle du texte A : il s'agit de divertir, de créer

l’habit nous aiguille du côté de la forme, l’enveloppe. La force et l’intérêt de cette phrase résident dans la polysémie des termes employés, polysémie sur laquelle il convient de s’arrêter un moment. Cette exclamation de Max Jacob nous suggère un regard original sur la poésie. Elle est présentée comme une expression spontanée, première et peut prendre les formes de l’exaltation, de l’enthousiasme ou du désespoir. L’habit, quant à lui, peut être l’ornement, le déguisement comme la punition infligée