Les Facteurs Favorisant La Mondialisation

qui ……………… de +en+ de matières 1ère et ………………… de +en+de produit finis vers EU et UE notamment par conteneurs. C’est un espace clé mais ce n’est pas pôle de décision. *Carte 4 p.17 commentaire de carte: les flux financiers moteurs de la mondialisation  Cette carte présente une vue d’ensemble des flux et des centres financiers mondiaux sous trois forme : les grands centres de capitalisation boursière(marché des actions et obligations)qui sont les centres de décision d’une économie mondiale

(Sociétés Multi Nationales) Cette fiche traite principalement de l’internationalisation de la firme : raisons, stratégies et caractéristiques des SMN. Cependant, il nous a semblé utile de resituer cette partie dans le contexte général de la mondialisation de l’économie et des justifications (théoriques et empiriques) du commerce extérieur. Néanmoins, le lecteur pressé pourra survoler la première partie avec profit avant d’aborder le cœur du sujet, centré sur l’entreprise. 1. Le commerce international

de la productivité. Mais pour Marx ce modèle économique permet surtout au possesseur du capital de s’accaparer une plus-value en payant les ouvriers moins que la valeur de ce qu’ils produisent sur le marché. C’est le progrès technique, troisième facteur de production mis en avant par Schumpeter, qui permet véritablement de sortir de l’ère Malthusienne préindustrielle pour rentrer dans celle des rendements d’échelle croissants. La démographique permet une augmentation des débouchés et donc des économies

Chap. 5 : CAPITAL ET INVESTISSEMENT En économie, le capital désigne le plus souvent le facteur de production qui se combine au travail pour réaliser une production. Investir, c'est engager une importante dépense immédiate dans le but d'en retirer un bénéfice futur, en d'autres termes, c'est se procurer de nouveaux biens d'équipement pour augmenter ou améliorer durablement la production. Comment se forme le capital? Et quels sont les effets de l'investissement? I.- La formation du capital

production • récession : crise passagère, de courte durée • dépression : crise de longue durée entrainant une baisse de la production • production : résultat de l’activité d’une entreprise • productivité : rapport la production et les facteurs de production, c’est-à-dire entre le capital et le travail (nb d’heures de travail par ex). Elle mesure l’efficacité de la production • houille blanche : énergie hydraulique • croissance : accroissement durable de la production globale d’une

Quantité différente d’éléments Mercatique B to B (relation commerciale entre 2 entreprises) Filières industrielles de production -> produit final -> marché de consommation Relation en B to B ne portent pas sur les mêmes variables et les memes facteurs que les relations en B to C. Particulièrement complexe (Les entreprises cherchent différents bénéfices dans l’achat de biens et de services entrant dans un processus de production) Il y a un plus faible nombre d’acteurs qu'en B to C. Marketing

Mondialisation, croissance et pauvreté Exposé réalisé par : Mlle. K. MOUZIENE Selon les chiffres du Commissariat au plan, le taux de pauvreté est passé de 16,5% en 1994 à 14,2% en 2004. Mieux encore, selon les équipes d'Ahmed Lahlimi, "le taux de pauvreté national a décliné de près de quatre fois depuis 1960. Ce déclin a été de 5,5 fois en milieu urbain et de 2,7 fois en milieu rural". Cette embellie résulte, toujours selon Lahlimi, de l'amélioration des conditions de vie. Les

2007 sur le marché des crédits immobiliers à risque, les fameux « Subprimes ». Ces crédits se sont considérablement développés dans les années 2000-2005, jusqu’à représenter le quart des crédits et concerner six millions de ménages Américains. Trois facteurs ont ainsi encouragé les établissements de crédits immobiliers qui étaient à la recherche de gains nouveaux ; l’absence de règles protégeant, comme en France, les emprunteurs les plus vulnérables ; le boom de l’immobilier qui permettait aux prêteurs

Dans un environnement rendu de plus en plus concurrentiel par la mondialisation, les entreprises doivent investir pour améliorer leur compétitivité. L’investissement est un flux de dépenses qui permet d’accroitre, d’améliorer ou de renouveler le stock de capital, pris au sens de facteur de production. Dès lors, on distingue différentes formes qui sont l’investissement productif et l’investissement financier. Dans le premier cas, l’investissement peut-être de deux natures : soit immatériel soit matériel

savoir à la mondialisation culturelle. D’origine nord-américaine, la mondialisation culturelle désigne une circulation des produits à l’échelle mondiale, par une invasion des espaces locaux, par des biens standardisés. Ainsi, les biens propres d’une culture se propagent partout dans le Monde. La culture représente l’ensemble des structures sociales et des manifestations artistiques, religieuses, et intellectuelles qui définissent un groupe ou une société par rapport à d’autres. La mondialisation culturelle