Les Femmes Savantes Vers 571 598

...................................................................... 185 D. Une traduction universitaire des Maximes : Blackmore et Giguère (2007)......................................................................... 209 3. Les traductions en vers............................................................................ 221 A. La Rochefoucauld’s Celebrated Maximes (1799).................... 221 B. Maxims, James Underhill (2005)............................................. 227 4. De la lettre

mais pas de malentendu. « Problème » implique, dans l’esprit commun des hommes, « solution ». Or l’historien ne cherche pas, l’historien n’a pas à chercher de « solution » à des problèmes de cette ampleur. Il n’est qu’un de ceux, entre beaucoup de savants de spécialités diverses, qui s’y intéressent. Il est tenté parfois de l’oublier et de se persuader, et d’essayer de persuader les autres, qu’il peut proposer, qu’il peut et doit fournir des « solutions par l’Histoire » à de semblables problèmes, car

l’examiner, sans doute à cause de ma tenue de sport, puis me firent signe de passer. Une fois que j’aurais accompli le trajet en ascenseur jusqu’au vingtième étage, je disposerais d’une estimation précise de mon temps de trajet. Je me dirigeai vers la rangée d’ascenseurs quand l’anse du sac à main d’une élégante jeune femme se coinça dans le tourniquet. Le contenu de son sac se déversa sur le sol dans un déluge de pièces de monnaie qui s’égaillèrent joyeusement dans toutes les directions

bourrée. Sans pousser la barrière, mais en levant sa tête par-dessus en me regardant, l’homme me demanda si ce n’était pas là que demeurait la mère Barberin. Je lui dis d’entrer. Il poussa la barrière qui cria dans sa hart, et à pas lents il s’avança vers la maison. –8– Jamais je n’avais vu un homme aussi crotté ; des plaques de boue, les unes encore humides, les autres déjà sèches, le couvraient des pieds à la tête, et à le regarder l’on comprenait que depuis longtemps il marchait dans les mauvais

montaient des éclats de voix canailles, mêlés à des rires et à des jurons. C’était comme la déverse d’un égout : toute la domesticité de la maison était là, à se satisfaire. Octave se rappela la majesté bourgeoise du grand escalier. Mais les deux femmes, averties par un 18 instinct, s’étaient retournées. Elles restèrent saisies, en apercevant leur maître avec un monsieur. Il y eut un léger sifflement, des fenêtres se refermèrent, tout retomba à un silence de mort. – Qu’est-ce donc, Lisa ? demanda

antérieurs, en le voyant manifester une opposition constante ou une grande admiration. Nous négligerons en revanche les conceptions postérieures à la publication du second Discours, comme par exemple la conception d’Helvétius (que Rousseau commença à lire vers la fin de l’année 1758). Nous nous concentrerons donc sur l’anthropologie religieuse du christianisme, l’anthropologie philosophique de Hobbes et l’anthropologie « scientifique » de Buffon. Par-delà leurs différences, ces trois conceptions se rejoignent

humaine, le train fou, bondé de soldats, sans conducteur, filant à toute allure, représente une nation qui « déraille » parce que la France n’est pas conduite par le principe de raison. La scène d’émasculation dans Germinal vient rappeler comment des femmes affamées peuvent perdre tout sens moral et arracher le sexe d’un petit épicier. Certes, ce dernier est monstrueux parce qu’il les affame. En outre, il profite de sa position pour jouir des charmes de ces dames, voire de leurs filles. Néanmoins, le

Faucheuse. Pour colossaux que soient les moyens dont les humains usent pour atteindre à une immortalité, il reste que leur entreprise est vouée à un insuccès certain en ce sens que « l’être humain est déjà sa mort : il ne saurait être autre qu’un « être-vers-la mort ».22 Né pour rendre l’esprit, l’existant raisonnable n’oublie jamais « qu’il faut ne pas vivre si l’on veut ne pas mourir, ne pas devenir si l’on veut ne pas cesser d’être ».23 Il 18 Patrick Baudry. « La mort comme événement incroyable

...37 De l’émulation à la rivalité : Benserade et Mairet................................................38 Cléopâtre, un gage d’immortalité..........................................................................42 LA MÉTAMORPHOSE DU MONSTRE : VERS UNE DRAMATURGIE DE L’ÉLOGE.............................44 Les tragédies françaises de Cléopâtre aux XVIe et XVIIe siècles...........................45 La machine tragique : métamorphoses du héros..................................................

d’investigations infructueuses, nous allions abandonner notre recherche, nous trouvâmes enfin, guidé par les conseils de notre illustre et savant ami Paulin Paris, un manuscrit in-folio, coté le n° 4772 ou 4773, nous ne nous le rappelons plus bien, ayant pour titre : « Mémoires de M. le comte de La Fère, concernant quelques-uns des événements qui se passèrent en France vers la fin du règne du roi Louis XIII et le commencement du règne du roi Louis XIV. » On devine si notre joie fut grande, lorsqu’en feuilletant