Les Fenêtres Allitération

champ à l’imagination. Les personnages semblent mener une vie dans un monde clos et réduit, comme coupé du monde réel : leur univers se borne au château et à ses environs immédiats (chasse, ferme, écuries) : son château…une porte et des fenêtres, …Sa grande salle, une tapisserie…ses basses-cours… 2 . Personnages stéréotypés conte : le roi, la reine, le prince et la princesse, le héros : —Ici, seigneur et de sa famille (Monsieur le baron… Madame la baronne… Le fils du baron…Sa

un soldat ), un cheval, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. Les expressions sont fortes (femme criant de douleur, cheval terrorisé, soldat mort…), et est accentuées par la déformation de l’ensemble des personnages. Au deuxième plan nous avons : Des bâtiments ( vu de l’intérieur et de l'extérieur ) constitués de portes de fenêtres de toit en feu mais il y a aussi une colombe. La

de l'ordure, une mouche qui prenait la mort sur les charognes tolérées le long des chemins, et qui, bourdonnante, dansante, jetant un éclat de pierreries, empoisonnait les hommes rien qu'à se poser sur eux, dans les palais où elle entrait par les fenêtres. Muffat leva la tête, les yeux fixes, regardant le feu. — Eh bien? demanda Nana. Mais il ne répondit pas. Il parut vouloir relire la chronique. Une sensation de froid coulait de son crâne sur ses épaules. Cette chronique était écrite à la diable

embrassées. Celle-ci respecte bien les règles d’écriture. Cependant on retrouve l’absence de ponctuation qui représente la liberté d’écriture. Il y a une répétition du vers 13 au début et au milieux de chaque refrain. On voit aussi au vers 11 une allitération en « i ». le vers 69 à deux phrases avec la même structure. Le narrateur parle à la première personne du singulier, c’est donc un narrateur interne. L’auteur raconte son histoire tout au long de cette chanson. Dans

sur son trône. On aura vu, pendant cette dernière scène, disparaître progressivement les portes, les fenêtres, les murs de la salle du trône. Ce jeu de décor est très important. Maintenant, il n'y a plus rien sur le plateau sauf le Roi sur son trône dans une lumière grise. Puis le Roi et son trône disparaissent également. Enfin, il n'y a plus que cette lumière grise. La disparition des fenêtres, portes, murs, Roi et trône doit se faire lentement, progressivement, très nettement. Le Roi assis sur

bateaux » ; « mon / rond / danse / temps / mon», « vent / couvrant / monde », « dépend / innocence /monde / entier / dépend / sang ».  - de nombreux jeux mélodieux : répétition d’une allitération dans un même vers : vers 2 en [d], rimes intérieures en [y] : « plus / vécu » (vers 4), en [eur] : « Chasseurs / couleurs », répétition d’une même sonorité : « nocturne / sûr » (vers 3), décomposition de la rime [mière] du vers 8 entre [iel] de

la sincérité mais aussi la naïveté. Seul personnage dont le portrait physique s’allie au portrait moral (« sa physionomie annonçait son âme »). - Le baron de T. : thunder désigne l’orage en anglais ; consonance germanique, sonorité agressive (allitération du t). (Rq : au 18ème, le titre de baron est dévalorisé ; l’accumulation des appellations « monsieur le baron », « un des plus puissants seigneurs de Vestpahlie », « Monseigneur le baron » …paraissent ridicule). - La baronne : Portrait qui

dont le rappeur chante. En effet, une même phrase peut être rappée d'un nombre infini de manières. Le flow peut se concentrer sur le rythme, se rapprocher de la parole ou plus rarement d'une mélodie Les procédés poétiques classiques tels les allitérations, métaphores et assonances sont très utilisées. L'ancêtre le plus proche du rap est le spoken word , apparu au début des années 1970 avec quelques groupes confidentiels dont The Last Poets à New York Le rap est un mode d'expression alors que

est présenté en 1er révélant sont statue de héros éponyme. 3) Cunéguondedécrite avant son frère d’où son importance dans le compte ( pouvoir repose seulement sur des apparences. 4) Emploi du nom « thunder-ten-tronkh »  construit avec allitération en T et la consonance cacophonique qui donne du ridicule. ( terme thunder= tonnerre ( de ridiculiser ironiquement sa prétention. 5) opposition prétention de richesses. _richesse :  « grande salles » L14

cette scène. 4) Trouvez 5 figures de styles : -Comparaison : « Une drôle démolition tout de même, s’en aller en se tordant, comme une fille à laquelle les chatouilles font effet! » -Anaphore : « Juste le même air, juste la même danse. » -Allitération : « Tous les marchands de mort subite vous de ces regards-là. » -Personnification : « mangeant Coupeau des yeux » -Élision : « Oh! Les rats v’là les rats, à cette heure.» 5) « Le corps de Coupeau souffre de multiples tremblements »; Dressez