Les Fenêtres Allitération

L’expression de l’émotion du poète 1) Une invitation : - impératif : « allons voir » promenade qui semble anodine, désintéressée - rythme : vif et entraînant (2 syllabes, 3, 3 v.1- 1,3,2,2 V.2) termes monosyllabiques ou bisyllabiques + douceur des allitérations : [m], [n], [s] et des assonances [o] : 4 premiers vers. 2) Une comparaison élogieuse : - « teint » de la rose // teint de la jeune femme - « âge fleuronne »v.14 : hypallage (figure de style qui consiste à attribuer à un mot de la phrase ce qui

Savinien Cyrano de Bergerac. Il poursuit avec le mythe grec en citant les serpents Orgueil et Doute qu’Hercule étrangla. Mais c’est aussi une allégorie car l’amour de Cyrano/Christian est plus fort que ses vices.  Aux vers 1370 et 1371 on a une allitération en « t » avec « tenté », « tentative » et « petit » mais aussi une assonance en é avec « l’ai-je », « tenté », « mais », « nouveau-né » et « est »  Ces effets sonores soulignent l’effort vain que fait Cyrano/Christian pour étouffer son amour

du poète 1) Une invitation : - impératif : « allons voir » ( promenade qui semble anodine, désintéressée - rythme : vif et entraînant (2 syllabes, 3, 3 v.1- 1,3,2,2 V.2) ( termes monosyllabiques ou bisyllabiques + douceur des allitérations : [m], [n], [s] et des assonances [o] : 4 premiers vers. 2) Une comparaison élogieuse : - « teint » de la rose // teint de la jeune femme - « âge fleuronne »v.14 : hypallage (figure de style qui consiste à attribuer à un mot de la

d'être restée en camisole à l'air vif de la fenêtre, elle s'était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. Depuis huit jours, au sortir du Veau à deux Têtes, où ils mangeaient, il l'envoyait se coucher avec les enfants et ne reparaissait que tard dans la nuit, en racontant qu'il cherchait du travail. Ce soir-là, pendant qu'elle guettait son retour, elle croyait l'avoir vu entrer au bal du Grand-Balcon, dont les dix fenêtres flambantes éclairaient d'une nappe d'incendie

et banalisé à la fin du texte tant il est présent « dans chaque maison » devient un objet poétique par un travail particulier sur le langage qui donne un surplus de sens au texte : * Jeux phonétiques pour évoquer un appareil diffusant des sons allitération [b], [t] au 1er § , sons sonores : « boîte », « bouton , « bientôt » échos sonores : « appareil », « oreille » = un autre moyen de mettre l’audition au 1er plan, = musicalité *jeu sur l’étymologie des mots : - radio a disparu mais apparition du

l’émotion du poète 1) Une invitation : - impératif : « allons voir » à promenade qui semble anodine, désintéressée - rythme : vif et entraînant (2 syllabes, 3, 3 v.1- 1,3,2,2 V.2) à termes monosyllabiques ou bisyllabiques + douceur des allitérations : [m], [n], [s] et des assonances [o] : 4 premiers vers. 2) Une comparaison élogieuse : - « teint » de la rose // teint de la jeune femme - « âge fleuronne »v.14 : hypallage (figure de style qui consiste à attribuer à un mot de la phrase

points.“ Un enfant regarde les fenêtres s'ouvrir Et des grappes de têtes à d’ivres oiseaux s’offrirLes villes répondirent alors”Il y a aussi un grand nombre d’enjambements et de rejets “les enfants des morts vont jouerDans le cimetière”Tous ces procédés complètent la musique et rendent le poème plus fluide.Il associe les mots phonétiquement similaires en vue de créer une nouvelle musicalité et remplacer par moments la rime traditionnelle. Les assonances et les allitérations sont donc présentes dans chacune

l'on ne connait pas. Il n’y a aucune précision concernant le moment. Le lieu de la Westphalie place l’histoire dans un pays peu connu et de fait un peu mystérieux. Le nom du château Thunder-ten-tronckh relève de l’imagination avec d'ailleur une allitération en T. On ne se situe pas dans l’Histoire mais dans un monde qui n’existe pas. b) Milieu et personnages traditionnels : le conte merveilleux se situe dans un contexte où l’on retrouve une famille de nobles, on y trouve une baronne, un baron

Candide, Voltaire [conte philosophique] Fiche 1 : Candide, chapitre 1, par Marie. I/ Une parodie de conte de fée. 1) Des personnages schématiques. a) Emploi du nom-portrait -"thunder-ten-tronck", sons dures, germaniques, thunder = tonnerre, allitération en "t", suggère une idée de cacophonie. -"Candide", nom qui ne sonne pas germanique, qui annonce son caractère et prépare sa physionomie, il est "blanc", c'est-à-dire naïf, innoncent, sans expérience. -"Pangloss", construit à partir de deux mots

travers le conditionnement des masses. TB Nous pouvons tout d’abord constater que les mentalités sont conditionnées : aux lignes 9 et 10 nous pouvons lire « On devait vivre, on vivait, car l’habitude devient instinct ». Nous observons d’abord une allitération en « d » qui renforce le poids de la phrase : ils n’ont pas le choix de faire autrement que d’accepter cette vie. TB De plus, le mot « instinct » vient appuyer une image animalière qui nous fait comprendre que les gens ne sont pas en train de vivre