Les Fenêtres Allitération

? les Présidents ? les policiers ? les Marchants ? les bâtiments ? les porte-plume ? les chromosomes ? » ( termes incongrus +allitérations en « ch », « ste », « p »+assonances en « an /en ») *« les prolétaires ? les fonctionnaires ? les militaires ? les révolutionnaires ? les réactionnaires ? les aliénistes et leurs aliénés ? » ( récurrence des « aire »+allitérations en « t »+jeu sur le sens des mots + rupture du rythme) - pastiches et intertextualité p45 : « pour moi, la branche

b) Identité de l’étranger II) La différence de l’étranger a) Refus d’ordre affectif b) Refus d’ordre social - Les fenêtres : Celui qui regarde du dehors à travers une fenêtre ouverte, ne voit jamais autant de choses que celui qui regarde une fenêtre fermée. Il n'est pas d'objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu'une fenêtre éclairée d'une chandelle. Ce qu'on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre

Ainsi, la multiplication des verbes d’action tend à rendre alerte et vivant le récit : «tomber », « chanter », « battre en cadence ». En découle une activité intense et mélodique comme l’atteste le rythme échevelé des phrases ou les nombreuses allitérations en « t », « mar » : « un tintamarre de marteaux battant en cadence. » ou « s » : « cadence faisait une grosse sonnerie argentine ». Il y a de la vie dans cet immeuble misérable. A cette évidente musicalité s’ajoute une musique qui, telle une routine

se situe dans un cadre où tout semble aller pour le mieux depuis toujours Voltaire a recours à son portrait en utilisant un nom éponyme, ce surnom est lié à ce caractère ….. Thunder-ten-tronckh : les sons sont durs, tonalités germaniques, + allitération en « T » = idée de cacophonie « Pangloss » est construit à partir de deux mots grecs « pan » = tout et « loss » = langue : il parle toutes les langues. Réduction de la baronne à son poids Un monde idyllique et idéal présenté par un vocabulaire

l’émotion du poète 1) Une invitation : - impératif : « allons voir » à promenade qui semble anodine, désintéressée - rythme : vif et entraînant (2 syllabes, 3, 3 v.1- 1,3,2,2 V.2) à termes monosyllabiques ou bisyllabiques + douceur des allitérations : [m], [n], [s] et des assonances [o] : 4 premiers vers. 2) Une comparaison élogieuse : - « teint » de la rose // teint de la jeune femme - « âge fleuronne »v.14 : hypallage (figure de style qui consiste à attribuer à un mot de la phrase

L’expression de l’émotion du poète 1) Une invitation : promenade qui semble anodine, désintéressée - impératif : « allons voir » - rythme : vif et entraînant (2 syllabes, 3, 3 v.1- 1,3,2,2 V.2) termes monosyllabiques ou bisyllabiques + douceur des allitérations : [m], [n], [s] et des assonances [o] : 4 premiers vers. 2) Une comparaison élogieuse : - « teint » de la rose // teint de la jeune femme - « âge fleuronne »v.14 : hypallage (figure de style qui consiste à attribuer à un mot de la phrase ce qui

d’obscurité ») -Lexique sensoriel : perceptions sont celles de Hugo (« clarté », vapeur ») II Un pays mythique A paysage cauchemardesque -Lexique (« obscurité », « horrible ») -Allitérations en sifflantes* (« édifice ») et dentales* (« fantastique ») -Assonances* en « i » (« cri », « bruit », « si ») B solitude -Beaucoup de personnifications* (« les roseaux frissonnants »)

regardant » et « les yeux ». Si l’on ne prend pas garde au sujet en fin de strophe, on peut effectivement penser qu’il s’agit de personnes. Cependant le CdN « de leurs fenêtres » élimine cette idée. Les yeux dont qualifiés de « cassés » = idée de délabrement. Hypallage : adj. cassés est sensé s’appliquer aux fenêtre mais est grammaticalement associé aux yeux. vers 2. personnification se poursuit avec verbe « se mirant ». Les usines se reflètent doublement dans l’eau. → idée d’infini du

justifications (philosophie optimiste héritée de Leibniz). I. Les Éléments du conte traditionnel (= le conte de fée) a) Le Schématisme des personnages Recours au nom-portrait « Thunder-ten-tronckh », sons durs, germaniques, Thunder = tonnerre, allitération en « t » = idée de cacophonie (bruit, vacarme). « Candide », nom qui ne sonne pas germanique, qui annonce son caractère et prépare sa physionomie. « Pangloss », construit à partir de deux mots grecs (symbole (et cliché) du savoir), Pan = tout,

ses tours » : ridicule propre aux gens de la cour, brouté = profité des faveurs du roi, trotté = se montrer, danser, faire le malin, fais tous ses tours = le malin, le beau (mais polysémique : il peut aussi jouer des tours) * personnifications : « fenêtre », « les pénates », « dieux hospitaliers », « saint homme de chat » c) Les vers de La Fontaine. _ fable composée de vers courts (octosyllabes) et long (alexandrins), sans régularité et sans strophes. La Fontaine fait donc preuve d’une grande