Les Fenêtres Allitération

la nourriture que tous espèrent Ni parce que nos verres nous jettent encore une fois le regard d'Orphée mourant Ni parce que nous avons tant grandi que beaucoup pourraient confondre nos yeux et les étoiles Ni parce que les drapeaux claquent aux fenêtres des citoyens qui sont contents depuis cent ans d'avoir la vie et de menues choses à défendre Ni parce que fondés en poésie nous avons des droits sur les paroles qui forment et défont l'Univers Ni parce que nous pouvons pleurer sans ridicule et

la nourriture que tous espèrent Ni parce que nos verres nous jettent encore une fois le regard d'Orphée mourant Ni parce que nous avons tant grandi que beaucoup pourraient confondre nos yeux et les étoiles Ni parce que les drapeaux claquent aux fenêtres des citoyens qui sont contents depuis cent ans d'avoir la vie et de menues choses à défendre Ni parce que fondés en poésie nous avons des droits sur les paroles qui forment et défont l'Univers Ni parce que nous pouvons pleurer sans ridicule et

la nourriture que tous espèrent Ni parce que nos verres nous jettent encore une fois le regard d'Orphée mourant Ni parce que nous avons tant grandi que beaucoup pourraient confondre nos yeux et les étoiles Ni parce que les drapeaux claquent aux fenêtres des citoyens qui sont contents depuis cent ans d'avoir la vie et de menues choses à défendre Ni parce que fondés en poésie nous avons des droits sur les paroles qui forment et défont l'Univers Ni parce que nous pouvons pleurer sans ridicule et

mais nous fait voir les lieux à travers les yeux désabusés de son héroïne : « Elle se leva et vint coller son front aux vitres froides. Puis, après avoir regardé quelque temps le ciel [...], elle se décida à sortir. » Le déplacement de Jeanne à la fenêtre puis à l’extérieur, dont témoignent les verbes de mouvement ainsi que le verbe de perception « regarder », soulignent la subjectivité du point de vue adopté pour découvrir le cadre. L’agencement de la description est lui-même significatif : deux

la nourriture que tous espèrent Ni parce que nos verres nous jettent encore une fois le regard d'Orphée mourant Ni parce que nous avons tant grandi que beaucoup pourraient confondre nos yeux et les étoiles Ni parce que les drapeaux claquent aux fenêtres des citoyens qui sont contents depuis cent ans d'avoir la vie et de menues choses à défendre Ni parce que fondés en poésie nous avons des droits sur les paroles qui forment et défont l'Univers Ni parce que nous pouvons pleurer sans ridicule et

elle ne compte un seul phonème commun - elle est suffisante si elle compte 2 phonèmes communs - elle est riche quand elle compte 3 ou + phonèmes communs ( Le langage poétique est composé comme une musique. Les effets sonores : ( allitération = retour d’une consonne ( assonance = retour d’un même son vocalique Un poème n’a pas toujours une forme régulière, il existe les poèmes en vers libres, la poésie moderne accorde également une place importante à la prose. Le langage poétique

une idée. Dans un conte,les personnages ne sont pas complexes parce qu'on ne connaît pas les motivations,etc... -Le Baron incarne le pouvoir féodal, Voltaire a choisi de lui donner un nom étrange,nom dont les sonorités sont assez frappantes → allitération du ''t''. -La Baronne → grosse et très digne et a seulement pour fonction d'être la femme du baron. -Cunégonde → princesse qui va devenir l'objet d'amour. -Pangloss → il incarne le philosophe optimiste,remarquons la particularité de son nom

poème, relevez les éléments qui évoquent l’intimité et précisez à qui s’adresse le poète dans la seconde strophe. En quoi est-ce étonnant ? Le décor est celui de l’intimité : un piano dans un boudoir le soir, une présence féminine, un parfum, une fenêtre ouverte sur un jardin. Pourtant, le poème ne suggère pas une anecdote personnelle : dans la seconde strophe, le poète s’adresse au « doux Chant badin », à une voix musicale qui se confond avec celle-là même du poète ; le « tu » dans le poème, c’est

mais nous fait voir les lieux à travers les yeux désabusés de son héroïne : « Elle se leva et vint coller son front aux vitres froides. Puis, après avoir regardé quelque temps le ciel [...], elle se décida à sortir. » Le déplacement de Jeanne à la fenêtre puis à l’extérieur, dont témoignent les verbes de mouvement ainsi que le verbe de perception « regarder », soulignent la subjectivité du point de vue adopté pour découvrir le cadre. L’agencement de la description est lui-même significatif : deux paragraphes

mouvement de va-et-vient par rapport à la fenêtre, ceci est rendu explicite dans les didascalies du premier mouvement: Apparaît dans le cadre la fenêtre, Eddy, le voisin, jeune homme solide. Au loin, une silhouette de femme/ La dame, regards affolés, à droite, à gauche. Les deux sœurs s’approchent de la fenêtre/ Dans le cadre de la fenêtre, Lily et son fils Eddy/ Elle rit comme une petite folle, cependant, de façon un peu foncée, puis à petits pas rapides, va à la fenêtre/ La dame sort précipitamment. Eddy