Les Fondements De La Pensée Keynesienne

grands courants de la pensée économique  1- Courant classique  A. Adam Smith B. David Ricardo C. Jean-Baptiste Say 2- Ecole néoclassique  A .Comparaison entre les néo-classiques et les classiques  B .Le courant libéral  3- Ecole keynésien  4- Ecole Marxiste  5- Le monétarisme  II –Les politiques économiques : 1- La politique monétaire 2-Le carre magique de Nickolas kaldor  I – les grands courants de la pensée économique : 1- Courant

la famille. Il ne concevait pas le prêt à l’intérêt (vente de l’argent), ni le commerce (échanges des biens). Cette pensée aristotélicienne va influencer l’occident (Moyen-Âge) Il faudra attendre la période de la renaissance pour qu’on passe à ce que l’économie soit Réalisée par la tâche salariale plus prêt. Il faudra attendre la révolution industrielle pour que la pensée économique prenne son Indépendance par rapport aux pouvoirs politiques. L’économie politique passe à un statut de science

agents économique tel que le chômage, l'inflation, la crise : L'ÉTUDE GLOBALE La meso économie : l'échelon intermédiaire entre la micro et macro economie : L'ÉTUDE DES FIRMES MULTINATIONALE OU L'ÉTUDE DES FILLIÈRES … 3 – Histoire de la pensée économique La science économique n'est pas une science isolée. Les phénomènes economique évoluent sous l'influence de l'histoire, de la culture, la religion, la politique et surtout des découvertes scientifiques . Elle évolue sans cesse

dans la mesure ou le secteur privé est incapable à assurer certaines missions et d'exercer certaines activités. Les motivations d'intervention de l'Etat ont été analysés de manière différente selon les grands courants de la pensée économique: le courant classique, keynesien et néo-libéral Sur le plan des interventions macro-économique de l'état on distingue généralement entre 3 grandes politique : Politique monétaire, Budgétaire et des échanges extérieurs. Face à des besoins sociaux économiques

Général SEQUENCE 1 Introduction : économie de marché et concept de macroéconomie SEQUENCE 2 La Comptabilité nationale SEQUENCE 3 La fonction macroéconomique L’équilibre macroéconomique néoclassique et l’équilibre macroéconomique keynésien L’intervention de l’Etat et l’effet des politiques publiques SEQUENCE 4 SEQUENCE 5 Le financement de l’économie SEQUENCE 6 Les échanges extérieurs, balance des paiements et marché de changes SEQUENCE 7 L’équilibre d’une économie ouverte : effet

 L’école classique est le courant de pensée en économie qui a régné pendant le XIX siècle. Elle s’est intéressée essentiellement à la recherche de l’origine de la richesse, aux causes de la croissance. A l’extrême opposé, l’école marxiste estime que le capitalisme conduit à l’exploitation et à l’aliénation des travailleurs et que ses crises récurrentes, dont la gravité va croissant sur la très longue période conduiront à la disparition du capitalisme et à l’émergence d’un nouveau mode de production

à adopter, ces évènements nous permettent de nous intéresser au fondement des politiques économiques. Au sens strict du terme qu’est-ce qu’une politique économique ? Pour répondre à cette question nous pouvons y associé cette réponse : une politique économique est destinée à une amélioration de la performance macroéconomique nationale. Ceci peut être modélisé facilement par le travail de Nicholas KALDOR, économiste post Keynésien, donnant lieu à la notion de « carré magique » qui présente les quatre

Chapitre 2 : Quelques repères d’histoire de la pensée économique Paradigmes : croyance, tout n’est pas vrai, mais il faut y croire On va voir aujourd’hui les essentiels paradigmes, on va les illustrer sur la différence de la valeur, qu'est-ce que la valeur ? Et que doit faire l’état ? Les grandes croyances • Les libéraux : classique et néoclassique • Interventionnistes : les keynésiens • Les marxistes Question essentielle : Comment ils considèrent la valeur et que doit

LES POLITIQUES MONÉTAIRES DEPUIS 1945 ET LEURS FONDEMENTS THÉORIQUES Philippe GUILLOT IUFM de la Réunion 'histoire de l'économie jusque dans les années 1970 est marquée par un accroissement, irrégulier jusqu'à la deuxième guerre mondiale, régulier ensuite, de l'intervention économique et sociale de l'État partout dans le monde, et notamment dans les pays développés à économie de marché, à savoir les pays membres de l'Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE)1. Cette

pragmatisme. Par rapport au pragmatisme de Pierce qui mené au consensus, ici on est plus proche a celui de James qui lui insistait sur l’importance des conventions pour faire face a l’incertitude. Cette notion de convention tient une place centrale dans la pensée de Keynes. L’économie de Keynes est basé sur des variable psychologique. Section 1)Sraffa : épistémologie de l’artifice On trouve une critique de l’économie, et notamment de l’école anglaise et surtout de Marshall. Il a modifié la façon d’envisager