Les Formes élémentaires de la vie religieuse

3. La question religieuse (§6 à 8 ) On touche ici à la caractérisation du religieux comme ordre des grandeurs et des principes réglant l’estime et la valeur des hommes. La force du christianisme a été de suggérer que les premiers dans l’ordre de la nature pouvaient bien être les derniers dans l’ordre de la Grâce ; il y a liberté quand la société cesse d’être homogène, mais laisse vivre un dédoublement des “valeurs”. La critique des principes religieux, leurs dissociations de simples préjugés communautaires

qu'elles soient d'ailleurs difficiles ou faciles, sont devenues beaucoup moins importantes que la présence de l'Eglise dans la société tout entière. D'autant plus qu'à l'intérieur de l'Eglise, on reconnaît un pluralisme de fait des engagements, des formes de services, des prises de positions politiques. Mais si l'on veut caractériser la relation actuelle de l'Eglise à la société, il n'est pas facile de formuler des jugements catégoriques. Sociologiquement, on suggérera que les catholiques sont

supérieure grâce à la dimension verticale. Le rite a une fonction publique : il organise le corps sociale. Il fait partis des institutions alors que la magie à une dimension privée qui échappe à la règle religieuse et qui par conséquent est considérée comme dissidente. Durkheim : Les institutions religieuses avec les rites qui les définissent sont considérées comme les premières institutions humaines. c. Le Mythe Le Mythe : Récit fabuleux, extraordinaire qui porte sur les origines du monde, de l'humain

revue et une démarche spécifique. De plus, il sera l'auteur de célèbres ouvrages de sociologie tels que : De la division du travail social (1893), Les Règles de la méthode sociologique (1894), Le Suicide (1897) Les Formes élémentaires de la vie religieuse (1912). Le texte « Qu'est ce qu'un fait social ? » est tiré du livre « Les Règles de la méthode sociologique » publié en en 1894, par Émile Durkheim dans la Revue philosophique. Il constitue l’ouvrage où le projet sociologique

génération à l’autre, c’est-à-dire, les mœurs, les usages, le mode de vie d’une population. Avec ce sens, on change d’échelle : on passe des individus aux sociétés dans leur ensemble. Ce sens est cependant lié au précédent : cultiver au sens d’éduquer, c’est inculquer une façon de penser et de vivre précise, c’est donner une forme socialement admise, exigée ou valorisée à la pensée et la façon d’agir des individus. Eduquer, c’est donc former les individus en fonction de l’environnement humain, de la culture

par la puissance publique ». Les règles morales sont les normes qui distinguent entre le bien et le mal, ainsi ces règles ne peuvent pas assurer la sécurité juridique qui est le but de la règle de droit. Il est indispensable, pour que la vie en société soit possible, qu’il existe une règle, une règle de conduite. Si chacun de nous suivait son bon plaisir, chacun deviendrait un ennemi pour son voisin. Mais si la nécessité d’une règle de conduite est incontestable, il est par contre plus

nobles : Les femmes nobles aimaient danser, chanter, jouer d’un instrument de musique, jouer aux échecs, faire des broderies, mais aussi regarder les tournois des chevaliers. Travail et métiers : Les jeunes filles au Moyen-Âge, sont destinées à se former en attendant le mariage, à des travaux ménagers ou féminins. Souvent, elles sont dans un premier temps placées dans d’autres familles pour être servante et exécuter leurs taches ménagères afin de se constituer une dot*. Une fois adultes, elles sont

religion. Il a introduit la sociologie à l’université. 4 ouvrages principaux de Durkheim : *La division du travail social, tiré de sa thèse. (1893) *1895, Les règles de la méthode sociologique *1897 Le suicide *1912 Les formes élémentaires de la vie religieuse. Fondation d’une revue « l’année sociologique » (jusqu’en 1913). Sociologie était contestée à cette époque. Le travail collectif de Durkheim a contribué à sa crédibilité. Certaines de ses analyses ont été contestées et réfutées

parallélépipédique de Cadenazzo, 1970-1971), la maison cylindrique de Staabio (1980-1982)… Aisément reconnaissables par leurs formes élémentaires et leur style rigide, ceux-ci s’inscrivent dans la lignée des recherches de Paul Cézanne (« il faut traiter la nature par le cylindre, la sphère et le cône »). Selon l’architecte suisse, les volumes géométriques rassurent dans la vie quotidienne et réussissent à procurer un sentiment de bien-être au sein de l’habitat. Contrairement à Frank Lloyd Wright et

Les évolutions religieuses contemporaines II/ Religion et philosophie, raison et foi 1) le conflit originel entre religion et philosophie 2) la critique philosophique de l'irrationalité religieuse 3) L'interprétation rationnelle de l'irrationalité religieuse Texte d’Alain III/ Quel avenir pour la religion ? 1) La critique religieuse de La « rationalisation » de la religion. 2) La critique athée de la religion 3) La mort de Dieu ? Toutes les croyances religieuses connues, qu’elles