Les Formes élémentaires de la vie religieuse

stricts apprenaient aux élèves comment se comporte une femme “comme il faut”. Il y avait quelques cours d’art, surtout pour les filles riches, mais cela se bornait à un peu de dessin, de chant et de piano. Être une femme artiste était mal vu car la “vie de bohême” des artistes de l’époque était proverbiale, et bien entendu incompatible avec l’attitude d’une jeune fille bien élevée. Préserver la morale “Une jeune fille bien élevée”, c’est le second but de cet enseignement, c’est pourquoi une grande

La vie quotidienne au Moyen-Age introduction : Il est difficile de parler de la vie quotidienne au Moyen-Age ; il est plus juste de parler des vies quotidiennes car si même elles peuvent, sur certains points, présenter quelques similitudes, la vie quotidienne d'un seigneur est bien éloignée de celle de son serf et la vie d'un clerc n'a pas grand chose de commun avec celle d'un commerçant. Il existe en effet des divisions importantes entre les gens au Moyen-Age : le première division

de l’éducation, pour être pratique, doit valoir pour le plus grand nombre ; elle ne doit exiger ni que le disciple soit placé dans des circonstances ou doué de qualités exceptionnelles, ni surtout que le maître soit plus difficile à rencontrer ou à former que l’élève. Non moins énergiquement que Rabelais, Montaigne proteste contre le pédantisme, la dialectique du moyen âge et l’érudition livresque. « Qui a pris, s’écrie-t-il, l’entendement en la logique ? Où sont ses belles promesses ? Veoit-on plus

les droit fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l'égalité des droits des hommes et des femmes, et qu'ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande, considérant que les Etats membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l'organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l'homme et des libertés fondamentales,   Considérant qu'une

histoire en tant qu’espèce s’est déroulée selon le mode tribal (plusieurs millions d’années par rapport à cinq mille ans de civilisations). Ce mode tribal est avant tout caractérisé par des pulsions et pratiques de domination et possession. Sous des formes ‘’civilisées’’ elles sont plus que jamais actives et peuvent être considérées comme des fondations comportementales. Par les savoirs, par l’argent, par les pouvoirs de pression et de manipulation, les individus restent animés du besoin de dominer-posséder

termes de R. Boudon) car il a détaillé chaque point de son raisonnement. Enfin, Raymond Boudon fini son argumentation par Emile Durkheim. Il va aussi utiliser une théorie qui s’intéresse au domaine religieux. En effet, dans Les formes élémentaires de la vie religieuse, Durkheim expose sa Théorie de la magie. Dans cette dernière, il compare la place de la religion dans les sociétés occidentales, par rapport aux sociétés « primitives ». Ainsi, il explique que le religieux trouve plus de place dans

plume de Mirabeau. Ce dernier l’employa au double sens de processus du « progrès » matériel, social, culturel, et résultat de ce processus. Le terme ne pris son sens moderne qu’au XXe siècle. Marcel Mauss le définit vers 1920 comme l’ « ensemble des formes acquises de comportements dans les sociétés humaines. Ainsi, la civilisation de manière générale, se définit comme un ensemble de caractères communs à une société quelconque. Ses caractères sont : l’activité économique (état des moyens de production

ont une dimension plus communautaire). Cela provoque un vaste mouvement de maîtrise du territoire. → le regroupement de l'habitat A partir de la deuxième moitier du Xie siècle la tendance au regroupement de l'habitat s'enccentue, achevant de former dans de nombreuse régions le tissu des villages que nous connaissons encore aujourd'hui. ( évolution qui apparaît lente et contestée). A la fin du XIIe siècle , l'habitat groupé paraît nettement dominant dans deux vaste espaces : le Nord et l'est

La notion de droit à la différence Le Droit à la différence est une notion dont l’appréhension assez complexe suppose l’analyse de sa définition et des fondements élémentaires qui en sont la base. A- Définition du Droit à la différence Le Droit à la différence regorge deux vocables à savoir le Droit et la différence. Le premier désigne l’ensemble des prérogatives dont peut se prévaloir une personne ou encore l’ensemble des règles qui régissent ces les rapports des individus dans la société

l’autorité sur le processus de succession entre les mains du souverain régnant. L’observation des procédures de succession dans les monarchies du Golfe confirme cette analyse. Étrangement, les systèmes politiques les plus profondément fondés sur les formes politiques occidentales – les républiques arabes – ont des procédures constitutionnelles de succession moins développées. En Syrie, en 2000, la Constitution fut taillée sur mesure pour la succession (plutôt que l’inverse) et uniquement après la mort