Les Frères Gracques

fortement soumis à l'autorité du sénat. Du coup, ils perdent leur virulence révolutionnaire, leur fonction d'opposition et on ne voit plus de tribun de la plèbe prêt à bloquer les institutions pour faire valoir ses revendications. Depuis les Gracques (fin du 2e), les tribuns de la plèbe ont retrouvé leur virulence révolutionnaire. Les réformateurs, qui veulent briser la domination excessive de la nobilitas, cherchent à se faire élire tribun. Tout ce qui est démocratique s'exprime par le tribun

magistrats. Le tribun de la Plèbe n’a pas de capacité de décision, mais peut opposer un véto. On considère que le tribun de la Plèbe est inviolable est sacré (quiquonque tuerait un tribun de la Plèbe pourrait être mis à mort de suite). Les frère Gracques étaient des tribuns de la Plèbes très célèbres. Les assemblées de la Plèbe votent les plébiscites (lois qui à l’origine de s’appliquaient qu’à la Plèbe). En théorie, sous les institutions romaines, tous les citoyens ont un droit d’accès aux assemblées

intérêts du peuple , les optimates = préfèrent l’élite se détournent des masses populaires qu'ils craignent et maîtrise en même temps = climat explosif qui s'instal. tous ces éléments vont aboutir a des guerres civile: 1 er élément: les frères GRACQUES étaient des populares, leur objectif améliorer la condition des plus pauvres par une réforme agraire . Le grand frère s’appelle THIBERIUS , l'autre CCAILLUS . Le grand frère donne l'exemple il commence Année 130 av JC , il veut partager la AGER

et prestige ruinent la plèbe ainsi que les petits et les moyens propriétaires qui arrivent en massent dans la cité de Rome. Ces guerres entrainent alors une crise agraire et sociale qui devient peu à peu une vraie crise politique. Deux frères, les Gracques, arrivent au pouvoir en -133. Ces derniers veulent mettre en place une réforme agraire pour réagir contre les injustices créées par l’impérialisme, aider les petits paysans qui ont combattu et qui sont revenus ruinés et qui sont désormais obligés

deux idéologies principales : les populares (ceux qui sont sensibles aux espoirs populaires) opposés aux optimates (se détournent des masses populaires, préfèrent les élites). Cela va aboutir aux guerres civiles : une réforme agraire des frères Gracques : ils étaient des populares, ils ont un obj : améliorés la cond des plus pauvres par une réforme agraire. Il s’agit de Tiberius et Callius. Dans les années 130, Tibérius souhaite partager l’ager publicus (les terres conquises à l’extérieur qui

espoirs populaires et de l’autre, les « optimates », ceux qui méprisent le peuple. C’est sur cette base d’idéologie que les troubles vont éclater (guerre civile). La première guerre civile va commencer en raison d’une initiative prise par les frères Gracques, au milieu du 2e siècle avant JC. Tiberius l’ainé propose une réforme agraire qui est de partager entre tous les citoyens romains de manière équitable ce qu’on appelle l’ager publicus qui sont toutes les terres conquises sur tous les pays et ceci

aux pères : Denis Bosomi, pour l’efficacité de son assistance à distance ; Etienne Nadonye, notre recteur ; Aubin Wuluwulu, Emmanuel Galeboe et Fidèle Gelena, sans oublier le Révérend Frère Willy Kamba. Puisse cette gratitude s’étendre à tous les frères de la Vice-Province Générale du Congo, notamment  à : Jacques Sungu, Aimé Kungi, Freddy Tange, Bruno Kesangana, Romain Wayawaya, Honoré Mosala, Germain Pkakafi… Merci aux professeurs : Norbert Gibango, pour son « bouddhisme » intellectuel ;

Servius, l’armée était organisée dans le cadre des gentes. La légende garde la trace de ce mode d’organisation militaire. C’est ainsi que la grande lutte entre Rome et Algue la Longue est censée avoir mis aux prises deux groupes de 3 combattants, 3 frères de chaque côté. Des champions qui se battent pour l’ensemble de la Cité. Il reste une trace : une gens toute seule a défendu la Cité face à une invasion. La gens des Fabius, 306 guerriers. L’armée romaine va être réorganisée par Tullius selon

des règles, des coutumes, des conseils dont Machiavel veut récuser ou la pertinence ou l’universelle efficacité. Ainsi, c’est contre le proverbe « qui fonde sur le peuple fonde sur la boue » que Machiavel cite, dans le chapitre 9, les exemples des Gracques à Rome et de Giorgio Soderini à Florence. Machiavel s’attache à souligner, au chapitre 3, le contraste entre les décisions des Romains, qui les ont conduits au succès dans leurs colonies et les mauvais choix de Louis, roi de France, lors

camps : Les populares, ceux qui sont sensibles au idéaux de la défense populaire. Les optimates, ils méprisent la Plèbe, ils la craignent et veulent la maintenir à sa place. → Conséquences de ces crises : GUERRES CIVILES Au II s av JC, les frères Gracques, chevaliers publicains populares. Tibérius, frère ainé, veut créer une réforme agraire. →redonner les terres de l’agere publicus en indemnisant les propriétaires aux pauvres. La loi est votée mais la nobilitas fait intervenir l’armée dans l’assemblée