Les Fusilles Victor Hugo

15) Il se coupe de la réalité physique et matérielle de la ville.Vers 21 : il tourne le dos à l'Emeute -> révolution de 1848.Poètes engagés : XIXème : Lamartine, Victor Hugo (poète romantiques engagés) XXème : Aragon : "L'affiche rouge", "la rose et le réséda",…              Eluard : "Liberté"              R. G. Cadoux : "Les fusillés de Chateaubriand", "Gabriel Péri"              Desnos              R. Char              Lorca              Neruda 2) La création du poète : Vers 2 : Il se compare

leurs sentiment ou bien d'utiliser leur plume comme arme pour dénoncer et affirmer leur idées. La plupart des poètes évoquent dans leurs poèmes des parties de leur vie souvent douloureuses. Victor Hugo après la mort de sa fille, Léopoldine, et de son gendre, Charles, tout deux noyés dans la Seine, Hugo écrit le recueil [Des] contemplations divisés en quatres livres sur sa vie, dont le livre IV entièrement dédié à sa fille, Pauca Meae. Il partage avec le lecteur toutes les étapes de son deuil comme

décrit plus les soldats morts aux combats et les familles ou les proches apprenant leurs morts. L’illustration représente des poilus avec des masques à gaz dans les tranchées essayant de prendre à revers les allemands. Troisième poème : Les fusillés … Partout la mort. Eh bien, pas une plainte. Ô blé que le destin fauche avant qu’il soit mûr ! Ô peuple ! On les amène au pied de l’affreux mur. C’est bien. Ils ont été battus du vent contraire. L’homme dit au soldat qui l’ajuste : Adieu

croyant sa dernière heure venue, l’exclamation de Ronsard devant la vision de son corps décharné = deux manifestations de lyrisme personnel devant la mort. Mais le lyrisme peut aussi se passer du JE. Quand R.G.Cadou décrit la dernière image des « fusillés de Chateaubriand », son sentiment est lisible, évident, mais, par pudeur ou hommage, laisse la place au ILS. La première phrase et vers : « Ils sont appuyés contre le ciel » suffit à formuler la détresse, et l’effarement de Cadou, mais en même temps

– « LA QUESTION DE L’HOMME DANS LES GENRES DE L’ARGUMENTATION » Thème : « Quand la littérature dénonce l’injustice» Sommaire I. Textes  1. Victor Hugo, Le Dernier Jour d’un condamné, extrait de la préface, 1829. Première publication anonyme. 2. Stendhal, Le Rouge et le Noir, 2e partie, chapitre 41, 1831. 3. Victor Hugo, Les Misérables, 1862. Le personnage de Gavroche 4e partie, livre V, chapitre 12 + 5e partie, livre V, chapitre 15. 4. Arthur Rimbaud, « Le Dormeur du

Mr. Victor HUGO Mr. Louis-Napoléon BONAPARTE 19 rue de Richelieu Palais des tuileries 75002 PARIS 75001 PARIS Le 2 janvier 1852, à PARIS. Objet : Remise en question des pouvoirs et rappel des devoirs d'un chef d'état. Monsieur Louis-Napoléon BONAPARTE, La seconde république a nettement amélioré la vie du peuple; Tout d'abord, les gouvernants sont élu au suffrage universel masculin, et non comme avant où les successeurs prenaient le pouvoir sans demander l'avis de qui que ce soit

autres formes d'écriture. Entre exploration de la nature humaine et dénonciation politique ou sociale, les mots se mettent au service de la transmission des idées. On remarque, au XIXème siècle, l'émergence d'auteurs engagés politiquement. Victor Hugo en est une figure emblématique. Toute sa vie littéraire sera jalonnée par ses ouvrages, ses textes, ses discours et ses poèmes engagés. Son oeuvre Châtiments, qui parut en 1853 alors qu'il était en exil, est entièrement dirigée contre Napoléon III

humain, des écoles où l’on apprend à tuer, à tuer de très loin, avec perfection, beaucoup de monde en même temps, à tuer de pauvres diables d’hommes innocents, chargés de famille et sans casier judiciaire. [...]. N’aurait-on pas honni tout autre que Victor Hugo qui eût jeté ce grand cri de délivrance et de vérité ? « Aujourd’hui la force s’appelle la violence et commence à être jugée ; la guerre est mise en accusation. La civilisation, sur la plainte du genre humain, instruit le procès et dresse le grand

Ce texte constitue le troisième poème du livre deux d’un recueil poétique et satirique de Victor Hugo, intitulé « Les châtiments », publié en 1853 pour discréditer le régime de Napoléon III. Dans ce poème, constitué d’alexandrins et de rimes plates, Victor Hugo relate un épisode qui a suivi le coup d’état de Napoléon III : la mort tragique d’un enfant nommé Boursier, âgé de sept ans et demi, abattu par l’armée, rue Tiquetonne à Paris, le 04/12/1851 lors d’un combat de rue entre républicains et soldats-conservateurs

souffrance si forte qu’elle veut mourir. On peut voir aussi exactement ce sentiment dans le poème d’Alfred de Musset « Derniers vers » au 19°siecle, car il est obsédé avec la mort. Il ne peut penser qu’à la mort. Il ne veut rien que ça. Finalement, pour Victor Hugo dans le poème « Demain de l’aube », il parle sur la perte de sa fille. Il est en grand deuil donc avec beaucoup de tristesse. La poésie permet donc au poète d’exprimer ses sentiments, que ce soit de l’amour, de la joie, de la tristesse