Les Genres Selon Genette

une seule intrigue doit être représentée. La bienséance consiste à ne pas choquer le spectateur. Les batailles et les morts doivent se dérouler hors scène et être rapportés aux spectateurs sous forme de récits. De plus, les personnages doivent agir selon leur rang social pour respecter la vraisemblance, la morale.​ 2. La tragédie met en scène des personnages illustres et de rang élevé. La tragédie se situe dans des temps reculés ou mythiques, dans l'Antiquité grecque ou romaine. Les personnages sont

Mouvement littéraire La machine infernale s’inscrit dans le mouvement littéraire du théâtre de l’absurde. Théâtre de l’absurde est un style de théâtre apparu dans les années 1950, se caractérisant par une rupture totale par rapport aux genres plus classiques, tels que le drame ou la comédie. C'est un genre traitant fréquemment de l’absurdité de l’Homme et de la vie en général, celle-ci menant toujours à la mort. L’origine de cette pensée étant sans conteste le traumatisme, la chute de l’humanisme

narrateur en direct° du lecteur 1. Fct° TESTIMONIALE : intervention du narrateur ds l’hist. (GENETTE) , la part qu’il y prend 1. Fct° IDEOLOGIQUE : si le commentaire est plus didactique LE PERSONNAGE 2 types de pers. existent : 7. ceux qui ont un MODELE dans le monde de référence 8. ceux qui sont « surnuméraires » Les différents genres de pers. selon V.JOUVE : 1. le TYPE : dont le « pouvoir-faire » (=les qualifications)=le « vouloir-faire »

scène V, 1673 3. Marivaux : L'Ile des Esclaves, scène III, 1725 4. Beaumarchais : Le Mariage de Figaro, acte III, scène V, 1780 5. V. Hugo : Ruy Blas, acte III, scène V, 1838 6. J. Genet : Les Bonnes, extrait, 1947. Deux axes d'étude sont proposés. Un axe culturel met en perspective les liens entre chaque couple formé par le maître et son serviteur, et le couple modèle - Pantalon et Arlequin - de la Commedia dell'arte. Pourquoi

s'oppose donc à la conception littéraire des Classiques, à la fin du 17e siècle. Les Classiques envisageaient seulement la création littéraire comme imitation des auteurs de l'Antiquité grecque et latine qui avaient atteint la perfection artistique selon eux. Cette doctrine avait pour fer de lance Boileau mais beaucoup dautres auteurs adoptérent l'imitation. Ainsi, Racine choisit pour ses tragédies, des sujets et personnages antiques, déjà traités. La Fontaine reprend des fables d'Esope, La Bruyère

sans définir une spécificité du mythe parmi les formes de l'intertextualité. Cependant, à l'inverse, Jacqueline Thibault Schaefer, dans son article «Récit mythique et transtextualité»[ii], montre, en s'appuyant sur la classification proposée par Genette dans Palimpsestes et à travers l'étude du mythe de Tristan et Iseut, que le mythe présente, par sa notoriété et sa flexibilité, une aptitude particulière à se constituer en intertexte: «la mémoire culturelle inférant le non-dit, la présence du mythe

sans que l'auteur soit mêlé à cette analyse, au moins d'une façon directe. Parmi les précurseurs dans le domaine de la narratologie, nous trouvons Genette avec surtout son Figures III où il a essayé de fonder les principales préoccupations de la narratologie. Un souci qui est du en grande part à l'influence de la linguistique. Ainsi, avec Genette, la narratologie se veut comme discipline où le domaine de recherche est bien défini loin de toute confusion encombrante. Le récit qui représente

masc. - Genre littéraire consistant à faire représenter sur une scène un texte dialogué joué par des acteurs. ETYM.: du grec theatron = " le lieu d'où l'on regarde (de theomai= "je regarde ", "je suis spectateur". Le théâtre se distingue des autres genres littéraires comme le roman ou la poésie par le fait que l’œuvre ne se réduit pas au texte: il est certes possible de la lire, et certaines pièces importantes - Le Soulier de satin de Claudel ou les textes qui composent Un spectacle dans un fauteuil

par T. Todorov (1981), de G. Genette qui préfkre parler de transtextualité (1979:81)2 et $A. Compagnon, sur le travail de la citation. Le travail de Mabanckou se prete particulikrement ii une étude qui rendrait compte des rapporís dialogiques dont se nourrit le discours narratif dans ce roman singulibrement polyphonique. On retracera donc cette rnise en relation de la fiction de Mabanckou (l'hypertexte) avec d'autres textes ou hypotextes, (notions forgées par Genette) et on révelera la richesse des

poétique, d’inter littéralité, la sémantique des textes littéraires, la psychocritique, la sociologie de la littérature. Cela suppose que vous soyez à même d’aller dire… La question du genre. Il y a une théorisation sur le roman, la nouvelle. Aristote, Genette ont théorisé la littérature. Les TD vont être importants, car c’est là que vous allez aborder les passages. Vous devez être capable de faire une synthèse, de sortir d’un texte avec quelque chose de personnel. Vous allez travailler sur un texte théorique