Les Gueules Cassées

d’une peinture agressive qui critique la société. Dans cette toile, les mutilations corporelles mises en évidence par Otto Dix qui montrent la violence subie pendant la guerre mais aussi à l’impuissance des médecins à réparer les corps. (Les « gueules cassées » exhibent leurs -Conclusion Je pense qu'à travers ses œuvres, Otto Dix exprime très bien les horreurs de la guerre, car il l'a vécue. Pour moi, Otto Dix veut vraiment choquer les personnes qui n’ont pas participé à la guerre, ou même les personnes

1984) et Tardi adressent ici une oraison funèbre aux 9 millions de poilus sacrifiés, aux déserteurs russes massacrés dans la Creuse - qui le savait? - et aux fantômes oubliés par l'Histoire dans des hôpitaux de campagne, les bras arrachés, la gueule cassée, les poumons gazés, âmes amères maculant le "V" de la victoire. Ces soldats - frères des grands-pères de Daeninckx et de Tardi - forment le choeur indigné du Der des ders, polar sombre qui n'exclut pas un bel humour bougon. Et stigmatise les

description en 8 lignes. Cette œuvre représente trois invalides de la première guerre mondiale. Ils sont réunis dans un intérieur autour d’une table et jouent aux cartes. Les trois personnages sont des mutilés de guerre, ce qu’on appelle des gueules cassées. Ils sont tous défigurés et portent des prothèses. Ce sont sans doute des anciens soldats car ils sont encore en uniforme. Le personnage de droite porte sur sa veste une récompense militaire. Les couleurs sont froides, avec une majorité de bleus

Jouchet François 3A HDA Otto Dix Die Skatspieler Le tableau Le tableau (huile et collage sur toile, 110 x 87 cm3) représente trois anciens combattants mutilés de la Première Guerre mondiale (Gueules cassées) jouant à un jeu de cartes, le skat, très populaire en Allemagne. Il fait partie d'une série de quatre tableaux peints en 1920 : La Rue de Prague, Le Marchand d'allumettes (Streichholzhändler), Les Joueurs de skat, et La Barricade (Die Barrikade)4. À la fin de la guerre, 1 500 000 soldats allemands

de skat L’œuvre ici proposée est une peinture se nommant «  Les joueurs de skat » réalisée par Otto X, un peintre allemand du XXs ayant combattu pour l’Allemagne pendant la première guerre mondiale. Il a représenté dans sa peinture, « trois gueules cassées », jouant à un jeu de cartes très populaire en Allemagne. Ces mêmes grands invalides de guerre sont représentées d’une facon ridicule et grottesque tout en étant d’une partie fiable à la réalité. Le premier situé à gauche est très mal en point

torturés, resteriez-vous encore à ne rien faire, assis confortablement à regarder ce désastre ? Des survivant ? Peut être, malgré tout, regardez un soldat dans les yeux, et vous constaterez toute l’atrocité qu’il a vécue. Traumatisé, gazé, gueule cassée, même sa femme ne le reconnaît plus. Ses enfants n'ose plus le toucher. Sa femme aimerait bien le quitter, mais les hommes se font rare, des millions, des millions, des millions de morts. Il ne peut pas parler de ce qu'il à vécu. Un homme heureux

tombeau m’appelle. Saloperie de guerre ! Tout ça à cause de ces allemand j’ai était appelé sous les drapeaux, je n’ai rien demandé et ma vie est gaché ! J’allais me marier, je vivais ma vie paisiblement et voilà que maintenant je ne suis plus qu’une gueule cassée ! Je prends la lanterne et la lance contre la vitre pour briser mon image. Je ne suis plus rien.

les blessés n'arrêtent pas d'affluer. Henri, moi et les autres n'avons plus de repos. Des obus explosent à tout moment, les résonnements atteignent notre base. Des blessés couvert de sang, ont été déformés par des éclats d'obus... ce sont des gueules cassées. 04 Juillet 1916, Arrière poste de Verdun J'ai dû arrêter mon journal par manque de temps. Je n'avais plus le moral, ma famille me manque, les correspondances avec se font rare ces jours-ci et la fatigue commence à se ressentir. Des soldats

le fataliste et son maitre, où l’on fait face à une longue métaphore pour parler de sexualité  (de la l.4 à 16), ainsi que dans Le peuplier et le roseau où l’emploi du niveau de langue est parfois très familier « remuer les hanches » l.3, « se casse la gueule » l.9 .Dans cette fable, le fanfaron est en fait le roseau puisqu’il gagne sans gloire. Dans Jacques le fataliste et son maître, il y a un effet de connivence avec le lecteur. Il y a aussi une repetition de termes qui renvoient les deux protagonistes

personnage de droite. Toutefois, leur visage et leurs membres inférieurs n’ont plus rien de réalistes. L’artiste a déformé les visages afin d’exprimer le traumatisme de la Première Guerre mondiale. Il met à profit la peinture pour représenter les gueules cassées. Sous son pinceau, les vétérans perdent leur humanité et ce pour monter la violence de masse ou la brutalisation de cette guerre. A l’arrière-plan, une lumière dans le coin gauche permet d’apporter davantage de contrastes à l’œuvre. Elle oriente