Les Hommes Sont Ils Tous égaux

Mr et Mrs Jones sont propriétaire d'une ferme en Angleterre. Une nuit, les animaux de la ferme se réunissent dans la grange. Sont présents : Le cochon a fait un rêve la nuit : l'homme est l'ennemi de tous les animaux et il faut se débarrasser de lui. Il annonce que tous les animaux sont égaux. Tous chantent à l'unisson un chant partisan. Le vacarme réveille le fermier qui tire avec sa carabine en direction de la grange. CHAPITRE II Trois nuits plus tard, Sage l'Ancien meurt . Napoléon, Boule de

1.Dans cet extrait De la démocratie en Amérique, Alexis de Tocqueville affirme que la conséquence principale de l'avènement de la démocratie et de l'égalité de droit entre les hommes n'est autre que la difficulté pour tous à faire abstraction des croyances dogmatiques. En effet, dans ces temps d'égalité, les hommes ont beaucoup de mal à croire en quelque chose ne mettant pas en cause la religion. Ayant pour habitude de croire aveuglément en eux-même ou dans leurs semblables, ils éprouvent une forte

Une ambition est un désir de gloire, de réussite sociale, de tout ce qui peut honorer l’amour-propre. Une profession est un métier, une carrière. « La loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l’homme » (Préambule de la Constitution). Pourtant, les hommes et les femmes ne sont pas égaux dans le monde du travail : en responsabilités, en salaires, en promotions... Notre composition repose sur le sujet des ambitions professionnelles des femmes, entre les années 1874

déclaration des droits de l’homme et du citoyen qui déclare « Tous les Hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits ». Tous les citoyens ont donc le même statut devant la loi et devant celui qui l’exécute ainsi que les mêmes droits. De plus, celle-ci affirme que la loi « étant l’expression de la volonté générale, tous les citoyens ont droit de concourir personnellement ou par représentation à sa formation ; elle doit être la même pour tous », ce qui implique le fait que n’importe quel citoyen peut

démocratique il faut que les individus se pensent égaux, se représentent égaux et aspirent à l’être ». Tocqueville s’oppose à la vision quantitative de la démocratie car pour lui, la démocratie est avant tout un état social c’est-à-dire une forme de société où toutes les anciennes institutions (politiques, familiales, culturels, artistiques…) sont chamboulées. C’est un phénomène providentiel irrépressible qui s’impose aux Hommes. La démocratie transforme tous les aspects de notre vie jusqu’aux plus personnels

peuple face à « l’homme qui est un loup pour l’homme », il ne peut exister de recoure à la violence dans une société fondé sur la liberté et l’égalité. Une société démocrate se devant de protéger les membres qui la compose : « Tout les hommes naissent libre et égaux en droits », seule l’état peut exercer une certaine forme de violence à travers les lois qui le composent. Pourtant le problème posé nous incite à délimiter les termes du sujet, c'est-à-dire, quand on parle de la notion de légitimité

politique. Peu importe dès lors que la société soit née d’un groupement d’individus, car ce groupement et la vie en société qui en résulte n’ont rien d’arbitraire ni de conventionnel, mais sont conformes à la nature. Toutefois, dans l’Antiquité, les hommes qui n’appartenaient pas à la cité, et donc à la société, étaient appelés des barbares. On les considérait alors comme sous-cultivés, cruels ou féroces. C’est ainsi que certains philosophes du XVII et XVIIIe siècles notamment, comme Hobbes, Rousseau

débouchant au Ve siècle sur l'apparition d'un régime politique inédit : une sorte de démocratie pour les hommes libres. Le facteur déclencheur est l'invasion Perse en Grèce. Sur la défensive Athènes décide de modifier totalement son armée, la guerre se fera désormais en mer. Toute la cité va devoir participer à la guerre ce qui démocratise la guerre y compris les non citoyens donc on recrute en masse tous les citoyens sans fortune et même les métèques. C'est à dire le petit peuple qui n'a que peu de droits

Interruption vacances de Toussaint Séance n°2 : le 7 Novembre Séance n°3 (débat-discussion) : le 14 Novembre Résumé : La question du libéralisme est évidemment au cœur des conceptions contemporaines de la liberté… L’idée d’un régime prônant la liberté de tous et de chacun est généreuse ; la réalité est souvent plus discutable… mais pour se prononcer, il faut d’abord se poser la question de quel libéralisme parle-t-on ? Jean-Robert Alcaras propose ici de revenir sur la genèse du libéralisme au 18ème siècle

l'homme avant que la société / cité existe, afin de déduire / légitimer le meilleur gouvernement possible. Jusque là il n’y a pas de différence avec Hobbes Raison pour laquelle il arrive aux hypothèses suivantes : tous les hommes avant la société, c’est à dire à l'état de nature sont 1) égaux : (a) de nature = même espèces, même apparence (b) de faculté ; Raison et conscience personne ne pouvant de ce fait assujettir personne (ni lui-même ni autrui. Apparemment il nie tout esclavage) 2) ont un droit