Les Lectures Au Couvent

L’ECOLE DES FEMMES, Molière. Commentaire : un axe de lecture. Support littéraire : acte 1, scène 1. D’autre part, la scène élabore la conception d’Arnolphe sur l’éducation idéale qu’il faut fournir à une future épouse. Il est aise de remarquer que, selon Arnolphe, la femme doit être soumise et dépendante par le biais des termes négatifs ‘’soumise, pleine de dépendance’’. En effet, Arnolphe considère la femme comme un objet qu’il peut modeler a son gout. Ceci est exprime par l’emploi du pronom

le Bal de la Vaubyessard, est un condensé de tous les rêves d'Emma BOVARY puisqu'il met en lumière le monde de rêve dans lequel Emma veut vivre et qui s'oppose à la réalité dans laquelle elle vit. L'image de ses rêves est tiré des lectures qu'elle a faite au couvent dans sa jeunesse. Premièrement, ce bal s'apparente aux rêves et désirs de Madame BOVARY, par les décors qu'il nous fait découvrir. Emma rêvait d'une vie luxueuse, de châteaux, de villas, de beaux meubles : « Le château de construction

Fiche de lécture Dom Juan de Molière 1.Carte d'identité du livre a)Jean-Baptiste Poquelin,dit Molière,est né en 1622 à Paris. Fils d'un père tapissier,il perd sa mère à l'age de dix ans. Apres avoir suivi ses études dans un collège jésuite,il se destine un temps à une carrière d'avocat,mais sa rencontre avec Tiberio Fiorelli,dit Scaramouche,et avec Madeleine Béjart,le détourne de ses projets. Ils décident de monter une troupe de comédiens, «L'Illustre -Théatre » qui s'inspire de la tradition italienne

elle décide de le ridiculiser aux yeux de tout Paris. Sachant l’importance que Gercourt accorde à la pureté de femmes, la marquise demande à Valmont de séduire et de pervertir la jeune Cécile, future épouse de Gercourt qui vient juste de sortir du couvent. Cela montre toute l’étendue de son immoralité car pour elle la naïve Cécile est une proie, dont elle va sacrifier l’innocence pour assouvir son désir de vengeance. Nous découvrons dans cette lettre 2 libertins pour qui la sexualité est une arme.

c’est elle qui fait le récit). Rimbaut, quant à lui, est toujours en quête de venger son père, et lors d’une bataille, il croit se battre avec celui qui a commis le crime mais ce n’est pas le cas. Théodora, elle, explique les tâches des sœurs dans le couvent chaque jour. Agilulfe devient alors le mentor de Raimbaut. Puis s’ensuit la bataille entre les Sarrasins et les Chrétiens ; bataille au cours de laquelle le jeune homme qui voulait venger son père reprend goût à la guerre alors qu’il en avait perdu

parGustave Flaubert en 1857. Dans son roman Flaubert raconte la vie originale d'une femme du XIX ème siècle : Emma, cette jeune femme épousera Charles Bovary peu de temps après être sortie du couvent, ellevoit en lui un prince charmant mais sera vite déçu par la monotonie de sa vie. C'est à travers diverses lectures qu'Emma imaginera une vie meilleure, elle rêve d'un homme qui l'aime sincèrement et quisoit à la hauteur de ses attentes, cet homme elle le voyait en Charles, puis en Rodolphe, et enfin en

« La Loreley » v.1 – v. 26 : proposition d’explication linéaireMouvement 1 : Le portrait d'une héroïne ambiguë (v1-2)v1-2 : Nous avons avec l'emploi de l'imparfait de l'indicatif la description de la situation initiale de l'héroïne de ce récit. Un portrait physique ambigu qui emprunte les codes du conte merveilleux :* La tournure impersonnelle «  Il y avait » : formule habituelle des contes souvent associée au fameux « Jadis/ autrefois... ». * Substitution du lieu au temps :

Elle avait lu Paul et Virginie " (p. 84), elle se poursuit par l’épisode du couvent où Emma emprunte, à une vielle fille, des romans que Flaubert décrit négativement. " Ce n’étaient qu’amours, amants … pleurent comme des urnes " (p. 87). Ces romans inciteront Emma à vivre dans un autre monde, avec ses amants et à trouver Charles médiocre parce qu’il ne remplit pas les critères des héros de ces mêmes livres. Ses lectures conduiront Emma à être tiraillée entre " l’amour mystique et terrestre " comme

SEQUENCE 3 : On ne badine pas avec l’amour (1834) d’Alfred de Musset TEST DE LECTURE SUR On ne badine pas avec l’amour (1834) d’Alfred de Musset Vous répondrez à ces questions en faisant des phrases, et en justifiant précisément vos réponses lorsque c’est nécessaire. Vous soignerez votre expression ainsi que la propreté de votre copie (/1). 1) Dans quel lieu se passe la majeure partie de l’action ? (/1) 2) Qui sont Maître Blazius et Dame Pluche ? (/2) 3) Quel lien familial unit

culture et pour cela elles ne doivent pas apprendre le latin. Enfin au XVIe siècle il y avait l'instruction domestique, sur laquelle on n'a pas beaucoup de sources, les écoles mixtes et les couvents. A la maison elles apprendraient les tâches domestiques, dans les écoles mixtes à lire ; dans les couvents elles acquéraient les bonnes manières, à lire et à écrire, ainsi comme des travaux d'aiguille. Nous pouvons voir cela dans la tirade suivant de Chrysale : Nos pères sur ce point étaient gens