Les Limites De La Cedeao

.......6 2. Intégration du secteur des transports maritimes et des ports d’afrique de l’Ouest et du Centre dans le contexte mondial......................................................................................... 9 2.1 Services maritimes limités.............................................................................................9 2.3 Une multitude de petits ports appartenant à l’État ...................................................11 2.4 Les ports de l’Afrique de l’Ouest et du

la fois meurtrie et en quête de stabilité. Les phénomènes de globalisations économiques, culturels à l’œuvre dans la sous-région Ouest –africaine ont aussi, et bien entendu une connotation militaire. En effet, les conflits ne connaissent pas les limites des frontières. Le conflit au Liberia a eu un effet dévastateur dans l’ensemble de la sous-région. Par contrecoup, la Sierra-Léone, la Cote d’Ivoire, la Guinée ont subis les conséquences massives de ce conflit initial. Toutefois, le cas du

un poids économique et financier très pesant dans l'Afrique Occidentale. En atteste sa part de participation dans la zone de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africain (UEMOA) et dans la Communauté Economique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). Et comme ce fut avec le régime du président Félix Houphouët Boigny, elle garde une position stratégique pour la France soucieuse de conserver ses intérêts dans un monde marqué par la reconfiguration des relations internationales avec l'émergence

notamment celui opposant l'Ethiopie à l'Erythrée qui est un conflit de longue date et qui est toujours d'actualité. Cette organisation n'a pas pu régler certains conflits tels que ceux du Libéria(a Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui regroupe 16 pays, se montre plus active sur ce point), de la République Démocratique du Congo qui est toujours instable, de l'Angola et du génocide Rwandais. Cette organisation, n'a jamais fait la promotion de l'Etat de droit, des droits de

pendant 50 ans. Notion de système international : Pour les premiers réalistes et H. Morgenthau, la scène internationale serait l’espace où les Etats seraient en rivalité permanente. En 79, K. Waltz introduit la notion d’équilibre des puissances afin de limiter l’anarchie. Ensuite, R. Aron en 84 suggère que notre système est hétérogène où les régimes sont dissemblables, concurrents et hostiles (non pas un système homogène, stable formé d’Etats de même nature). C’est après 1989, qu’on voit apparaître une

Etats dans leur nouvel environnement constitutionnel. De même, l’assistance technique française a servi de garantie au bon fonctionnement de cet apprentissage de la gouvernance. Néanmoins, très rapidement, les nouveaux dirigeants ont réalisé les limites de leur pouvoir dans un tel cadre ; c’est ainsi qu’à travers des théories apparemment nationalistes, mais souvent démagogiques, le contrôle de l’administration par le politique s’est répandu entraînant un dérapage budgétaire, le recul de la neutralité

pour le socialisme à la soviétique ou à la chinoise. Quelque soit le model choisit, il se caractérise par une gouvernance autoritaire et une gestion Etatisée de l’économie. Avec la crise économique des années 80 ce système de gestion montre ces limites en indiquant clairement que l’Afrique avait échoué dans le domaine économique. Pour sortie de la crise le FMI et la banque mondiale préconise l’adoption du système libérale et impose des réformes économiques libérales dans le cadre des programmes

(capitalisme, socialisme etc…) 3. Appréhender les mutations récentes intervenues au sein de ces systèmes. Chapitre IV : La Terre, une planète solidaire ? Leçon 6 : Les formes de coopération (bilatérale, multilatérale). 2H 1. Evaluer la portée et les limités des différentes formes de coopération. Leçon 7 : La coopération bilatérale. Leçon 8 : La coopération multilatérale Leçon 9 : Leçon 7 : Les formes et problèmes de Les formes et problèmes coopération. de coopération. Leçon 10 : Leçon 8 : La

Au niveau sous régional : des actions menées au sein de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont permis, la création, le 03 novembre 2000 du Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment en Afrique (GIABA), chargé de promouvoir les législations antiblanchiment et de faciliter la coordination des activités des Etats membres de la CEDEAO dans ce domaine. En Afrique centrale le GABAC[7] a été crée pour lutter dans cette zone contre le blanchiment. Au niveau

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