Les Limites Du Cout Marginal

 Introduction "Problèmes" : peut-être péjoratif pour un cours surtout en début de L1, y préférer des interrogations, une certaine curiosité --> Objet du cours est d'en trouver les solutions. "Contemporains" : permet d'en définir les limites mais plus large que l'actualité. Donc pas de commentaires de l'actualité, n'est pas attendu les opinions personnelles mais une argumentation, une démonstration. Actualité sert plus pour les exemples. "Économiques" : aspect privilégié aux autres (sociaux

travail temporaire. A -- Notion de production totale, production moyenne, de production marginale. • Production totale = nombre total d'unités produites. • Production moyenne = production totale/nombre d'unités de facteur variable soit Q/X -- ex. : 10 unités/2 salariés = 5 unités par salarié -- on dira donc que la production moyenne du facteur travail est ici de 5 unités. • Production marginale : c'est le rapport entre la variation de la production totale et la variation du facteur variable

conditions d’existence ): ln ab = ln a+ ln b ln a = ln a− ln b b 1 ln a = ln 1− ln a = − ln a ln 1 = 0 ln ar = r ln a pour tout r´el r ln e = 1 e Dérivée (srce): (ln x) = ′ 1 >0 x u (x) [ln(u(x))]x = u(x) ′ ′ Dérivée logarithmique (srce): Limites: lim0+ ln x = −∞ lim+∞ ln x = +∞ 1.2 Fonction exponentielle népérienne. La fonction exponentielle népérienne x → ex est une bijection stricte∗ ment croissante de R sur R+ . Elle est la bijection réciproque de la fonction logarithme népérien

effets pervers que son utilité sera remise en cause. C’est pourquoi, il convient de procéder à une présentation générale du contrôle de gestion, puis de mettre en évidence les outils et les hypothèses sous-jacentes de ce dispositif de management, les limites qu’ils rencontrent et les perspectives d’évolution du contrôle de gestion qui en découlent. PARTIE 1 : LA PRESENTATION GENERALE DU CONTROLE DE GESTION CHAPITRE 1 : LE CONTROLE DE GESTION COMME DISPOSITIF

valeur des marchandises ne dépend pas de la quantité de travail nécessaire pour les produire, mais de leur utilité c'est-à-dire de la satisfaction qu'elles procurent au consommateur. Il offre une nouvelle définition à la production: il ne la limite plus à la création de biens matériels (comme le faisait Smith), mais il considère que certaines activités de services sont productives. I - Un renouveau de la théorie de la valeur Les premiers néoclassiques s'opposent à la théorie classique

besoins car ils sont sans limites. La rareté est aussi un phénomène de nature sociale, nous créons des règles qui limitent nos capacités de production. Nos besoins sont eux-mêmes produits socialement.  Importance de savoir comment utiliser ces ressources productives. • La rareté est une construction sociale, nos besoins la définissent. Pas de besoins, pas de rareté possible ! Peut-être faut-il changer ou diminuer nos besoins pour lutter contre la rareté. La notion de COUT D’OPPORTUNITE est une

poseraient aucun problème si les ressources étaient illimitées.   Dilemme :           - Les moyens disponible sont limité, donc rare                                - Les besoins humains sont multiples et illimités   L’homme est face au phénomène de rareté et il faudra donc choisir : Tout choix entraîne un sacrifice, coût appelé coût d’opportunité   Coût d’opportunité = Coût de la renonciation forcée a d’autres choix vu les ressources limitées. C’est le principe fondamental de la micro-économie

raisonnement est le suivant. Un marché est qualifié de contestable lorsqu’il n’existe aucune barrière à sa pénétration, pas plus qu’à sa sortie. Dans une telle situation, les entrants potentiels et les firmes en place bénéficient tous des mêmes conditions de coût et de prix. Le prix en vigueur est le même que celui qui résulterait d’une situation de concurrence pure et parfaite ; il lui est même inférieur lorsque les firmes installées sont de grande taille et bénéficient d’économies d’échelle plus importantes

Lesur-Irichabeau G.**, Fournier N.*, Le Gallic B. * O «Apports et limites de l’économie industrielle à l’analyse des performances d’une filière halieutique» IS SN 1 9 5 1- 64 2 8 Publications él e c t ro n i q u e s A m u re Sé ri e Ra p po r t w w w. u mr-a m u r e. fr / Le document doit être cité comme suit : Bas A., Frésard M., Guyader O., Lesur-Irichabeau G., Fournier N., Le Gallic B. (2013) [en ligne] « Apports et limites de l’économie industrielle à l’analyse des performances d’une filière

choix ? INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES : À partir d'exemples simples (choix de forfaits téléphoniques, formule « à volonté » dans la restauration, utilité de l'eau dans divers environnements, etc.), on introduira les notions de rareté et d'utilité marginale, en insistant sur la subjectivité des goûts. On s'appuiera sur une représentation graphique simple de la contrainte budgétaire pour caractériser les principaux déterminants des choix, sans évoquer les courbes d'indifférence. Il s'agit d'illustrer