Les Lois Garantissent Elles La Liberté

l'usager et le travailleur social, choisi par lui-même. En effet l'usager a le choix de s'exprimer, de dévoiler ce qu'il souhaite. Le travail social ne consiste pas en l'obligation d'obtenir des éléments que les personnes ne veulent révéler : la liberté d'expression de chacun est un principe essentiel à respecter. L'individu s'autorise à parler de certaines choses, de livrer ses angoisses et se demande parfois pourquoi il est venu chercher de l'aide1 La relation qui les lie peut-être parfois asymétrique

sa condamnation, rapportée dans l’Apologie de Socrate. Socrate refuse, imaginant ce que lui diraient les lois, sans qui il ne serait rien, s'il les violait en s'échappant. Il conclut que l'évasion constituerait une ingratitude envers les lois qui ont fait se rencontrer ses parents, qui l'ont éduqué et l'ont façonné tel qu'il est. Ce texte est très révélateur de l'importance de l'existence de lois et de la "cité de droit" pour les Athéniens de l'époque classique. Sommaire • 1 Les arguments de Criton

Les peuples conquis et les peuples demeurés libres ont toujours stipulé, dans leurs capitulations, et dans leurs traités, le maintien de leur législation civile. L’expérience prouve que les hommes changent plus facilement de domination que de lois. De là cette prodigieuse diversité de coutumes que l’on rencontrait dans le même empire : on eût dit que la France n’était qu’une société de sociétés. La patrie était commune ; et les États, particuliers et distincts : le territoire était un ;

constitutions datent de la fin du 18ème siècle (la constitution américaine de 1787 et la constitution française de 1791 avec à tête la déclaration des droit de l’homme). Avant ces dates, il existait des « lois fondamentales du royaume ». Ces lois étaient des lois non écrites, il s’agissait de lois coutumières. Pourquoi à cette période, le besoin d’écrire les règles fondamentales de la société s’est ressenti ? Avec une constitution écrite, on empêche le roi d’abuser de son pouvoir. Il est généralement

doit pas intervenir dans les affaires économiques. Sur ces trois points, on assiste donc à un complet bouleversement de la société à partir de la dernière décennie du XVIII e siècle. Le travail, la terre et la monnaie sont des marchandises fictives : elles ne sont pas produites pour la vente. Le marché autorégulateur repose donc sur une fiction. Le travail n’est rien d’autre que l’activité de l’homme. Faire de la force de travail une marchandise, c’est de fait soumettre la société au marché. Ce qui a

doit pas intervenir dans les affaires économiques. Sur ces trois points, on assiste donc à un complet bouleversement de la société à partir de la dernière décennie du XVIII e siècle. Le travail, la terre et la monnaie sont des marchandises fictives : elles ne sont pas produites pour la vente. Le marché autorégulateur repose donc sur une fiction. Le travail n’est rien d’autre que l’activité de l’homme. Faire de la force de travail une marchandise, c’est de fait soumettre la société au marché. Ce qui a

l’administration fiscale -Droit pénal : ensemble des règles qui sanctionnent les infractions et le non-respect des lois -Droit des affaires : ensembles des règles qui organisent les rapports entre les entreprises et les administrations (Ne possède pas de code, cf aux autres codes) -Droit européen : ensemble des règles qui émanent de l’Europe, règlement européen (elles sont de plus en plus nombreuses) -Droit international : ensembles des règles qui régissent tous les pays

l’apparence de l’égalité et de la liberté des formes de domination inavouées. Le droit voisine toujours avec la justice, fût-ce sous la forme d’une apparence, d’un faux semblant : même les procès staliniens devaient donner l’apparence de procès  « justes », c‘est-à-dire régis par l’idéal de justice. c/ L'idéal de justice contre le droit positif (Leo Strauss)  « (...) il est évident qu'il est parfaitement sensé et parfois même nécessaire de parler de lois ou de décisions injustes. En passant

quelque soit sa porté. Dans le mot norme on retrouve se caractère obligatoire. Ces règles de droit une fois qu'elles sont promulguées, elles vont se regrouper dans ce que l'on appelle des institutions juridiques. ( le mariage, la filiation, les contrats, les biens..). Toutes ces règles et institutions juridique en principe sont coordonnées entre elles et l'ensemble forme l'ordre juridique. On retrouve l'idée d'ordonnancement. Si c'est l'état qui produit les règles de droit et qui

négocié entre les partenaires sociaux. Section 3 : Les sources du droit objectif. La plus grande partie des règles de droit émane de l’Etat ce sont les lois, sources formelles de droit. Accessoirement des pratiques habituelles et répétées peuvent devenir obligatoires ce sont les coutumes. Mais lois et coutumes ne peuvent pas tout prévoir, elles sont souvent imprécises, doivent être complétées et interprétées. C’est le rôle de la jurisprudence, de la doctrine et de la pratique. A. La loi « au