Les Lumières Métaphore

juridique ». Dans la seconde partie (lignes 12-26, l’engagement personnel), le thème de la vérité revient avec insistance. L’auteur s’engage à «hâter l’explosion de la vérité », apporter la « lumière » (métaphore conventionnelle de la vérité) , traiter l’affaire « au grand jour » (toujours la même métaphore de la lumière). La thèse défendue par Zola, c’est que le Capitaine Dreyfus a été condamné dans un procès truqué et que la vérité doit maintenant apparaître au grand jour. 2) Première

la description, à tel point qu'il imagine que l'objet se situe tout près de lui, et parvient à ressentir cette chaleur, ce bien être que les Poêles lui procurent. Dans les deux premiers paragraphes, la métaphore filée apparait à la ligne 5, « une masse amorphe en train d’éructer ». La métaphore filée révèle dans une comparaison cachée. Le pain constituant l’objet comparé à un élément sans forme qui libère des gaz sous l’effet de la chaleur, un élément à la comparaison du 1er paragraphe « comme si

son éloquence. I) Engagement de l’auteur qui se veut aussi accusateur -Omniprésence de la 1ère personne : l14-15 -> Risque juridique, il met aussi sa carrière en danger. L 21-22= Lexique de la passion avec le terme «passion », et la métaphore du feu « enflammé » ->Zola se montre comme un homme passionné par la vérité. L 23-24 : il provoque s’est adversaire, cela montre son courage, et qu’il est prêt à se sacrifier pour la vérité. L 25 : On peut voir que cette lettre est adressée

qques lumières qui scintillent. Noir = nuit = cavernes profondes = chevaux. Le 2nd : blond et nacré + or. Beauté de princesse : soignée mais pas naturelle // beauté de cour  nymphe qui, elle, a une beauté naturelle, immodérée + vitalité. Le 3ème : le vert // nature. Construction très simple qui s’accorde avec l’idée générale. La nymphe attire les regards à la fois du poète et du lecteur. Deux quatrains et deux tercets qui présentent l’apparition. Relevé des métaphores du texte

J'AVDBOUND AT THE UNIVERSITY OF TOUl IVTn ~ LA COULEUR. LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES Dl VICTOR HUGO METAPHORES Ils DANS L'ŒUVRE LA ET DE LES COMPARAISONS HUGO VICTOR COULEUR LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES DE VICTOR HUGO PAR EDMOND HUGUET : Il R A LA FACULTÉ DES LETTRES DE l'uNIVERSJTE DE CAEN ^^-^ PARIS BRA1RIE HACHETTE 7m. ET boulevard saint-germain, 79 1905 C lff 16 U 19 i AVANT-PROPOS Ce volume, comme le précédent', est fait pour

nécessaire. Analyse du poème : Vocabulaire : champs lexicaux qui ressortent => Sentiments ( force, gaité, fierté, dégouté, pleuré ) Beaucoup d’adjectifs qualificatifs. Anaphore de j’ai perdu ( =répétition en début de vers) . Hyperboles et métaphores : Perdu ma force et ma vie =déchéance. Enumération au début pour marqué le désarroi et la perte du poète. La vérité : personnification Allitération sifflante en S : et ceux qui se sont passés d’elle. Différentes phases dans le poème :

racines de la vie. I- L’hommage à la femme noire a) La femme noire à différents moments de la vie Vers 3 : Mère et enfant. Vers 6 : Jeune fille : éveil de l’amour. L’indicatif présent est opposé au passé. La foudre (« foudroie ») est une métaphore réitérée par l’« éclair ». Le poète est dans le chaos : « tonnerre » : allitération en [T]. La femme est la savane, elle frémit, gronde (personnification de la savane) : « savane ; femme ; tamtam ». Allitérations en [F] et [V] pour le souffle. A

trouver un autre » qui passionnait Montaigne, cf Des Cannibales (visite des Tupinamabas à Rouen). Il émet l'hypothèse de la pluralité des mondes avec une interrogation, l.1-2 « et qui nous répond si c'est le dernier de ses frères […] heure ? » > métaphore de l'enfant., filée par la suite. => l'Europe n'est pas le centre du monde. Largesse d'esprit de Montaigne qui rappel le refus chez les esprits les plus ouverts de l'époque du schéma géocentrique de l'univers. b] Un esprit curieux L'auteur

et sa lumière sont omniprésents dans cet extrait: «toute une plage vibrante de soleil», «La brûlure du soleil», «les cymbales du soleil». Or le soleil, répété huit fois dans le texte, a dans de nombreux genres et notamment dans le théâtre, une portée tragique qui est comme une annonce de ce qui va s’ensuivre. Sa chaleur étouffante et sa lumière éclatante ont une connotation négative et malsaine, et ces mêmes facteurs qui vont pousser Meursault à commettre un crime: l’aveuglement par la lumière, l’étourdissement

Ionesco, Beckett…. Un registre pathétique (la souffrance d’un être faible confronté à la violence et suscite la pitié chez le lecteur.) Les genres de prédilection sont la tragédie et le mélodrame. Indices : champ lexical de la souffrance ; métaphore, hyperboles ; ponctuation expressive : phrases exclamative et interrogative ; interjection. Auteurs : les auteurs romantiques comme Hugo… Un registre dramatique (lorsqu’il évoque une menace qui suscite des émotions fortes et du suspense. Le