Les Lumières Métaphore

LA PUB JOUE AVEC LES MOTS Les publicités suivantes sont basées sur • des figures de style : métaphores, oxymores, antithèses, gradations, hyperboles • des jeux sur les sonorités : rimes, allitérations, assonances, paronomase • sur la polysémie • sur le rythme : rythme binaire ou ternaire • sur l’implicite recherchez ces procédés de style – il arrive que plusieurs soient associés dans un même énoncé. 1. Get 27, c’est l’enfer. 2. Du Pain, du Vin, du Boursin 3. L’enfer est plus vert

également très présents : « si enfant qu’on lui apprend encore son a, b, c », « tout nu dans le giron de sa mère », « entrer dans la lumière », « notre contagion », « nous ne l’avons pas fouetté », « trahis eux-mêmes », « inexpérience » On peut déjà noter ici que nombre de modalisateurs sont marqués par des métaphores. La principale est celle de l’enfant, métaphore filée désignant le Nouveau Monde ; il s’agit d’une image anthropomorphique familière qui exprime la sympathie de Montaigne pour ce monde

d'argent " qui tombent du ciel. Leur " spectacles ", ce sont les toits de Paris : ils ne vont jamais au théâtre. II - Une description de Paris 1. Une ville géante     Ce qui frappe tout d'abord, c'est la taille de cette grande métropole. La métaphore filée de l'océan traduit l'immensité, le mouvement, le bruit, la vie. L'ampleur de la troisième phrase est également un procédé qui traduit l'immensité. L'ampleur des phrases est une caractéristique du style impressionniste et le regard de Saccard

D’après vous, dans quelle colonne du tableau chronologique peut-on placer ce texte? Nous ne pouvons pas placer ce texte dans le tableau chronologique du siècle des Lumières car il date de 1694, alors que le siècle des Lumières débute en 1715 (à la Régence) Est-ce que Fénelon est à votre avis un auteur du siècle des Lumières? Fénelon n’est pas un auteur de ce siècle Pourtant, pourquoi peut-on dire que c’est un des piliers de ce siècle? Car contrairement aux auteurs du XVIIème siècle qui

- Camus est un philosophe et un écrivain né en Algérie en 1913 et mort en 1960. Dans son œuvre, aussi bien philosophique que littéraire, il a mis en lumière l’absurdité de la condition humaine, c’est à dire l’idée que la vie humaine n’a pas de sens a priori, que le monde nous est vraiment étranger, et en même temps la nécessité de la Révolte pour conjurer l’absurde, pour donner nous-mêmes du sens à l’existence. - La Peste est un roman publié en 1947 et qui s’intègre dans une trilogie constituée

l’extérieur (lieu peut praticable, obscure) Ex : rivière morte lac de glace Associer a l’idée de mort (métaphores et comparaisons) Ex : froissement de suaire. bruit angoissant, antithèse opposant noir/blanc _A l’intérieur (comme d’une caverne) Image fantomatique : le narrateur est spectral et fixe. Trouble est étrangeté (ex : La sueur des carafes) -Magique, merveilleux : Ex : la lumière mystique des bougies. _renforcé par un effet de théâtralisation et de mise en scène qui rend encor plus

leur donner la parole, s’en faire l’interprète. Il veut les faire vivre, dans le texte et par le texte. Ponge décrit des « choses », des éléments du quotidien, délibérément choisis pour leur apparente banalité. À l'aide d'une multiplicité d'images (métaphores, comparaisons), le poète tente de restituer aux objets leur entière originalité. Mais surtout, au cœur de la poésie de Ponge, au cœur de ces choses, on trouve cette réalité informe de la parole qui doit produire une formule, une préciosité poétique

appel logique aux ténèbres et à l’angoisse, pour le poète, la Nuit devient apparition, contradictoire, de lumières. Le terme « clarté » est également utilisé. A la fin du poème, là où le poète se fait lyrique et élégiaque pour célébrer les fastes de la nuit, une multitude de termes connotant la lumière apparaissent. Définir le paradoxe fondamental du poète qui trouve dans les ténèbres une lumière. Ce paradoxe est le paradoxe même de l’art, où de « l’informe » peut naître la « forme », pour reprendre

 Pour le moment La vie est simple et gaie  Le soleil clair tinte avec un bruit doux  Le son des cloches s'est calmé  Ce matin la lumière traverse tout  Ma tête est une rampe allumée  Et la chambre où j'habite est enfin éclairée Un seul rayon suffit  Un seul éclat de rire  Ma joie qui secoue la maison  Retient ceux qui voudraient mourir  Par les notes de sa chanson Je chante faux  Ah que c'est drôle  Ma bouche est ouverte à tous les vents  Lance partout des notes folles  Qui sortent je ne sais comment 

« brulure de soleil »), des métaphores comme « rideau de larmes », « cette épée brûlante rongeait mes fils », « cymbales du soleil » (les « cymbales » font référence aux rayons du soleil, perçants.) ou encore la métaphore hyperbolique « deux heures qu’elle avait jeté l’ancre dans un océan de métal bouillant ». Des comparaisons montrent aussi l’exagération des sensations : « la lumière a giclé sur l’acier et c’était comme une longue lame étincelante ». Il est comparé la lumière avec une lame étincelante