Les Magistratures Romaines

était un droit sacré relevant du monopole de prêtres, qu'on appelait les pontifes. Les « lois royales » sont donc des prescriptions religieuses en dehors de la sphère du droit laïque, ce sont des normes archaïques regroupées à la fin de la République romaine. Puis, en 509 avant Jésus-Christ, apparaît la République qui est aux mains des patriciens. Une république de type oligarchique, avec la création des consulats par les patriciens qui se sont réservés l'accès, ce que Michel Humbert qualifie de « caste

 Corrigé évaluation Dans l’Antiquité,  Athènes au Vème siècle av. JC et l’empire romain (Ier – IIIème siècle) présentent deux conceptions différentes de la citoyenneté. Ces différences tiennent essentiellement à la place qui est attribuée aux citoyens dans la vie politique. En quoi Athènes et Rome développent deux conceptions différentes de la citoyenneté ? Athènes Rome Qui est citoyen ? Qui est exclu de la citoyenneté ? A Athènes on nait citoyen. La citoyenneté est acquise à la

consulat et la réforme militaire La guerre de Jugurtha : royaume de Numidie allié de Rome contre Carthage notamment, se développe après la chute de cette dernière. En 112 av J.C une querelle de succession voit le jour. Jugurtha assassine le favori romain. Cette guerre est complexe : - manque de discipline militaire - Incompétence des sénateurs-généraux (parfois achetés par Jugurtha) Les populares n’auront de cesse de dénonçaient cela. Marius arrivera en Numidie en 109 avec son protecteur

la pensée du droit vient elle fondamentalement du grec. Il y a donc une influence latine qui concerne le vocabulaire juridique et une influence grecque qui concerne le vocabulaire politique. Influence latine : à Rome, pour nommer le droit, les romains parle de « ius » qui était distingué du « fas » qui est le droit divin celui des dieux et ce  « ius » était distingué de la « lex » (projet de loi) qui ne prend valeur qu’une fois qu’il a été approuvé. Ce terme de « ius » est en rapport direct avec

par la religion judéo-chrétienne Le droit Français s'incrit dans le cadre de l'histoire européenne commune Chapitre 1er - Héritage romano-canonique : présentation des deux principaux modèles historiques du droit français : 1- Droit de l'empire romain 2- Droit de l'Eglise catholique Chapitre 2nd - Affirmation d'un modèle Français : Dégagement d'un système politique Références Biographiques : - Carbasse " Histoire du Droit" -Lovisi "Introduction historique au Droit" Dalloz -Thireau "Introduction

« Dans l’état romain, il y eut toujours deux groupes de gens avides de prendre part à la vie publique et de la diriger. L’un se faisait appeler les Populares, l’autre les Optimates » a dit un jour Cicéron. Cette phrase résume au mieux l’état d’esprit des hommes et leur soif de pouvoir pendant la république romaine. C’est à partir de -133 que plusieurs groupes que l’on appelle aujourd’hui des « partis politiques » firent concrètement leurs apparitions pendant l’essor de la république romaine. Ce sont

est supposée autonome, mais Rome intervient dans les affaires. En 112 av JC : querelle de succession. Jugurtha fait assassiner le candidat envoyé par Rome et se proclame roi Numide. Il entre en guerre contre Rome. Il va y avoir de nombreux échecs romains liés à l’incompétence des généraux sénatoriaux, mais aussi à cause de leur malhonnêteté, certains se font achetés par Jugurtha. Les soldats ne suivent aucune discipline, ils préfèrent le pillage aux combats et très vite cela devient un scandale politique

Capitale : Rome (2 690 000 habitants) Superficie : 301 000 km2 Population : 57,8 millions d’habitants (densité : 192h/km²) Espérance de vie : 82,9 ans pour les femmes et 76,7 ans pour les hommes Religion : Catholique romaine (99,6 %) Taux de fécondité : 1,3 enfant par femme PIB/habitant : 21 000 euros Taux de croissance : + 0,5 % Taux de chômage : 9 % Taux d’inflation : + 2,7 % Principaux clients : 1er : Allemagne (14,5 %)

Sénat romain. La table fut brisée : on en conserve aujourd'hui deux fragments, retrouvés à Lyon, dans le quartier de la Croix-Rousse, en 1528. L'utilisation du pluriel, les Tables claudiennes, est courante[1], mais elle est fautive : il n'existe qu'une seule Table claudienne, deux fragments d'une seule et même table ; en témoigne la traduction publiée par Philippe Fabia en 1929 sous le titre La Table claudienne de Lyon[2]. Dans son discours, Claude se prononçait pour l'entrée au Sénat romain des

droit de cité, une dimension universelle à la notion de citoyenneté. Quelle est exactement la place du citoyen dans chacun de ces deux régimes? Dans un premier temps, nous expliquerons la citoyenneté athénienne. Ensuite, nous verrons la citoyenneté romaine et, pour finir, nous soulignerons les différences entre les deux conceptions. I- La citoyenneté athénienne - Ne peuvent être citoyens que les enfants nés de parents citoyens athéniens ; - Les citoyens athéniens sont les souverains des institutions