Les Mains Libres Commentaires Sur Le Surréalisme

front audacieux,
 Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,
 Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
 Et plus que l’air marin la doulceur angevine. Joachim Du Bellay (1522-1560) Commentaires: Ce poème est un extrait du recueuil intitulé „Les Regrets“ (1558) que Du Bellay a écrit alors qu'il se trouvait en voyage à Rome où il s'était rendu, car il rêvait de voir la grandeur de l'Italie avec ses vestiges de l'Antique. Or pour Du Bellay

 Commentaire de texte sur Le Chiendent de Raymond Queneau Raymond Queneau est un romancier, poète, et dramaturge français du XXème siècle (1903-1976). Il a fait partie du mouvement surréalisme. Cet auteur publia différentes œuvres comme Pierrot mon Ami en 1942, ou bien Les Fleurs bleues en 1965. Nous allons étudier un extrait de son œuvre Le Chiendent, publié en 1933, où nous sommes au début du roman et Pierre Le Grand est un oisif rentier qui passe le temps en observant les gens

pluie, les cyclones. Son goût de l’écriture est né de «l’audience», forme de narration orale qui se manifeste dans les rapports entre membres de la famille et entre voisins, où on se raconte des histoires relevant du merveilleux, selon une sorte de surréalisme populaire, d’onirisme créole. Mais le seul livre qui se trouvait à la maison était ‘’Tout en un’’, une encyclopédie illustrée de la Librairie Hachette. Il fit ses études primaires chez les Frères bretons de l'instruction chrétienne. En 1936, mourut

d'abord la découverte du lien naturel qui existe entre le rêve et les manifestations de la poésie, la découverte des engrenages de l'automatisme, le recours aux collages. Dès 1917, il correspondit avec Apollinaire chez qui il trouva la notion de «surréalisme», et, revenu à Paris, il fit au Val-de-Grâce la connaissance d'Aragon, qui fut longtemps son presque double, et, simultanément, de Soupault, que lui présenta Apollinaire. «Les trois mousquetaires», comme les appelait Valéry, auxquels se joignit

d'abord la découverte du lien naturel qui existe entre le rêve et les manifestations de la poésie, la découverte des engrenages de l'automatisme, le recours aux collages. Dès 1917, il correspondit avec Apollinaire chez qui il trouva la notion de «surréalisme», et, revenu à Paris, il fit au Val-de-Grâce la connaissance d'Aragon, qui fut longtemps son presque double, et, simultanément, de Soupault, que lui présenta Apollinaire. «Les trois mousquetaires», comme les appelait Valéry, auxquels se joignit

poésie, du romantisme au surréalisme Sommaire Objectifs & parcours d’étude Introduction 1. Du romantisme au Parnasse : rôle du poète et fonction de la poésie Fiche méthode 1 : Identifier le registre lyrique Corrigés des exercices 2. Du Parnasse au symbolisme Fiche méthode 1 : Éléments de versification 3. Une œuvre intégrale : Poèmes saturniens, Paul Verlaine Corrigés des exercices 4. Avant-gardes et surréalisme : révolutions poétiques Fiche méthode 3 : formes fixes et formes libres Corrigés des exercices

qu'à peine ont aperçue / Les glaces d'un café lasses de tant de mouches / Jeunesse et je n'ai pas baisé toutes Ies bouches / Le premier arrivé au fond du corridor / 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Mort / Une ombre au milieu du soleil dort c'est l'oeil.» Commentaire Aragon joignait et brisait les influences (Rimbaud, Reverdy, Apollinaire, mais aussi les libertins du XVIIe siècle) pour alléger d'une ellipse les aveux biographiques. Réécriture, masque et mélodie : malgré les métamorphoses, les données essentielles

qu'à peine ont aperçue / Les glaces d'un café lasses de tant de mouches / Jeunesse et je n'ai pas baisé toutes Ies bouches / Le premier arrivé au fond du corridor / 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Mort / Une ombre au milieu du soleil dort c'est l'oeil.» Commentaire Aragon joignait et brisait les influences (Rimbaud, Reverdy, Apollinaire, mais aussi les libertins du XVIIe siècle) pour alléger d'une ellipse les aveux biographiques. Réécriture, masque et mélodie : malgré les métamorphoses, les données essentielles

problématique, en particulier avec la dernière. Et la rareté du commentaire de Schehadé sur ses propres poèmes, son absence de souci d’expliciter une poétique en dehors de ses poèmes, rend ces rattachements d’autant plus hypothétiques. Dès lors faute de pouvoir résoudre la question, on pourra tout au moins tenter de prendre la mesure de la proximité, mais aussi de la différence, avec telle ou telle forme d’expérience. 3.3.1. Schehadé et le surréalisme L’imagination chez Schehadé n’est pas étrangère à

s'adonne à une initiation inextinguible. Amoureux transi des femmes, il embrasse, caresse et séduit toutes celles qu’il croise, ne reculant devant aucun fantasme ni aucune perversion pour assouvir ses désirs et parfaire son apprentissage amoureux. Commentaire C’est un roman d'initiation amoureuse et sexuelle, à la fois drôle et provocant, comme le prouvent l'incipit tiré du "Cid" de Corneille aussi bien que la dernière phrase du roman. ____________________________________________________________