Les Mains Sales Personnages

extraits aux œuvres étudiées en 1 ; justifier le choix 4- Définir les caractéristiques de chaque regroupement de textes : les mouvements littéraires Séance N° 3 : Les paroles rapportées Objectifs : Reconnaître les paroles rapportées d’un personnage Définir les moyens utilisés, l’objectivité de la parole Connaître une autre façon de rapporter : le discours indirect libre Utiliser l’un des discours suivant l’intention du narrateur Supports : Séance 2 plus extraits de L’assommoir de

après (page 203). Vaincu, Etienne part pour Paris, rêvant d’un monde meilleur (page 205). III. Le roman : - Le lieu : dans le Nord de la France, principalement à Montsou. - L’époque : de mars 1966 à avril 1967. - Les personnages : Etienne Lantier : C’est le personnage principal du roman. Provençal, il est joli homme, assez petit, très brun, avec une figure correcte et un menton rond. Sa peau est un peu noire et ses cheveux demi-courts et frisés. Cet homme de vingt ans à l’air fort malgré

peux aussi voir que pour décrire les planches du cercueil, l'artiste utilise les fuyantes. 3/ b) Les éléments plastiques Les angles et les lignes rythmes l'espace, les personnages sont enfermés dans le cadre. Le dessin est aussi précis dans l'arrière plan qu'au premier plan. L’œuvre est dominée par des couleurs sombres, ternes, sales telles que le brun, pour la terre, présente partout : sol, tranchées ; ou bien e bordeaux, le sang, les corps... L'artiste utilise aussi des couleurs froides, pour évoquer

des poilus. Le peintre choisit le rouge car c'est une couleur organique, celle du sang, mais aussi pour sa valeur symbolique. En effet, dans notre culture, le rouge symbolise la violence et la mort. Les couleurs sont sombres, ternes et sales comme l'est l'univers guerrier que dépeint Otto Dix : une guerre qui se déroule dans la boue et la crasse et qui répand la violence et la mort. Panneau de gauche : Le premier panneau représente des hommes de dos équipés de leur paquetage : ils

tournera autour de lui-même comme la terre tourne autour d’elle-même et autour du soleil. La référence à Marx est ici explicite.9 Mort de Dieu Galilée, comme Descartes, se place résolument du côté des croyants. Même dans la pièce de Brecht, le personnage Galilée s’affirme comme fils respectueux de l’Eglise et des Ecritures. L’accusation d’athéisme lancée contre eux par l’Eglise est-elle crédible ? Le génie de Brecht est de faire de Galilée un des rares croyants authentiques du drame. En particulier

brevet des collèges Epreuve de français PREMIERE PARTIE Questions I- Des prisonniers 1- a- Un point pourrait être placé après l’adjectif « désespérés » afin de faire deux propositions. b- Cette phrase comporte deux énumérations : « sales, écoeurés, désespérés » et « geignaient, se plaignaient et blasphémaient » c- Le narrateur insiste sur deux éléments : la tenue des hommes présents et leur état d’esprit. 2- a- Le mot « désespérés » est composé du participe passé espéré

si glorieux aux premières heures. Les autres avaient résisté. Dans une même famille - la mienne, pour ne pas la citer -, un fils marchait au pas dans les colonnes de la Wehrmacht tandis que l’autre courait le maquis. Tout le monde se sentait les mains sales. Stembert les avait blanches et longues." 

Secrets de famille 

Deux narrateurs se partagent la voix dans le roman. D’une part, Roger, 36 ans, lecteur du Peuple, maçon par goût du travail manuel et bourgmestre de Niederfeld par habitude, vit avec

"tournettes", deux qui sont en avant de chaque côté et les deux autres qui sont aussi de chaque côté de la scène mais en arrière et un peu plus au centre. La scène est limitée au fond par le déroulement d'un rideau panoramique. Description des personnages principaux (les autres seront décrits au fur et à mesure): Dom Juan: c'est un homme d'assez grande taille qui a les cheveux courts, les yeux verts et une forme de visage fin. Il est habillé avec une chemise blanche ample, un pantalon noir et

d’autres tableaux ont pour thème les journées de 1830. Mais ils pointent surtout le fait que les affrontements ont eu lieu en plein Paris. Les artistes utilisent les procédés habituels de la peinture de bataille : une vue panoramique avec des personnages très petits, une logique de combat claire. . Delacroix fait l’inverse : Le spectateur est placé très bas, assailli par des figures plus grandes que lui. Et La logique du combat est surprenante : c’est vers lui que se tournent les insurgés

rentre trop tard, cache sa féminité – tardivement – naissante sous des vêtements informes, et soupire en cachette pour le beau Jason qui ne la voit pas. Un incident avec la police provoque une émeute dans le quartier, qui précipite les destins des personnages… Face à l’absence d’espoir et d’avenir, aux jugements hâtifs et à l’exclusion sociale ou raciale, ce généreux roman d’apprentissage, tout en dialogues vifs et en énergie narrative, donne la parole – et le pouvoir – à la candeur, la sincérité, la