Les Maîtres du mystère

 TEXTE A - Honoré de Balzac, Le Chef-d'œuvre inconnu . [L'action de ce roman se déroule en 1612. Fraîcheme nt débarqué à Paris, un jeune peintre ambitieux, Nicolas Poussin, se rend a u domicile de Maître Porbus, un célèbre peintre de cour, dans l'espoir d e devenir son élève. Arrivé sur le palier, il fait une étrange rencontre.] Un vieillard vint à monter l'escalier. À la bizar rerie de son costume, à la magnificence de son rabat 1 de dentelle, à la prépondérante sécurité de la

EL06Acte1scene2 Eléments de contexte Scène d’exposition : il s’agit d’informer le spectateur et de l’intriguer = teaser ! Le discours de Dubois à Dorante est une vraie confidence Cette scène est placée sous le signe du mystère = cf didascalie « entrant avec un air de mystère » L 12 à 24 = les principales informations sont données : Dubois est l’ancien valet de Dorante, et ils ont ensemble un « projet » = projet mystérieux L 24 « il t’est venu dans l’esprit de faire ma fortune » = me rendre

Prophètes du Christ ; Le Jeu d'Adam (fin du XIIe siècle). GENRES LE MYSTERE Le mystère était joué sur le parvis ou sur la place publique aux XVème et XVIème siècles. Il était joué devant la ville entière, toutes classes confondues pour offrir un enseignement sous forme de divertissement. C'étaient des représentations extrêmement longues avec beaucoup d'acteurs : les représentations comprenaient de 30 000 à 60 000 vers (un mystère durait souvent de 6 à 25 jours). Il y avait une centaine d’acteurs

protagonistes.Comment dans cette scène d’exposition on renouvelle la relation maître/valet ?Dans un premier mouvement nous verrons l’entrée en jeux d’un mystérieux projet puis passerons à l’enjeux pour Dorante de se faire aimer de Madame et enfin l’assurance du valet Dubois sera notre 3ème mouvement d’étude.Citation Procédés Interprétation 1ère partie (ligne 16 à 50) un mystérieux projet« Entrant avec un air de mystère »Didascalie de geste, mimique Portrait de Dubois énigmatique, cache qlq chose

prophéties enflammées. Mais on sait en le quittant qu’il a allumé des feux en nous dont on comprendra plus tard l’usage, mais qui déjà ont fait reculer les ombres. René Char s’est autant voulu au cœur de l’homme qu’au cœur de la vie. Il est plus un maître de vie qu’un grand poète, selon moi seul bien sûr. La transparence, vertu d’ailleurs de la poésie, il ne l’a pas. Il est cri, étincelles, fulgurations, mais si obsédé par la beauté figée dans le marbre qu’il nous laisse seuls au bord du chemin : Dans

Le théâtre au Moyen Age -Genre et caractéristiques des pièces- La plus ancienne représentation de textes dramatiques est le Jeu d’Adam , un jeu semi-liturgique du XIIème siècle, qui se rapporte au mystère de la Rédemption et retrace toute l’histoire de l’humanité depuis le crime de Caïn jusqu’à la venue du Christ. Il marque un tournant dans le théâtre car il est écrit en français, les chants liturgiques sont toujours en latin mais l’ensemble des dialogues

monsieur, se jouer ainsi d’un mystère sacré, et …» (l-185-186). La périphrase (mystère sacré) montre que Sganarelle se retient pour ne pas offenser son maitre. Cette phrase montre que Sganarelle est en fort désaccord avec le libertinage amoureux, car le libertinage amoureux n’est pas un jeu. C’est de se moquer de Dieu de pratiquer le libertinage amoureux et de par cet acte, ces représailles seront attirées vers nous. Sganarelle a peur de celles-ci, car le mystère sacré est procédé devant Dieu et

l’Académie dirigée par Platon, veut qu’il résolve pour lui un mystère. Diagoras était le professeur de Tramaque, un élève brillant qui s’est soudain désintéressé de ses cours, sans raison apparente. Diagoras trouvait Tramaque terrifié. Ses amis à l’Académie sont Eunio et Antise. Selon un autre élève - Lysile - Tramaque avait une relation avec une hétaïre du Pirée appelée Asinara. Héraclès Pontor accepte d’aider Diagoras à résoudre le mystère de la mort de Tramaque car il a vu une chose étrange sur son

– il a les ‘clés du mystère’ – narrateur s’exclu – tonalité didactique / presque mystique ‘vision panoramique’ Présent de vérité général definit h&m Regard d’une puissance superieure Alliteration en ‘t’ et assonance en ‘ou’ et ‘é’ -> aspect solannel Structure pour rendre ton profodn – menaçant Champ lexical du mystere Insistance sur la fusion des 2 entités Chiasme -> inverse les qualités – rend + ressemblant la er personnifiée= allégorie L’homme profite du mystère – la mer des qualités

: * Les jeux liturgiques, comme les miracles et les mystères qui sont des formes théâtrales sacrées. * Les farces, les sotties ou les sotie, qui viennent plus tard et qui sont plus des divertissements mais qui sont considérées comme une forme profane du théâtre médiéval. Cette distinction entre sacré et profane est très difficile à établir parce que parfois les deux formes coexistent dans une même représentation, par exemple, dans les mystères, il y a des passages grotesques et burlesques.