Les Mayas

avec ceux du jaguar. Les Mayas sont installés en Amérique centrale, au sud du Mexique et dans l’actuel Guatemala. Ils développent, en pleine forêt tropicale, une brillante civilisation, qui va durer pendant plus de mille ans. Ce peuple très ancien apprend à maîtriser l’agriculture et connait son apogée entre le 3ème siècle avant Jésus-Christ et le 10ème siècle après Jésus-Christ. Les Mayas bâtissent alors des villes et des temples en pierre très impressionnants. Les Mayas favorisent les échanges commerciaux

paysages (forêt amazonienne , Andes , pampa , etc…) font de cette zone un lieu d’élection pour l’écotourisme . Les progrès de tourisme : 1 –Civilisation originale : Des grandes civilisations ont été édifiées avant l’arrivée des ibériques. Les mayas édifient a partir du 4 éme siècle dans les Yucatan et le nord (Honduras), elles surpassent les zapotèques et Totonaques avant l’an mil. Les aztèques s’imposent au 14 éme siècle dans le Mexique, Altiplano au Bolivie 13 éme siècle, Incas au péru, Equateur

mélange de pouvoir, de beauté de liberté et de férocité. Mais il n’y a pas seulement le charme du félin qui domine, la réalité le rattrape... c’est un tueur. Cela fascine et effraie à la fois. Dans certains pays et tribus le jaguar est un symbole. Les mayas disaient qu’il était le « droit divins des rois », pour les Olmèques il symbolisait le pouvoir, les anglais l’associent à la puissance, la vitesse et le raffinement. FIN

HISTOIRE DU CHOCOLAT Les mayas l’on tout d’abord appelé "xocoatl". Ce mot ne ressemble pas vraiment au mot "chocolat" et pourtant il en serait l’origine. C’est sous le nom de "Theobroma cacao" que le célèbre naturaliste suédois Carl von linné fit connaître ce merveilleux arbre. Theobroma vient du grec "théos" qui signifie "dieu" et "broma" qui veut dire "breuvage". Les indiens prétendaient que les fruits d’un tel arbre ne pouvaient être destinés qu’à la nourriture des dieux. En effet,

conférer l’immortalité et la jeunesse éternelle. Mais il fut aussitôt pris d’un délire, il courut vers le rivage et s’éloigna pour toujours sur un radeau qui disparut dans la direction du soleil levant. » Le Mexique est donc le berceau de chocolat. Les Mayas furent les premiers à utiliser les fèves de cacao pour en faire une boisson chocolatée mousseuse et amère. « Plutôt propre à être jetée aux cochons que consommée par les hommes ! », dira un conquistador espagnol, le cacao étant bien entendu inconnu

cerca del rio Amazonas, otros dicen que empezó en México. En 2007, unos arqueólogos afirman que la utilización más antigua del cacao fue una especie de bebida con pimiento basada en la fermentación, por el pueblo maya, fue como una cerveza. Por los mayas, el dios kukulkán los dio el cacao después de la creación de la humanidad. En cuanto a los aztecas, asociaban el chocolate con Xochiquetzal, la diosa de la fertilidad y de la belleza, y por ellos, el chocolate permitía luchar contra el cansancio. Durante

chocolat proviendrait du nahuatl xocolatl[2],[3], qui est une combinaison des mots xocolli (signifiant « acide ») et atl (qui veut dire « eau »)[3],[4],[5]. Les Aztèques associaient le chocolat avec Xochiquetzal, la déesse de la fertilité. Les mayas l'associaient également à leur dieu de la fertilité (voir la section Effets non prouvés). Le philologue mexicain Ignacio Davila Garibi suggère que les Espagnols ont inventé ce mot en associant le terme chocol et en remplaçant le mot maya haa (signifiant

la Cabosse qui contient les fameuses fèves mais seulement 1 sur 500 d’entre elles donneront des fruits. Ainsi donc, on n’estime qu’un arbre a un rendement d’environ 6 kg de Cacao par an. Historiquement cultivé et consommé par les Aztèques et les Mayas, il a été produit et exporté exclusivement par l’Amérique Latine à destination des élites européennes dès le XVIème siècle. Les changements de modes de consommations ont ensuite entrainés une explosion de la demande des consommateurs nécessitant

claires se découpent sur une silhouette masculine sombre, le décor du balcon très marqué occupe la moitié du tableau pour les deux œuvres. Les différences sont donc d’autant plus frappantes tant dans la couleur, chaude chez Goya, froide chez Manet. Les mayas au balcon sont une scène de genre, par la présence des deux jeunes femmes qui semblent s’échanger des secrets, et dont derrière elles, on peut apercevoir des ombres « jalouses » ; une histoire est raconté. Par ailleurs, le fait même de s’être inspiré

alphabétique, mais ceci est fort contesté.) Elles peuvent également être associées aux animaux. NB (le langage/ l'alphabet des sourds muets est né dans les monastères car le silence y était obligatoire, et donc on a un message idéographique) Chez les mayas par exemple on appelle ça les codex, la position des mains signifie certaine chose, et cela encore aujourd'hui comme par exemple certains geste appartenant un un certain type de classe sociale, c'est le langage naturel des mains. => les peintures