Les Mesures Prises En Faveur Du Vendeur De Fonds De Commerce

PREMIÈRE : LES ÉLÉMENTS CONSTITUTIFS DE LA VENTE ...................31 SECTION II : LES INTERDICTIONS DE VENDRE OU D'ACHETER ............31 SECTION III : LES OBLIGATIONS RÉSULTANT DE LA VENTE...................32 Paragraphe premier : Obligations du vendeur ........................................................32 Paragraphe II : Obligations de J'acheteur ....................................................34 SECTION IV : LES MODALITÉS DE LA VENTE ..................................................35

PREMIÈRE : LES ÉLÉMENTS CONSTITUTIFS DE LA VENTE ...................31 SECTION II : LES INTERDICTIONS DE VENDRE OU D'ACHETER ............31 SECTION III : LES OBLIGATIONS RÉSULTANT DE LA VENTE...................32 Paragraphe premier : Obligations du vendeur ........................................................32 Paragraphe II : Obligations de J'acheteur ....................................................34 SECTION IV : LES MODALITÉS DE LA VENTE ..................................................35

manière durable dans le cadre de l’activité de l’entreprise. Lorsqu’on évoque la vie de l’entreprise deux catégories de biens appellent une gestion particulière : le capital immobilier, d’une part (§1) et le capital mobilier dans lequel le fonds de commerce occupe une place primordiale, d’autre part (§2). §1 - La gestion des biens immobiliers L’entrepreneur peut être propriétaire d’un ou plusieurs immeubles affectés à l’activité de l’entreprise. Dans cette hypothèse, ces immeubles assument

la masse : 133 - de l’échangiste : 134 - de l’Etat : 133 - des architectes : 135 - des créanciers séparatistes : 133 - des entrepreneurs : 135 - des époux : 133 - des incapables : 133 - du copartageant : 133, 135 - du prêteur de deniers : 134 - du vendeur : 133, 134 Hypothèques judiciaires : 136 s - OHADA caution : 137 décision : 136 inscription complémentaire : 144 notification : 140 provisoire : 139 - mainlevée : 141, 142 - réduction : 141, 143 - référé : 138, 141 - séquestre : 137, 141 - solvabilité

1 INTRODUCTION : PRESENTATION D’UNE OPERATION DU COMMERCE INTERNATIONAL Aujourd’hui, de plus en plus d’entreprises marocaines et étrangères entretiennent des relations commerciales avec l’étranger. Ces relations peuvent prendre la forme d’un achat (acte d’importation) ou d’une vente (acte d’exportation). Nous allons nous intéresser à une importation marocaine. Une entreprise italienne dont l’atelier de fabrication est situé à Milan a conclu un accord avec une entreprise marocaine installée à

UNIVERSITE CHOUAIB DOUKKALI EL JADIDA ECOLE NATIONALE DE COMMERCE ET DE GESTION MASTER SPECIALISE : MARKETING & COMMUNICATION COMMERCIALE 2013/20134 Droit commercial Jamal RBII Docteur en droit privé Professeur à la Faculté de droit de Salé Introduction Section 1. Droit commercial et notions voisines §1. Du droit commercial au droit des affaires Le droit des affaires remplace la dénomination traditionnelle du « droit commercial ».cette nouvelle appellation se veut moderne, dynamique

financement est l'opération qui consiste à obtenir des ressources monétaires nécessaires à la réalisation d'un projet (« lever des fonds »). 1. Financement en fonds propres : Le financement en fonds propres peut se faire soit sans appel public à l’épargne, soit avec appel public à l’épargne. 1.1.Financement en fonds propres sans appel public à l’épargne : Le financement en fonds propres peut se faire : 1.1.1. Par autofinancement : C’est à dire la capacité d’autofinancement diminuée des bénéfices mis en

par l’article L. 121-1 du Code de commerce : « Sont commerçants ceux qui exercent des actes de commerce et en font leur profession habituelle ». Le commerçant est donc défini à partir de son activité : il doit exercer des actes de commerce. La liste non exhaustive de ces actes est également donnée par le Code de commerce aux articles L. 110-1 (actes de commerce en général : achat de biens meubles pour les revendre, opération de banque,…) et L. 110-2 (actes du commerce maritime). Mais selon le législateur

formalisme, tantôt par sa souplesse. A - LE FORMALISME DU DROIT COMMERCIAL Ce formalisme est très utile pour assurer la sécurité du crédit dans les opérations commerciales. Le crédit constitue le noyau de toutes les relations commerciales ; un vendeur doit accorder des délais de paiement à ses acheteurs, et ces derniers font le plus souvent des achats qui dépassent leur trésorerie. Le crédit nécessite donc l’établissement de relations de confiance et de sécurité entre les commerçants

PARTIE 8 : CONTRAT DE VENTE 1. Concept : Vente : c’est un contrat par lequel un vendeur s’engage à transférer la propriété d’une chose à un acheteur qui s’engage à en payer le prix. 2. Conditions de validité : Accord de volonté : le contrat ne voit le jour que lorsque le destinataire de l’offre l’a accepté (déclaration de volonté) de façon expresse (ex : écrit) ou tacite (ex : présence à la caisse). Vices de consentement : consentement sans erreur ni dol. Capacité : chaque partie est