Les Miserables La Petite Fille Toute Seule

..................... 422 À propos de cette édition électronique ................................ 472 ŒDIPE – ROI OIDIPOUS. Ô enfants, race nouvelle de l'antique Kadmos, pourquoi vous tenez-vous ainsi devant moi avec ces rameaux suppliants ? Toute la ville est pleine de l'encens qui brûle et du retentissement des paians et des lamentations. Je n'ai point pensé que je dusse apprendre ceci par d'autres, ô enfants ! Et je suis venu moimême, moi, Oidipous, célèbre parmi tous les hommes. Allons

pour la grossesse de sa femme dans le deuxième trois mouvements • Lignes 18-35-Indifférence d’Emma à l’égard de la maternité -Désir d’avoir un fils plutôt qu’une fille conscience de la situation d‘infériorité des femmes - Naissance d’une fille Problématique: Comment Flaubert à travers les comportements de ces deux personnages antinomiques aborde les thèmes de la maternité et de l’amour maternel , nouvelles valeurs soutenues par la

qu’implique la capacité de se permettre ce délaissement ? J’essaierai dans ce premier questionnement de formuler un rapport entre la dépendance aux biens et une condition de vie plus misérable. Ensuite, il s’agira de se demander s’il faudrait paradoxalement une assise financière ou plutôt une certaine sagesse pour vivre détaché de toute forme de dépendance ? Je tâcherai de soutenir ce dernier point, mais en clarifiant toutefois l’idée de << sagesse >> que je souhaite exprimer. Dans un dernier temps, il s’agira

l’héridité sur la formation du comportement humain. Zola songe à étudier les fatalités de la vie, les mais une seule famille en montrant le jeu de la géneration modifiée par les milieux. Sa grande ambition est d’être purement naturaliste et physiologiste. C’est à la fin de 1867 et au début de 1868 que Zola établit le plan d’une série de fatalités du tempérament et du milieu. Il ne veut pas peindre toute la société contemporaine, Macquart, histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire

dix ans. - Jésus ! fit Marguerite, qu'est-ce que vous avez Fantine ? - Je n'ai rien, répondit Fantine. Au contraire. Mon enfant ne mourra pas de cette affreuse maladie, faute de secours. Je suis contente. En parlant ainsi, elle montrait à la vieille fille deux napoléons1 qui brillaient sur la table. - Ah, Jésus Dieu ! dit Marguerite. Mais c'est une fortune ! Où avez-vous eu ces louis d'or ? - Je les ai eus, répondit Fantine. En même temps elle sourit. La chandelle éclairait son visage. C'était un sourire

LE MES Don Pedro approche. I 1 2ème partie DON PEDRO :Cher Signor Leonato, vous venez saluer votre souci ? LEO :Jamais le souci n’est entré dans ma maison sous les traits de votre Grâce. DON PEDRO : Je crois bien que c’est là votre fille. LEO : Sa mère me l’a dit maintes fois. BENEDICT : En doutiez-vous, monsieur, pour lui poser la question ? LEO : Non, Signor Benedict, car vous n’étiez alors qu’un enfant. DON PEDRO : Touché, Benedict ! BEA Signor Benedict, personne

nuit, on croit entendre, A travers l’ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini. Victor Hugo, Toute la lyre Victor HUGO(1802-1885) Hugo est un écrivain important de la littérature du XIXème siècle. Il touche a peu près tous les genre littéraire poésie, Théâtre (Hernani 1830), Roman (Les misérables 1862). Ses œuvres ont engagé la révolution romantique. Le romantisme est un mouvement artistique apparu au cours du XVIIIème siècle en Grande-Bretagne

plus puissant seigneur de la Westphalie pourtant son château est misérable : on y trouve une seul tapisserie ; voilà tout le luxe que ce château peut s’offrir, contrairement aux grands nobles il ne possède pas de quoi faire La Grasse, il utilise ses chiens de bassecour pour chasser et il transforme ses palefreniers en tant que piqueur quand il veut chasser, enfin le simple vicaire du village lui sert d’aumôniers. Pourtant une petite cour c’est organisé autour de lui, il se fait appelé « Monseigneur »

populaire, misérable où les ouvriers vont à leur travail. Elle vient d’avoir une conversation avec Mme Boche. Chapitre 1 I. Une évocation réaliste du monde ouvrier. 1. Diverses catégories - Les ouvriers, « les blouses » : métonymie des ouvriers, la blouse désigne les ouvriers, « les ouvrières » avec des sous-catégories : les brunisseuses (personnes qui polissaient les métaux), les modistes, les fleuristes… « Elles allaient par bande de trois ou quatre » s’opposant à  « toute seule » : « les

compris, il se considère malchanceux ou, mieux, que toute opportunité de réussite, qui lui serait due, lui a été scandaleusement refusée. C'est, dirait-on aujourd'hui, la figure du "loser", du perdant. Et la fin le confirme "Massias retombé à sa misérable condition de chien rabatteur, cloué pour la vie à la Bourse par la dette". On ne pourra s'empêcher de faire un rapprochement entre les noms "massias" et "messie" — du coup le terme "cloué" prend toute sa valeur...   Cette suite de la première partie est